Informations générales
Événement : 90e Congrès de l'Acfas
Type : Colloque
Section : Section 600 - Colloques multisectoriels
Description :L'objectif de ce colloque est de regrouper des exemples ou des témoignages d'initiatives art-science, provenant de tous les domaines scientifiques ou artistiques (bande dessinée, vidéo, théâtre, musique...). Les présentations ou contributions sous toutes les formes sont les bienvenues (diaporamas, présentations audio/vidéo, présentation d'œuvres livre, performance). Les communications orales sont fortement souhaitées, même si les communications par affiche sont possibles. Les sujets traités peuvent être centrés sur un domaine artistique et/ou un domaine scientifique en particulier, ou être multidisciplinaires.
Les contributions seront regroupées sur cette journée selon 3 grand thèmes et réflexions : (1) Une réflexion sur le domaine : Quel art choisir pour communiquer la science ? (2) Une réflexion sur la réalisation : Comment 'le faire', mettre en œuvre l'approche choisie ? (3) Une réflexion sur le lieu ou le contexte : Où et comment communiquer les résultats de ces travaux arts-science ? Des exemples concrets de réalisations seront finalement discutés dans un format table ronde.
Remerciements :Cet évènement est initié et financé par le Réseau de Recherche en Santé Buccodentaire et Osseuse (RSBO).
Le RSBO est un des réseau thématique du FRQS. Depuis plus de 25 années, il soutient sans relâche les chercheurs du Québec et leurs étudiants dans le poursuite de l'excellence en recherche fondamentale, clinique et épidémiologique. Il comporte plus de 100 chercheurs et 300 étudiants.
Format : Sur place et en ligne
Responsables :- Argerie Tsimicalis (Université McGill)
- Christophe Bedos (Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse du Québec)
- Olivier Robin (UdeS - Université de Sherbrooke)
- Intissar Abbaoui (Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse (RSBO))
Programme
Pourquoi communiquer la science ? Points de vues croisés.
Ce colloque a été organisé à l'initiative du Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse (RSBO), un orgranisme qui valorise l'utilisation des arts dans la mobilisation des connaissances.
L'objectif de ce colloque est de regrouper des exemples ou des témoignages d'initiatives art-science, provenant de tous les domaines scientifiques ou artistiques (bande dessinée, vidéo, théâtre, musique...).
Cette session vise à introduire le colloque et à rappeler de manière générale l'importance et le caractère multidisciplinaire de la communication scientifique.
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Communication orale
Mot de bienvenueChristophe Bedos (Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse du Québec), Olivier Robin (U Sherbrook), Argerie Tsimicalis (Université McGill)
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Communication orale
Les méthodologies de recherche basées sur l'art au secours des collaborations entre les artistes et les chercheur.euse.sMaud Gendron-Langevin (UQAM - Université du Québec à Montréal), Chantal Grenier (Dramaturge, comédienne, scénariste), Marika Lhoumeau (UQAM - Université du Québec à Montréal)
Table ronde:
- Pour une réelle recherche-création interdisciplinaire, voire transdisciplinaire
- Pour affronter les tensions arts-science - un nouveau paradigme?
- Pour le développement d'un langage commun entre citoyen.ne.s, artistes et chercheur.euse.s
- Pour comprendre les processus de recherche-création : La discussion portera notamment sur les balados "Devenir Margot" (Lhoumeau, 2021) et "Devenir Roger" (Lhoumeau, 2022), ainsi que la pièce de théâtre "Si un jour je meurs" (Grenier, 2022)
Réflexion sur le domaine : Quel art choisir pour communiquer la science ?
Les contributions sont regroupées sur cette journée selon 3 grand thèmes et réflexions : (1) Une réflexion sur le domaine : Quel art choisir pour communiquer la science ? (2) Une réflexion sur la réalisation : Comment 'le faire', mettre en œuvre l'approche choisie ? (3) Une réflexion sur le lieu ou le contexte : Où et comment communiquer les résultats de ces travaux arts-science ?
Cette session s'intéressera au premier thème.
