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Informations générales

Événement : 90e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 500 - Éducation

Description :

Le tout premier référentiel québécois de compétences professionnelles en enseignement (Gouvernement du Québec, 2001) plaçait l’intégration de la dimension culturelle à l’enseignement au cœur du travail enseignant. Ainsi pouvait-on s’attendre à ce que les universités mettent en place une formation professionnalisante qui tiendrait compte du rôle que les enseignantes et enseignants étaient appelés à jouer pour actualiser cette orientation fondatrice de ce référentiel. Vingt ans plus tard, une multitude de travaux québécois a été menée sur l’approche culturelle pour la classe de français. Des chercheurs ont fourni un cadre conceptuel à propos du rapport à la culture (Falardeau et Simard, 2007) et ont montré l’intérêt de prendre en compte le rapport à la culture des futures enseignantes dans le cadre de leur formation (Falardeau et Simard, 2011). D’autres initiatives ont misé sur une offre de cours voués spécifiquement à l’intégration de la dimension culturelle en formation initiale (Manseau et Dezutter, 2007). Certains chercheurs s’intéressent aux formateurs d’enseignants et aux pratiques qu’ils mettent en place pour soutenir le développement de la compétence « culturelle » chez les personnes étudiantes (Larouche et al., 2022; Portelance, 2007). D’autres encore visent à soutenir le rehaussement de la compétence des étudiantes par le biais de contacts avec la culture (Lépine, Nadeau, Laurence et Bélanger, 2021) ou d’expérimentations culturelles jumelées à une pratique réflexive (Beaudry et Crête-Reizes, 2022; Nadeau, 2022).

Malgré tout, au moment où un nouveau référentiel de compétences professionnelles est présenté (Gouvernement du Québec, 2020), force est de constater que la compétence dite « culturelle » des enseignantes et enseignants de français reste fragile (Nadeau, 2022). Ce colloque, proposé dans le cadre des activités du Collectif CLÉ, vise à rassembler des personnes chercheuses, formatrices d’enseignants, médiatrices culturelles, étudiantes et enseignantes qui souhaitent approfondir la question de la formation initiale et continue des enseignantes et enseignants de français afin de jouer leur plein rôle de médiateur culturel. La réflexion sera menée, avec des communications, des tables rondes et des tâches réflexives, dans la perspective d’un rehaussement de la qualité de la formation « culturelle » offerte par les universités québécoises et les milieux de pratique. Trois axes de réflexion sont proposés :

Axe 1 : Une compétence à définir : celle de « la médiation d’éléments de culture », plus spécifiquement pour ce qui concerne la classe de français;

Axe 2 : Des dispositifs à instaurer : ceux à mettre en œuvre dans le cadre de la formation initiale et continue en enseignement du français;

Axe 3 : Des collaborations à structurer : celles entre les universités ou les milieux de pratique, et le milieu culturel pour soutenir le développement de la compétence culturelle des personnes enseignantes et futures enseignantes de français.

Remerciements :

Ce colloque a été rendu possible grâce au soutien financier du Collectif de recherche sur la continuité des apprentissages en lecture et en écriture (Collectif CLÉ), équipe financée par le FRQSC. Nous tenons également à remercier les personnes étudiantes, enseignantes, chercheures et partenaires culturels qui font la richesse de ce colloque.

Date :

Format : Sur place et en ligne

Responsables : Partenaire :

Programme

Communications orales

Accueil et introduction

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Panel / Atelier

Axe 1 – Des compétences à développer

Nous avons réuni pour cette table ronde deux étudiantes en enseignement du français au secondaire, ainsi qu’une jeune enseignante de français diplômée en 2019 (UQAM), toutes les trois engagées à faire de leur classe un lieu de rencontre avec la culture. Ensemble, elles partageront leur conception de la culture et de leur rôle social de passeurs culturels, elles discuteront de ce que la formation leur a (ou pas) permis de développer comme compétence et de la part toute personnelle sur laquelle elles s’appuient pour mettre en œuvre cette compétence. Cet échange vise à dégager des besoins de formation ainsi que des moyens qui, de leur point de vue permettraient le développement d’une compétence culturelle plus solide chez les personnes enseignantes et futures enseignantes de français : sont-elles au clair avec leur rôle de médiatrice d’éléments de culture? Se sentent-elles compétentes aux termes de leur formation? Que pensent-elles de la formation et de l’accompagnement reçus et quelles suggestions ont-elles à offrir?

