Comprendre l’impact environnemental de notre alimentation est une priorité de notre temps. Pourtant, peu de changements sont en cours, que ce soit chez les producteurs, les transformateurs et les consommateurs. Il y a urgence d’agir, et des solutions existent!
Dans cette bande dessinée, vous découvrirez des travaux s’intéressant au gaspillage alimentaire et aux comportements des consommateurs, menés au sein du groupe de recherche EcoFoodLab de l’Université Laval. Dans ce laboratoire multidisciplinaire, étudiant·es et professeur·es font équipe pour rendre l’alimentation de demain plus durable.
Au fil des planches, vous suivrez le parcours d’un consommateur qui souhaite réduire l’impact environnemental de ses repas. Petit à petit, il prend conscience que ses aliments préférés sont souvent les plus polluants, et que changer ses habitudes demandera du temps et des efforts. Pour réduire notre impact planétaire, tout le monde a ainsi son rôle à jouer, du champ à l’assiette!
Cette bande dessinée est présentée au Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke (MNS2) du 5 au 27 avril 2025, dans le cadre de l'exposition Dessine-moi la recherche : planches à partager créée par la cohorte bande dessinée du 4e Vulgarisathon de l'Acfas.
- Gabriel Della Seta
Université Laval
Fort d’une expérience professionnelle dans le domaine de la gastronomie, Gabriel Della Seta a souhaité approfondir ses connaissances en poursuivant ses études en transformation alimentaire. Ses travaux s’intéressent au gaspillage alimentaire, un enjeu à la jonction de la recherche sur les changements climatiques et des sciences de l’alimentation. Son goût pour la vulgarisation et sa créativité l’ont aussi poussé à chercher des moyens originaux pour communiquer et démystifier certaines idées, et ainsi sensibiliser les populations à ces questions.
- Bertrand Espougne
Université Laval
Titulaire d’un baccalauréat en agroéconomie de l’Université Laval, Bertrand Espougne s’est rapidement intéressé à l’économie comportementale et expérimentale. Grand amateur de vulgarisation sous toutes ses formes, il y voit une des meilleures méthodes pour parler de la recherche avec le grand public. Actuellement à la maîtrise en agroéconomie, il réfléchit à la modification des comportements desc onsommateurs en lien avec l’environnement et la nutrition.
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