Les inscriptions à la 4e édition du Vulgarisathon de l'Acfas seront lancées en septembre 2024. Pour recevoir l'appel à candidatures dès sa sortie, préinscrivez-vous en remplissant ce formulaire.
Marre de ramer en vulgarisation? 🛶
Laissez le phare du Vulgarisathon vous guider.
Dans le cadre des Journées de la relève en recherche, l’Acfas vous propose de participer au Vulgarisathon : le marathon de la vulgarisation qui vous accompagne dans la production d’une œuvre de vulgarisation scientifique pendant quelques semaines.
NB : L'appel de candidatures ci-bas présente les critères de participation de la 3e édition du Vulgarisathon. Il vous est rendu disponible à titre informatif, pour préparation de votre dossier de candidature. Il est possible que certains critères soient modifiés au lancement de la 4e édition, en septembre 2024.
Qui peut participer?
Le ou la participant·e doit être :
- Un·e étudiant·e universitaire à la maîtrise, au doctorat ou au postdoctorat, inscrit·e dans un établissement d'enseignement supérieur canadien au moment du dépôt de sa candidature;
- Un·e étudiant·e chercheur·se en cours de rédaction de mémoire ou de thèse, n’étant pas nécessairement inscrit dans un établissement au moment de soumettre une proposition – dans ce cas la personne doit résider sur le territoire canadien au moment du dépôt de sa candidature.
Et peut également correspondre à un de ces profils :
- Un·e participant·e qui s'est déjà engagé·e au sein d'activités d'accompagnement de l'Acfas comme les activités de formation;
- Un·e participant·e d'une édition précédente qui souhaite réaliser un projet de vulgarisation sous un nouveau format;
- Un·e participant·e inscrit·e ou non aux Journées de la relève en recherche;
- Un·e participant·e membre ou non de l’Acfas.
Conditions de participation
- Le projet de vulgarisation doit traiter des recherches de la personne qui participe;
- Le projet de vulgarisation doit être original, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un nouveau projet au format choisi;
- Chaque participant·e présente un seul projet, tous formats confondus;
- La langue, parlée ou écrite, est le français.
En soumettant sa candidature, chaque participant·e s’engage à…
- Être présent·e en personne le 28 octobre 2023 sur le campus de l’UQÀM pour la journée d’accompagnement;
- Avoir commencé son projet de vulgarisation scientifique en français au terme de cette journée;
- Participer à la programmation personnalisée de son format, entre le 28 octobre 2023 et la fin février 2024;
- Diffuser son projet sur les réseaux socionumériques une fois celui-ci terminé, à l’hiver 2024, avec le soutien de l’Acfas.
Processus d'inscription
- Remplir d'abord ce formulaire de candidature en détaillant bien chaque bloc de réponse aux questions suivantes :
- Racontez-nous votre projet de vulgarisation. Quelle idée aimeriez-vous développer cette année?
- Qu’est-ce qui vous intéresse avec le format de vulgarisation choisi?
- C’est quoi la vulgarisation scientifique pour vous?
- Avez-vous de l’expérience en vulgarisation de vos travaux de recherche? (formations, concours, projets individuels, etc.) Si oui, préciser.
- Soumettre en fin de formulaire votre curriculum vitæ (CV) en français (format Word ou PDF) et une photo orientation portrait (visage et buste, format jpeg ou png).
- Si votre projet est retenu*, payer les frais d'inscription grâce au lien envoyé par l'équipe de l'Acfas.
- Si votre projet est retenu, vous recevrez ce lien en 1-2 jours ouvrables suivant le dépôt de votre formulaire.
- À noter que l’inscription au Vulgarisathon est indépendante de l’inscription aux Journées de la relève en recherche (J2R).
- Le montant de l'inscription varie selon votre statut de membre Acfas et votre inscription aux J2R. Découvrez les tarifs sur la page Informations utiles de l’activité.