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Communication orale
Arts et sciences sociales : comment, pour qui, pourquoi ? Retours sur quelques expériencesNathalie Boucher (Respire), Chloé Couvy (Organisme Respire)
Table ronde
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Communication orale
Au-delà de la communication, la co-expérimentation: quand les sciences des matériaux et le design bio-inspiré s’allient vers de nouvelles avenues pour l’oxyde de graphèneMarta Cerruti (Université McGill), Alice Jarry (Université Concordia)
L'oxyde de graphène est un nanomatériau dérivé du graphite. Il est biodégradable et s'est révélé très prometteur dans diverses applications, notamment la filtration de l'eau et les actionneurs thermiques. Malgré ce potentiel, il existe encore très peu d'applications réelles de ce matériau et la plupart des recherches sont restreintes à des laboratoires expérimentaux. Dans le cadre de ce projet interdisciplinaire art-science, des spécialistes des matériaux et des designers se réunissent pour expérimenter de nouvelles méthodes de traitement de l'oxyde de graphène et le transformer en structures qui se déploient à plusieurs échelles, du micro au macro, tout en réagissant à des stimuli. Le projet aboutira à la publication d'articles dans des revues universitaires, à la réalisation d'un film documentaire et à une exposition publique. Au-delà de ces résultats, la démarche en laboratoire (Biointerface Lab, McGill; Milieux Biolab, Concordia) et les méthodologies interdisciplinaires conjointes mises de l’avant montrent la puissance d'un processus de co-création art-science dans lequel des chercheurs et des étudiants d'horizons très différents ont travaillé côte à côte pendant plusieurs mois. Cette communication examinera comment cette approche permet d’apprendre mutuellement et de s’inspirer d’autres disciplines pour déboucher sur des idées novatrices dont les résultats sont passionnants tant d'un point de vue scientifique qu’artistique.
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Communication orale
Les germes d’un ailleurs : recherche sociale et théâtre d’interventionChristopher Mccall (UdeM - Université de Montréal)
Pendant un long hiver québécois, une troupe composée de chercheurs, de comédiens et d’un meneur de jeu ont sillonné le Québec en se servant du théâtre d’intervention pour créer des débats citoyens à partir de résultats de recherche dans le domaine des inégalités sociales et des discriminations. Nous avons conçu cette tournée théâtrale comme un tribunal itinérant de droits de la personne, où les publics sont invités à écouter les témoignages présentés sur scène, à les juger à partir de leur propre expérience et à délibérer sur les suites qui pourraient y être données. La «non-existence» à laquelle sont condamnées les personnes sujettes à l’appauvrissement et à la stigmatisation et les difficultés d’agir de ceux et de celles qui interviennent auprès d’elles, une fois mises en scène et soumises à la délibération publique, portent en elles des possibilités insoupçonnées d’exister et d’agir collectivement. Nos expérimentations alliant recherche sociale et théâtre d’intervention lors de cette tournée québécoise et en Europe suggèrent que cette pratique alternative de citoyenneté contient en elle les germes d’un ailleurs qui est plus près de nous que nous pourrions le penser. C’est la réalité qu’on ne veut pas voir qui constitue la matière présentée sur scène et qui peut ouvrir des brèches vers un autre monde qui est aussi le nôtre.
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Communication orale
Apprivoiser le vertige : quand l'art vivant joue avec la scienceAntonia Leney-Granger (Théâtre du Renard)
Depuis 2015, le Théâtre du Renard vise à rendre des idées complexes accessibles et intéressantes pour tous. Alliant poésie des images et humour décontracté, la compagnie crée des œuvres qui attisent la curiosité et ouvrent de nouveaux horizons.
Dans cette présentation, Antonia Leney-Granger, directrice artistique, présentera deux projets récents : La rébellion du minuscule, spectacle en création autour de la physique quantique, et Enracinés, balado sur les secrets de la nature urbaine. Elle abordera le processus de recherche entourant ces œuvres, sa vision de l'intégration de savoirs scientifiques au cœur de récits engageants, les forces uniques de chaque médium artistique, et l'importance de multiplier les liens entre artistes et scientifiques. Car entre chercheurs, on se comprend déjà bien plus que l'on croit...
Être scientifique et artiste, ou artiste et scientifique?
Dîner
Réflexion sur la réalisation : Comment 'le faire', mettre en œuvre l'approche choisie ?
Les contributions sont regroupées sur cette journée selon 3 grand thèmes et réflexions : (1) Une réflexion sur le domaine : Quel art choisir pour communiquer la science ? (2) Une réflexion sur la réalisation : Comment 'le faire', mettre en œuvre l'approche choisie ? (3) Une réflexion sur le lieu ou le contexte : Où et comment communiquer les résultats de ces travaux arts-science ?
Cette session s'intéressera au second thème.
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Communication orale
Chanson " I've got pain"Stephanie Smith (Shriners Hospitals for Children), Argerie Tsimicalis (Université McGill), Karl Williams (Island Health, Emergency Health, British Columbia)
"I've Got Pains" est une vidéo musicale animée basée sur nos recherches décrivant les expériences de douleur des enfants atteints d'ostéogenèse imparfaite (OI), une maladie rare et héréditaire qui rend les os très fragiles et provoque de nombreuses cassures et blessures. Les différentes images et couleurs de cette courte animation symbolisent les douleurs physiques et mentales des enfants, qu'elles soient grandes ou petites
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Communication orale
Chanson " We chose to fight "Abdallah Ouedraogo (Université Joseph Ki ZERBO)
La chanson raconte l'histoire d'une femme atteinte d'un cancer du sein qui a choisi de se battre et qui a finalement réussi, avec l'aide de sa famille, à vaincre la maladie.
La chanson est en français avec des parties aux quatre langues nationales. -
Communication orale
Enseigner la communication scientifique via les arts à l'université ?Olivier Robin (UdeS - Université de Sherbrooke)
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Communication orale
Classification systématique de TupperwaresJulie Dirwimmer (Fonds de recherche du Québec)
Dans une recherche désespérée de contrôle sur son environnement, Madame Cosinus propose d’appliquer les principes de la classification systématique des espèces de Carl von Linné à notre tiroir à Tupperwares. Au fil de cette conférence pastiche qui a été donnée en février 2023 aux Dimanches du conte, Madame Cosinus présentera le schéma de classification en tant que tel de la classe des Tupperwaroides, ainsi que quelques espèces les plus communes comme Dollaramae BPA, ChaudEnEstius Anus, etc. Elle relatera aussi quelques observations d’espèces rares faites sur le terrain, comme Archaus, ou Bananeo Bananus. Enfin, elle présentera quelques éléments biographiques de Carl von Linné, inventeur de la nomenclature binomiale, et qu’on considère encore aujourd’hui comme la plus grande Germaine que la nature ait été donnée de voir. Cette conférence pastiche est, peut-être, la première qui n’ai jamais été proposée au Congrès de l’Acfas. Ce format constitue une manière originale et peu onéreuse d’amener un regard artistique dans les conférences scientifiques, offrant l’occasion aux conférenciers et conférencières de prendre un peu de distance sur les sujets traités, et sur ce que la science peut (ou ne peut pas) y apporter. Par exemple, à l’occasion de La classification systématique des Tupperwares, le public sera amené à réfléchir au rôle de la science dans la propension de l’humain à s’approprier son environnement via le savoir académique.
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Communication orale
Liens entre littérature, art et sciences socialesNicolas Sallée (UdeM - Université de Montréal)
Reflexion sur le processus de "bédéification" de sa recherche.
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Communication orale
Engagement des patients dans les maladies rares: identification du problème, développement d'outils et transfert des connaissancesNoémi Dahan-Oliel (Hôpital Shriners pour enfants), Rose Elekanachi (Université McGill), Shahrzad Nematollah (Université McGill, Hôpitaux Shriners pour enfants)
En utilisant une approche axée sur le patient, nous démontrerons le développement de projets de recherche en débutant avec l'identification du problème et de la question de recherche, la création d'outils de mesure spécifiques à une population pédiatrique en maladies rares. Nous partagerons nos projets qui mettent en valeur l'innovation en utilisant diverses formes de média afin de co-créér et partager les connaissances pour promouvoir la sensibilisation dans le domaine des maladies rares musculosquelettiques.
Réflexion sur le lieu ou le contexte : Où et comment communiquer les résultats de ces travaux arts-science ?
Les contributions sont regroupées sur cette journée selon 3 grand thèmes et réflexions : (1) Une réflexion sur le domaine : Quel art choisir pour communiquer la science ? (2) Une réflexion sur la réalisation : Comment 'le faire' et mettre en œuvre l'approche choisie ? (3) Une réflexion sur le lieu ou le contexte : Où et comment communiquer les résultats de ces travaux arts-science ?
Cette session s'intéressera au troisième thème.
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Communication orale
Engagement citoyen art et science : l’expérience Neurosciences SherbrookeJerome Cote (UdeS - Université de Sherbrooke)
Neurosciences Sherbrooke s’investit dans l'idée d'une meilleure porosité entre le monde académique et l'univers citoyen. La tendance actuelle est au divertissement et au spectacle : et bien, profitons-en pour éduquer et encourager le débat et la discussion, tout en captivant et en charmant le public. Pour paraphraser un personnage infâme : make science cool again !
Nous avons choisi les arts et la culture pour diffuser, sensibiliser, émouvoir, questionner, créer, inciter, déclencher. Des collaborations scientifiques-artistes en tout genre sont explorés et ont démontré leur efficacité par de nombreuses salles combles, commentaires positifs et interactions avec les citoyens‧nes. À titre d’exemple : « Exprime-toi pour la santé », où patients, artistes et scientifiques présentent sur scène le fruit de leur travail artistique collectif relié à diverses thématiques de santé (danse, clown, chant choral, etc.), les soirées « Neuro-Ciné » où le visionnement d’un film thématique précède des échanges avec des scientifiques, des ateliers de création de slams scientifiques suivis d’une déclamation publique, et nos deux « Neuro-Show », grands spectacles théâtraux à saveur neuroscientifique ayant récemment remporté les honneurs à Falling Walls Engage à Berlin.