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Communications orales

Axe 1 – La suite

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant
  • Communication orale
    La médiation : définition d’un terme pluriel
    Anne-Sophie Bally (Université du Québec à Trois-Rivières), Marie-Hélène Forget (UQTR - Université du Québec à Trois-Rivières), Vicky Montambault (Université du Québec à Trois-Rivières), Mélodie Simard-Houde (Université du Québec à Trois-Rivières)

    Le terme « médiation », passé dans le langage courant, réfère à un concept que l’on trouve en droit (médiation familiale), en sciences du langage (médiation linguistique), en psychologie ainsi qu’en éducation (médiation pédagogique et cognitive) ou en culture (médiation culturelle). Mais, comment définir la médiation attendue de l’enseignante ou l’enseignant de français dans sa classe? Cette question a été soulevée par un groupe de formatrices et de formateurs disciplinaires de l’Université du Québec à Trois-Rivières, réuni pour réfléchir à des modalités de formation initiale qui soutiendraient davantage le développement de la compétence dite « culturelle » des étudiantes et étudiants en enseignement du français au secondaire. En effet, avant de réfléchir à la formation elle-même, il convient de bien cerner ce sur quoi cette formation devrait porter. Pour répondre à cette question, une analyse par catégorie conceptualisante (Paillé et Mucchielli, 2016) de plus de 50 textes (articles empiriques, textes théoriques, documents ministériels) a été réalisée afin de : a) définir « médiation », b) identifier ses attributs essentiels et c) ses conditions d’existence, ainsi que d) dégager les fonctions de la personne médiatrice et e) la conception de l’enseignement-apprentissage qui sous-tend la médiation d’éléments de culture.

  • Communication orale
    L’éducation esthétique pour soutenir la médiation culturelle en contexte scolaire
    Marie-Christine Beaudry (UQAM - Université du Québec à Montréal), Isabelle Carignan (Université TÉLUQ), Marika Crête-Reizes (Terrain de jeu), Myriam Lemonchois (Université de Montréal)

    Comment les enseignants de français peuvent-ils agir comme médiateur culturel ? Quelles sont les pratiques de médiation culturelle qu’ils peuvent intégrer à leur enseignement-apprentissage ? Quelle posture doivent-ils adopter lors des projets culturels, par exemple ceux du programme La culture à l’école ? Dans les écrits scientifiques, l’éducation esthétique est reconnue comme une approche favorisant la formation à la médiation culturelle dans les organismes culturels, mais aussi auprès du personnel enseignant. Aux États-Unis, depuis plusieurs décennies, l’éducation esthétique est théorisée par Greene (2001) et les résultats de ses recherches sont mis en application pour la formation du personnel enseignant à la médiation culturelle. En revanche, ce n’est que récemment que ses travaux ont trouvé un écho dans les milieux culturel et scolaire québécois. Dans le cadre de notre communication, nous présenterons l’approche de Greene (2001), pour ensuite partager quelques résultats issus de recherches menées auprès d’enseignants de français visant à les former à l’éducation esthétique pour agir comme médiateur culturel. S’il se dégage de leurs propos que l’approche leur permet de se sentir outillés et confiants pour intégrer des éléments de culture dans leur enseignement et offrir des expériences sensibles et signifiantes aux élèves, des questions émergent, à commencer par celle des finalités associées à l’intégration de la culture dans les écoles québécoises.


Panel / Atelier

Activité réflexive

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Communications orales

Grande conférence

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant
  • Communication orale
    Quelle place pour la médiation culturelle dans la formation des futurs enseignants de français? Un regard suisse romand
    Chloé Gabathuler (Haute Ecole Pédagogique du Valais (HEP-VS))

    Dans cette communication, nous nous intéressons à la place accordée à la médiation culturelle, à ses enjeux et ses implications dans le cadre de la formation des futurs enseignants de français. Plus concrètement, nous proposons, premièrement, un panorama de ce qui se fait en Suisse romande, notamment au sein de la Haute école pédagogique du Valais. Deuxièmement, nous présentons un état de lieux des réflexions menées au sein de l’équipe LAC (Langues, arts, cultures : médiation et enseignement) quant au rôle et à la fonction de la médiation culturelle dans le cadre de l’enseignement du français. Troisièmement, nous nous penchons sur l’énoncé de la première compétence professionnelle québécoise (« agir comme médiateur culturel ») et, à partir de notre ancrage théorique et de notre expérience de formatrice, en proposons une analyse. Enfin, à partir des éléments précédents, nous formulons des pistes utiles pour la formation des futurs enseignants québécois et suisses romands.


