La présente conversation éditoriale explore le thème de la bifurcation à travers quatre questions, posées aux deux rédacteurs invités : l’état du monde, les dynamiques de changement, le changement à l’échelle des communautés et le sens à donner aux changements.

Nous faisons maintenant face à des pathogènes zombies, et ils ont faits leurs premières victimes.

Les écosystèmes et le corps humain sont liés par leur organisation. L'étude comparative de ces deux systèmes, macroscopique et microscopique, pourrait nous en apprendre beaucoup, sur l'un comme sur l'autre.

Est-il possible de mesurer, ou même de prédire le changement social? La psychologie du changement social est un des domaines qui vise à comprendre cet enjeu.

Appelons « nouvelle économie du savoir » le régime qui, dans le contexte de la « gouverne globale », établit les conditions de la vérité.

Est-il possible de croître sur le plan économique sans dégradation corrélative de la situation de notre espèce sur le plan écologique?

La vision d’un monde tendant vers la justice sociale et environnementale demande à être construite collectivement et très certainement dans la diversité et la pluralité des voix.

Le modélisateur se concentre sur les mécanismes qui influencent l’évolution d’un système, souvent en ignorant les détails superflus et la nature même de celui-ci.

C’est notre être dans toute son humanité que la littérature appelle à s’enrichir d’idées, de valeurs, d’images, de personnages, de récits, de sensations, d’émotions, de sentiments, d’états d’âme, de mots, de phrasés et de styles autres que ceux qui nous constituent.

Les réticences de certaines personnes à changer de comportement devant l'urgence climatique semblent entretenir des similitudes inattendues avec les comportement que l'on observe dans des cas de dépendance.

Les auteurs de « Demain est-il ailleurs? Odyssée urbaine autour de la transition numérique » partagent des questionnements et certaines réflexions qui se retrouvent au coeur de leur ouvrage éponyme.