*Si après lecture de votre projet, celui-ci ne nous semble pas en adéquation avec les objectifs du Vulgarisathon, l'Acfas se réserve le droit de refuser votre participation à cette activité et votre paiement vous sera remboursé.
Pour toute question concernant le Vulgarisathon : envoyez un message à Audrey-Maude Falardeau, chargée de projets, au audrey-maude.falardeau@acfas.ca
Le Vulgarisathon est réalisé grâce au soutien du Gouvernement du Québec.
Découvrez toutes les actions en vulgarisation scientifique proposées par l'Acfas au acfas.ca/vulgarisation
Les inscriptions à la 4e édition du Vulgarisathon de l'Acfas seront lancées en septembre 2024. Pour recevoir l'appel à candidatures dès sa sortie, préinscrivez-vous en remplissant ce formulaire.
Le marathon de la vulgarisation de l’Acfas!
L’objectif est d’accompagner la relève en recherche sur quelques semaines dans la réalisation d’une œuvre de vulgarisation scientifique.
À qui s’adresse cette activité ?
Les étudiant·e·s des 2e et 3e cycles universitaires et les postdoctorant·e·s.
C’est quand ?
Début du projet le 26 octobre 2024, pendant les Journées de la relève en recherche de l’Acfas. Rendez-vous périodiques pendant quelques semaines, jusqu'en mars 2025.
Où se tient l’activité ?
Sur le campus de l’Université de Sherbrooke.
En ligne et/ou en personne les semaines suivantes. Chaque format propose sa propre programmation personnalisée selon les besoins de la cohorte.
Quel est son coût ?
Le montant de l'inscription varie selon votre statut de membre Acfas et votre inscription aux Journées de la relève en recherche (J2R). Pour en savoir plus sur l'adhésion à l'Acfas, consultez la page Devenir membre.
| Avec inscription aux J2R | Sans inscription aux J2R | |
|---|---|---|
| Membre Acfas | À venir | À venir |
| Non membre Acfas | À venir | À venir |
Comment s'inscrire ?
L'appel à candidatures de la 4e édition du Vulgarisathon sera ouvert en septembre 2024.
Questions, commentaires ? Envoyez un message à Audrey-Maude Falardeau.
Les inscriptions à la 4e édition du Vulgarisathon de l'Acfas seront lancées en septembre 2024. Pour recevoir l'appel à candidatures dès sa sortie, préinscrivez-vous en remplissant ce formulaire.
Dès la sortie de l'appel à candidatures, les inscriptions au Vulgarisathon se dérouleront en deux temps :
(1) Remplir le formulaire de candidature [sera disponible en septembre 2024]. Il vous sera demandé de répondre aux questions suivantes * :
- Racontez-nous votre projet de vulgarisation. Quelle idée aimeriez-vous développer cette année?
- Qu’est-ce qui vous intéresse avec le format de vulgarisation choisi?
- C’est quoi la vulgarisation scientifique pour vous?
- Avez-vous de l’expérience en vulgarisation de vos travaux de recherche? (formations, concours, projets individuels, etc.) Si oui, préciser.
(2) Payer les frais d'inscription grâce au lien envoyé par l'équipe de l'Acfas. Vous recevrez ce lien en 1-2 jours ouvrables suivant le dépôt de votre formulaire d'inscription. À noter que l’inscription au Vulgarisathon est indépendante de l’inscription aux J2R.
*Si après lecture de votre projet, celui-ci ne nous semble pas en adéquation avec les objectifs du Vulgarisathon, l'Acfas se réserve le droit de refuser votre participation à cette activité et votre paiement vous sera remboursé.
Pour toute question concernant le Vulgarisathon : envoyez un message à Audrey-Maude Falardeau, coordonnatrice de projets, au audrey-maude.falardeau@acfas.ca
Le Vulgarisathon offre un espace unique de création aux chercheur·euses de la maîtrise, du doctorat et du postdoctorat afin de réaliser d'œuvres de vulgarisation sur différents formats.