Dîner

Dîner

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Communications orales

Axe 2 – Des dispositifs à instaurer

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant
  • Communication orale
    eCompagnon culturel : application pour l’étude de l’impact du projet Médiateurs culturels à l’UQTR, au sein de la formation à l’éducation préscolaire et à l’enseignement primaire
    Tete Akpedje (Université du Québec à Trois-Rivières), Marie-Claude Larouche (UQTR - Université du Québec à Trois-Rivières), Johana Monthuy-Blanc (Université du Québec à Trois-Rivières), Mathieu Point (Université du Québec à Trois-Rivières), Johnni Samson (Université du Québec à Trois-Rivières), Gabriel Senneville (Université du Québec à Trois-Rivières), Fadel Touré (Université du Québec à Trois-Rivières)

    La recherche-développement (RD) Médiateurs culturels à l’UQTR (2020-2024) a pris place au sein du Baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire (BÉPEP). Elle concerne quelques cours offerts auprès des cohortes des trois premières années du BÉPEP. Cette RD nous entraine à co-élaborer, avec une vingtaine de collègues formateurs, chargés de cours et professeurs œuvrant dans différents secteurs de formation, un dispositif susceptible d’offrir une meilleure formation au rôle de médiateur culturel de ces enseignants généralistes. Ce dispositif comprend des expériences accrues et encadrées pédagogiquement des ressources culturelles disponibles dans l'environnement régional, signalées notamment dans le Répertoire culture-éducation. Il encourage aussi l’exploitation pédagogique de contenus numériques mis en ligne gratuitement par des organismes culturels du Québec. Une application, intitulée eCompagnon culturel, conçue pour servir de mémoire des expériences culturelles des étudiants et aussi d’instrument de collecte de données auprès d’eux, fait également partie de ce dispositif. Disponible en code ouvert, pour téléphones intelligents de types Apple et Android, et pour ordinateur, cette app est issue de l’expertise en eÉducation à la santé de l’unité de recherche Loricorps. Nous dégagerons un premier portrait socioculturel des étudiants à l’aide des données recueillies à l’aide de cette application au commencement de leur formation à l’UQTR en 2021.

  • Communication orale
    Regard sur les repères culturels dans les albums à la formation initiale des enseignant.es : le cas de la didacthèque de l’Université de Montréal
    Rachel Deroy-Ringuette (UQTR - Université du Québec à Trois-Rivières)

    Pour aider les enseignant.es à développer leurs compétences professionnelles, le mieux est d’agir dès la formation initiale. Spécifiquement pour « agir en tant que médiatrice ou médiateur d’éléments de culture » (MELS, 2020), les enseignant.es ont avantage à être initié.es à des albums contenant différents repères culturels, qu’ils soient littéraires (intertextualité et intericonicité) ou culturels (p. ex. géographique, historique, scientifique). Cette communication provient d’une analyse secondaire des résultats d’une étude de cas portant sur l’évaluation du potentiel didactique des albums (DeRoy-Ringuette, 2022). Les résultats retenus ici aident à constater les tendances quant aux repères culturels présents dans les albums offerts à la didacthèque de l’Université de Montréal. Par exemple, pour soutenir le développement de la compétence culturelle, moins du quart des albums analysés (30/175) contiennent de l’intertextualité. Autre exemple, parmi les types de repères culturels ciblés dans la grille utilisée, 38,8 % des 58 albums qui contiennent des repères culturels sont d’ordre géographique. Connaître ces résultats contribue à distinguer les repères les plus fréquents dans les albums offerts aux futur.es enseignant.es et ceux qui le sont moins. Puisque les didacthèques doivent offrir et développer des collections adéquates répondant aux besoins des futur.es enseignant.es (Catalano, 2015), nos résultats sont utiles pour soutenir ceux relatifs à la formation à la culture.

  • Communication orale
    La perspective culturelle dans le programme d’éducation préscolaire et d’enseignement primaire à l’UQAM
    Sylvie Viola (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    La perspective culturelle est-elle dans le cœur et l’esprit des enseignants qui partagent cette perspective ? (Inchauspé, 2007). Oui, mais d’abord ne faut-il pas l’intégrer dans les programmes de formation ? Quelle est la meilleure façon de procéder ? À l’UQAM, depuis plusieurs années, la perspective culturelle est intégrée avec une « timidité constante » dans les cours du programme d’éducation préscolaire et d’enseignement primaire (EPEP). Dans cette présentation, nous ferons part de notre expérience quant aux dispositifs que nous avons élaborés et mis en place depuis 2010. Nous présenterons quelques constats qui sous-tendent cette prise en compte ainsi que certains principes importants qui découlent de notre expérience et qui pourraient inspirer d’autres programmes. Nous terminerons en partageant les résultats à un sondage visant à connaitre la perception des étudiant.es finissant.es sur leur perception de la perspective culturelle en EPEP.

