Elles ont en moyenne 27 ans. Encore jeunes, mais déjà expérimentées, elles sont, comme beaucoup d’autres, déstabilisées par le numérique. Elles allaient précaires, mais tranquilles, sur un chemin bien défini.
Les Québécois ont maintenant une meilleure opinion de leur langue qu’en 1960, mais malgré tous les progrès réalisés, un soupçon subsiste sur la légitimité de ses usages.