La subjectivité contribue à notre perception et notre compréhension du monde. Loin d’être l’antithèse de l’objectivité, elle en constitue un levier pour l’objectivation des phénomènes.
Il y a deux attracteurs autour desquels je tourne depuis un temps déjà. D'abord, les approches « systèmes » – complexité, chaos, réseau, évolution, histoire globale, transdisciplinarité – où j’ai un intérêt certain pour leurs capacités d’explication du monde.