  • Communication orale
    Soutenir le développement de la compétence à agir comme médiateur ou médiatrice d'éléments de culture : pistes issues de la formation à l'enseignement de la danse
    Elisabeth Hould (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    Le souci de former des enseignantes et des enseignants intéressé.e.s et outillé.e.s pour agir en tant que médiatrice ou médiateur d'éléments de culture est partagé par plusieurs programmes de formation à l'enseignement. Après tout, qu'ils enseignent le français, les sciences, la géographie ou les arts, toutes les enseignantes et tous les enseignants ont à la fois le privilège et la responsabilité d'amener les élèves à faire des liens entre leur univers familiers et la culture seconde. À cet effet, plusieurs dispositifs ont été expérimentés dans le cadre de la formation à l'enseignement de la danse. Nous proposons un survol des dispositifs imaginés et expérimentés avant d'ouvrir la discussion sur des pistes de réinvestissement dans la formation à l'enseignement du français.

  • Communication orale
    Articuler les compétences culturelle et réflexive conjointement dans la formation initiale, par le journal de bord
    Anne Nadeau (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    En formation initiale, pour susciter l’engagement par une approche participative et donner confiance aux étudiantes et étudiants, le journal de bord dirigé se révèle être un outil efficace. Une stratégie appuyée sur l’approche expérientielle (Kolb, 1984) et le concept de praticien réflexif (Schon, 1994; Perrenoud; 2001; 2012) permet de vivre des expériences sensibles collectivement, d’acquérir des savoirs et de les rattacher au bagage culturel des étudiantes et étudiants pour en prendre conscience, pour le partager et pour donner un sens à l’expérience dans le cadre des apprentissages. Dans le cours, une telle pratique permet de constater une plus grande confiance face à la discipline enseignée et une transposition didactique plus efficace tout en contribuant concrètement au développement de deux compétences professionnelles : Agir en tant que médiatrice ou médiateur d’éléments de culture et S’engager dans un développement professionnel continu (Gouvernement du Québec, 2020).


Panel / Atelier

Activité réflexive

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Communications orales

Axe 3 – Des partenariats à structurer

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant
  • Communication orale
    Comment se vit la collaboration entre les personnes enseignantes et les intervenant.es du milieu culturel dans le cadre de projets culturels de longue durée?
    Marie-Christine Beaudry (Université du Québec à Montréal), Olivier Dezutter (UdeS - Université de Sherbrooke), Mélissa Dumouchel (Université de Sherbrooke), Martin Lépine (Université de Sherbrooke), Anne Nadeau (Université du Québec à Montréal), Isabelle Nizet (Université de Sherbrooke), Jonathan Smith (Université de Sherbrooke)

    La nature de la collaboration entre les enseignant.e.s et les intervenant.e.s du milieu culturel constitue l’un des facteurs déterminants permettant de maximiser l’impact potentiel des résidences d’artistes ou d’écrivain.e.s sur les élèves (Harland et al., 2005). Selon Beaudry et Crête-Reizes (2022), le duo de professionnel.les formé à l’occasion de projets, dont la résidence, s’inscrit dans une dynamique en tension entre la collaboration et la confrontation, et cette expérience se réduit parfois à une simple coprésence au sein de la classe. La collaboration avec le milieu culturel se situe à la jonction entre la compétence « agir en tant que médiatrice ou médiateur d’éléments de culture » et celle « collaborer avec les partenaires de la communauté » du référentiel de formation à l’enseignement (MEQ, 2020). Ce référentiel met de l’avant un « professionnalisme collaboratif ». En prenant appui sur des données recueillies dans le cadre d’une recherche relative à la mise en œuvre de projets culturels de longue durée au dernier cycle du primaire et au secondaire, et en particulier sur des entrevues réalisées auprès des personnes enseignant le français et des intervenant.es du milieu culturel (n = 4), nous réfléchirons à la manière dont se vit la collaboration, dégagerons les conditions à remplir pour que cette collaboration serve au mieux les apprentissages des élèves, et aborderons la question de la préparation au professionnalisme collaboratif dès la formation initiale.


Panel / Atelier

Axe 3 – La suite

Nous avons réuni pour cette table ronde des intervenants du milieu culturel qui collaborent avec des enseignants de français, et des intervenantes du milieu scolaire, Capucine Voituriez et Dominique Pissard, qui collaborent avec le milieu culturel. Ensemble, nous proposons de réfléchir aux collaborations ou partenariats entre les universités ou les écoles et le milieu culturel pour soutenir le développement de la compétence culturelle des personnes enseignantes et futures enseignantes de français… Pourquoi collaborent-ils avec les enseignants de français? Que retirent-ils de ces collaborations? Quelles recommandations ont-ils pour les formateurs que nous sommes pour préparer les (futurs) enseignants à ces collaborations?

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Panel / Atelier

Activité réflexive

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant

Communications orales

Conférence de clôture

Salle : B-4202 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant