Professionnel et professeur au parcours atypique. Débutant en mathématiques appliquées (mode coopératif) (B.Sc. et M.Sc., Sherbrooke) en 1978 pour butiner en administration (D.A. 2e cycle, Laval) pour s'engager au doctorat en communication (UQAM) et s'installer comme professeur en relations Humaines et Intervention sur les Systèmes Humains à l'Université Concordia depuis 2005. Gilbert a été consultant interne et externe, fonctionnaire et aussi chargé de cours avant de devenir professeur agrégé, souvent à travailler en français et en anglais pour diverses raisons. Il tente de concentrer ses recherches autour des questions de santé et de populations vulnérables, il développe des méthodes de recherche en contextes atypiques, souvent participatives ou abordables par des milieux communautaires. Il a entre autres touché à l'homophobie, la prévention du VIH, les personnes consommant des drogues, les Autochtones en contexte urbain et les personnes Bispirituelles, et bien d'autres projets.
Mes liens avec l'Acfas
ResponsablePrincipal secteur de recherche ou d'activité
Mes intérêts de recherche
Mathématiques appliquées Communication Médecine préventive et communautaireMa formation
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1978 - 1981U SherbrookeBaccalauréat | mathématiques appliquéesCanada
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1982 - 1984U SherbrookeMaîtrise | MathématiquesCanada
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1992 - 2005UQÀMDoctorat | CommunicationCanada
Mes affiliations
- Chaire de recherche sur l'homophobie (UQAM) RISSC+ (UQO)
Ce qui m'a amené à faire de la recherche
Le besoin de résoudre des questions de complexité et de chaos dans les réactions humaines.
La démocratisation des sciences
C'est comme l'accès à l'éducation, plus on diversifie, plus on soutient des communautés ignorées par le colonialisme et les tendances mainstream,
L'avenir des sciences en français au Canada
Que l'on comprenne que le français amène une autre façon de comprendre et de raisonner. l'Anglais reste une langue de communication internationale mais tout faire en anglais m'amène à perdre une capacitté d'intelligence des contextes.
L'importance de faire partie de l'Acfas
Parce que l'ACFAS prend différentes formes tout au long de ma carrière et qu'elle l'a toujours soutenue. J'ai étudier où Marie Victorin résidait, j'ai commencé à assister à l'ACFAS en 1981 avant ma maîtrise et j'y ai fait diverses activités qui m'ont donné une émancipation.