Voici quelques propositions réalisées lors des dernières éditions du Vulgarisathon :
FORMAT AUDIO
3e édition
La science des liens
Balado de vulgarisation scientifique diffusé sur les ondes de CHOQ.ca, la radio universitaire de l'UQAM
Par Rania Ikram Djermane (UQAM), Bertrand Espougne (ULaval), Juliette Chevet (UQAM), Romane Villemin (UQAM) et Lucie Lenglin (UdeM)
Lien vers les épisodes sur le site de CHOQ.ca
Article de présentation et liens d'écoute sur le Magazine de l'Acfas
2e édition
Balado de vulgarisation scientifique Espace adapté
Par Sandrine Gagné-Trudel, doctorat en sciences biomédicales, Université du Québec à Trois-Rivières
Article de présentation et liens d'écoute sur le Magazine de l'Acfas
1ère édition
Balado de vulgarisation scientifique Les Cerveaux-Lents
Par Chloé Bourquin, Karelle Contant, Michel Demuynck et Marcel Sévigny
Épisode 0 (pilote) / Gel du cerveau, flocons de neige et étoiles filantes
🐦 Twitter : @Cerveaux_Lents
📸 Instagram : cerveaux_lents.balado
FORMAT BANDE DESSINÉE
3e édition*
*Les bandes dessinées de cette cohorte ont été présentées dans le cadre de l'exposition Dessine-moi la recherche : carnets pour l'éducation et la santé publique au Festival BD de Montréal, du 24 au 26 mai 2024.
C'est moi qui décide (4.0)?
Par Genevieve David, doctorat en administration publique, ENAP
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
La magie du Théâtre Aphasique
Par Emna Fakhfakh, doctorat en orthophonie, Université de Montréal (Scénariste) et Mateo Isaac Laguna Muñoz, maîtrise en sciences cliniques et biomédicales, Université du Québec à Chiscoutimi (Illustration)
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
Leeya (l'IA) : pas que pour les geeks!
Par Battiyet Frederique Kouakou, titulaire d'une maîtrise en administration publique, ENAP
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
L'électricité, ce n'est pas de la magie!
Par Josélyne Nshimirimana, doctorat en éducation, Université de Sherbrooke
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
Attention au CoCo!
Par Isabelle Roy, doctorat en neuropsychologie clinique, Université de Montréal
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
Des pompiers au bord de la noyade dans les écoles
Par Laurence Tchuindibi, doctorat en psychopédagogie, Université de Montréal (Scénarisation) et Blanche (Illustration)
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
Technologiste médical·e : comprendre pour mieux soigner
Par Emilie Tremblay, doctorat en communication, Université du Québec à Montréal
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
2e édition
Un peuple invisible aux talents cachés
Par Marie-Anne Baudin, maîtrise en océanographie, Université du Québec à Rimouski
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
Le plastique, ça déchire!
