L’image est omniprésente dans nos vies, transforme nos relations entre individus et est devenue essentielle à nos activités quotidiennes propulsées par Skype, Facebook, nos téléphones intelligents, etc. L’image est jeu, découverte, nouvelles, émerveillement, passion.
L’image permet aussi, une fois traitée par nos ordinateurs, de simuler des actions et d’accélérer l’apprentissage. Traiter une scoliose délicate peut maintenant être validé et répété plusieurs fois avant d’intervenir sur le patient. L’image permet aussi de sécuriser ce même patient avant son traitement. En sciences et surtout en santé, l’image est depuis longtemps catalyseur de progrès et outil de transfert. Ces images, incluant celles sur l’anatomie humaine, étaient à la Renaissance aux confins des sciences.
L’image est un outil d’observation qui devient pour le scientifique ou le médecin un outil de diagnostic sans équivalent. L’image du télescope Hubble ou l’image biologique cellulaire poussent les limites de la science et émerveillent les néophytes. L’échographie d’un fœtus émerveille les parents et guide les médecins dans leurs traitements. L’image ouvre la voie pour guider des interventions complexes et jusqu’à tout dernièrement impensables. Un chirurgien peut réparer une artère de façon non invasive et, bientôt, on pourra porter un médicament directement à la cellule malade, comme le bras canadien peut réparer à distance une section de la station spatiale, tout en émerveillant les spectateurs au Centre des sciences. Les développements incroyables en imagerie, dans un monde numérique, virtuel, culturel ou synthétique, ouvrent la voie à de grandes découvertes dans toutes les sphères de la science et à de vastes possibilités de transferts dans la société.