Par Marie Faraut, maîtrise en océanographie, Université du Québec à Rimouski
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
Le labyrinthe du lunch
Par Sandrine Geoffrion, maîtrise en nutrition, Université de Montréal
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
La mentalisation : apprendre à écouter son cœur
Par Emy Trépanier, doctorat en psychologie (profil recherche et intervention), Université du Québec à Trois-Rivières
Bande dessinée en ligne sur le Magazine de l'Acfas
FORMAT BLOGUE
2e édition
L'enquête des mystérieuses pierres d'oreilles
Par Arthur Gandin, maîtrise en océanographie, Université du Québec à Rimouski
https://pierredoreille.wordpress.com/
Article de présentation sur le Magazine de l'Acfas
« Dis papa, c'est quoi ta job? » : le blogue du papa chercheur
Par Sébastien Keiff, doctorat en administration publique à l’École nationale d'administration publique (ENAP)
https://papachercheur.hypotheses.org/
Article de présentation sur le Magazine de l'Acfas
1ère édition
L’entrepreneuriat c'est chouette! - La vie d'une jeune chercheuse
Par Réanne Cooper, doctorat en administration (DBA), Université du Québec à Trois-Rivières
https://rcooper.hypotheses.org/
Adolescentes en difficultés et sociétés : Comprendre les filles/femmes et leur vécu
Par Yakhara Gassama, doctorante en travail social, Université Laval
https://aedes.hypotheses.org/
FORMAT TEXTE
2e édition
L'artisanat de la paix : faire coopérer le local et l'international
Par Borne Djeumegued Pascal, doctorat en anthropologie, Université Laval
Article publié dans le Magazine de l'Acfas
Débuter l’exercice de la profession infirmière avec résilience, cette énergie engageante
Par Camille Gagnon-Béland, doctorat en sciences biomédicales, Université du Québec à Trois-Rivières
Article publié dans le Magazine de l'Acfas
FORMAT VIDÉO
2e édition
Page Instagram de vulgarisation scientifique Le plus grand soin
Anne Bonnel, psychologie sociale et cognitive, UQÀM | Université du Québec à Montréal
Article de présentation sur le Magazine de l'Acfas
📸 Instagram : Le plus grand soin
Page Instagram de vulgarisation scientifique Ocean Invaders
Chloé Pazart, maîtrise en océanographie, Université du Québec à Rimouski
Article de présentation sur le Magazine de l'Acfas
📸 Instagram : Ocean Invaders
Rencontrez l'équipage de cette troisième édition du Vulgarisathon! Certains matelots créeront cette année une émission de radio sur les ondes de CHOQ.ca; d'autres exposeront leurs planches de bande dessinée de vulgarisation au Festival BD de Montréal.
Avant de commencer leur voyage, nous leur avons demandé de répondre à la question « C'est quoi la vulgarisation scientifique pour vous? »
À l'abordage!
Juliette Chevet, UQAM - Université du Québec à Montréal
La vulgarisation permet la diffusion des connaissances et d’engager un dialogue entre sciences et société. Il est de notre responsabilité de chercheur.ses de démystifier nos recherches, pour que nos résultats voyagent mieux et plus loin, et pour ouvrir les milieux scientifiques à toustes.
Geneviève David, ENAP - École nationale d'administration publique
La vulgarisation scientifique possède, selon moi, un aspect éthique et politique, c'est-à-dire que le scientifique a un devoir éthique envers la population qui a financé la recherche [...] de prendre position politiquement et d'essayer en tant que scientifique de faire bouger les choses.
Rania Ikram Djermane, UQAM - Université du Québec à Montréal
La vulgarisation scientifique représente pour moi un moyen essentiel de démocratiser les sciences en les mettant à la portée d'un large public. Cela va au-delà de la simple transmission de connaissances, car il s'agit de traduire des expertises et des découvertes scientifiques complexes en termes accessibles. Cette démarche permet à chacun d'explorer des domaines qui pourraient autrement sembler hermétiques, favorisant ainsi une compréhension plus profonde du monde qui nous entoure.
Bertrand Espougne, Université Laval
[...] la vulgarisation est un excellent moyen d'intéresser le grand public aux sciences en général et à la recherche. Si je me suis intéressé aux sciences, c'est parce que j'ai eu la chance, dans ma jeunesse, d'avoir accès à des émissions de vulgarisation, puis plus tard grâce à des vulgarisateurs sur des plateformes web. Cela a cultivé ma curiosité et a sûrement grandement contribué à m'orienter vers la recherche. Plus on en sait, plus on se rend compte qu'il nous reste encore beaucoup de choses à apprendre et que le travail des chercheurs est d'une grande importance.
Emna Fakhfakh, UdeM - Université de Montréal
| [...] la vulgarisation scientifique est une démarche que je considère essentielle pour donner un sens à la recherche scientifique. Je suis convaincue que notre recherche n'a de véritable valeur et un impact réel que lorsqu'elle est rendue compréhensible par le plus grand nombre, à travers un langage simple et accessible. [...] En partageant nos découvertes et nos idées avec un public plus large, nous créons des opportunités de collaboration interdisciplinaire et d'enrichissement mutuel. |
Battiyet Frederique Kouakou, ENAP - École nationale d'administration publique
| La vulgarisation scientifique, c'est rajouter du fun et de l'inclusion à la rigueur scientifique. Briser les stéréotypes et répandre les recherches de sorte à susciter l'intérêt du chercheur et du profane qui n'a aucun lien avec les sciences. Pour moi, la vulgarisation scientifique, c'est de permettre à tous les niveaux d'éducation et de littératie, de comprendre et de s'approprier les lectures scientifiques. |
Lucie Lenglin, UdeM - Université de Montréal
| La vulgarisation scientifique permet de rassembler du public œuvrant dans toutes disciplines et domaines confondus et de s'outiller de connaissances applicables et transférables dans leurs domaines respectifs. En effet, c'est une opportunité d'aiguiser notre esprit critique d'étudiant-chercheur pour aller chercher un partenariat transdisciplinaire. |
Josélyne Nshimirimana, UdeS - Université de Sherbrooke
| Pour moi, la vulgarisation scientifique, c’est communiquer les connaissances scientifiques complexes de façon qu’elles soient accessibles à un public non expert de ton domaine. [...] Le fait de raconter [la science de l'électricité] à travers le vécu des physiciens, leurs échecs et leurs réussites, l’opposition subie de la part de la communauté scientifique au regard de leurs théories, permet de la rendre moins abstraite. |
Isabelle Roy, UdeM - Université de Montréal
| La vulgarisation scientifique permet aux savoirs de se libérer des limites de la science et de se répandre dans la société, enrichissant la culture générale et encourageant une meilleure compréhension des enjeux scientifiques qui façonnent le monde. [...] À mon sens, la vulgarisation scientifique est le pont entre la science et la pratique. Elle est le processus bidirectionnel par lequel la science s’inspire des enjeux vécus par un public cible en particulier afin de leur présenter des faits scientifiques de manière accessible. |
Laurence Tchuindibi, UdeM - Université de Montréal
| La vulgarisation c’est un des canaux qui permet de faire un lien entre les savoirs produits par la recherche et les personnes de la société qui seraient curieuses d’en apprendre plus sur le sujet. [...] Au travers de l’utilisation de moyens de communication divers (narrations, images, vidéos, etc.) et surtout créatifs, elle permet d’expliquer des concepts et des sujets complexes dans un langage qui peut être compris par un large public. Elle permet ainsi d’accroître la portée voire même les retombées de la recherche. |
Émilie Tremblay, UQAM - Université du Québec à Montréal
La recherche ne devrait pas rester entre les seules mains des chercheur.euses, des universités et des centres de recherche. Elle doit aller à la rencontre de la population en utilisant un langage accessible afin de favoriser la co-construction des savoirs. C’est, selon moi, ce que permet la vulgarisation scientifique.
Romane Villemin, UQAM - Université du Québec à Montréal
| La vulgarisation scientifique permet de rendre le jargon et les concepts scientifiques utilisés dans les milieux académiques plus accessibles aux publics non experts ou non spécialisés. Pour être un.e bon.nne vulgarisateur.trice, il faut être claire et simple dans ses communications. [...] Dans toute recherche, la participation du public est importante, adapter nos discours selon chaque public cible permet de renforcer leur confiance en la science et permet de les informer adéquatement afin de pouvoir contrer les fake news. |
Le Vulgarisathon est réalisé grâce au soutien du gouvernement du Québec.
Nous souhaitons remercier le Festival BD de Montréal d’accueillir les participant·es de la cohorte bande dessinée du 3e Vulgarisathon avec l'exposition Dessine-moi la recherche : carnets pour l'éducation et la santé publique, présentée du 24 au 26 mai 2024.
Nous souhaitons remercier CHOQ.ca d'accueillir les participant·es de la cohorte audio du 3e Vulgarisathon pour la diffusion du balado La science des liens sur leurs ondes.