Chaque fois : la création d’une expérience unique par l’intégration d'un contenu scientifique à une expérience artistique. Un bénéfice pour tous les partis, scientifiques compris.
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Communication orale
Du fleuve à la scène ; la traverse d’écH2osystèmeGeneviève Dupéré (UQAM - Université du Québec à Montréal)
ce que par les arts du cirque, il me serait possible d’explorer la complexité de l’écosystème du Saint-Laurent et de transposer sur scène ce qui nous y relie ?
Selon le philosophe Bruno Latour, les arts sont une forme d’exploration et d’enquête aux cotés des esthétiques politique et scientifique de la connaissance. (2021, p.25). En 2017, je pars du fleuve au golfe, à la rencontre de plus de 300 collaborateurs des sciences marines et des eaux douces, de la pêche et de l’industrie maritime. À partir de leurs échos, écH2osystème se forme pour traverser du fleuve à la scène.
La complexité du Saint-Laurent est telle, qu’il est impossible de la cerner en cumulant des données physiques, biologiques, chimiques, géologiques, économiques, historiques, géographiques ou sociologiques. Selon le sociologue Edgar Morin et l’écologiste Pierre Dansereau, la stratégie de la complexité interpelle les arts, indispensables à la découverte scientifique. (Morin, 1990, p. 313, Dansereau, 1973, p.58) écH2osystème est un projet de recherche-création maritime qui ne cherche pas à expliquer mais à explorer, arrimer et valoriser la dynamique du Saint-Laurent, omniprésente dans nos vies comme dans nos sociétés. En suivant ce fil, l’approche de collaboration et de cocréation émergeant de ce projet, questionne le rôle possible des arts comme mode de connaissances qui, de concert avec les sciences, pourrait transposer la complexité d’un écosystème dont nous faisons partie, à une échelle qui nous interpelle. -
Communication orale
De la science dans l’art…et vice versa!Stephan Chaix (UQAM - Université du Québec à Montréal)
Le Coeur des sciences a pour mission de contribuer au développement de la culture scientifique tant auprès du grand public adulte que des élèves du secondaire. Lieu convivial de rencontre entre chercheurs, artistes et citoyens, il offre des activités variées telles des conférences, des débats, des balades urbaines, des excursions, ou encore des ateliers. Régulièrement, le Coeur des sciences propose des spectacles à saveur scientifique : soirées sciences et contes, conférences saupoudrées de littérature, spectacle de théâtre à part entière, etc. Plusieurs formules sont possibles. Un peu d’art, beaucoup de science, beaucoup d’art, moins de science… Il y en a pour tous les goûts. Les artistes sont parfois en coulisse et accompagnent les scientifiques qui monteront sur scène. Ou le contraire : les chercheurs ou chercheuses interviennent en amont et nourrissent le contenu du spectacle. Enfin, il y a les moments magiques où les artistes et les scientifiques coconstruisent le spectacle ou se retrouvent ensemble sous les feux des projecteurs.
En tant que passeur de culture scientifique, que cherchons-nous dans ces événements arts et sciences? Une connexion, une émotion, un étonnement. Finalement, ce n’est pas toujours un peu ça, la vulgarisation scientifique?
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Communication orale
Dire la science au théâtreYanick Villedieu (Travailleur Autonome)
La science n’est pas que chiffres et formules, elle est aussi littérature.
C’est de cette conviction qu’est né mon spectacle Du Big bang à la Double hélice, une mise en lecture de textes écrits pour l’essentiel par des scientifiques. Il a été créé par le Festival international de la littérature le 22 septembre 2018 au Théâtre Outremont, et repris en 2019 à Montréal et à Québec. Le choix des textes a été fait en collaboration avec l’auteur, metteur en scène et acteur Antoine Laprise.
La même volonté de « dire la science au théâtre » est à l’origine de mon second spectacle, Lettres biologiques, amours interdites, La correspondance sur la sexualité humaine entre le Frère Marie-Victorin et Marcelle Gauvreau. Créé lui aussi par le Festival international de la littérature au Théâtre Outremont le 19 septembre 2020, ce spectacle a été présenté sur différentes scènes en 2022 et 2023. Le choix des textes a été fait en collaboration avec la comédienne, scénariste et metteure en scène Marika Lhoumeau.
La science peut-elle se tailler une place dans le monde de la littérature ? Comment passer outre aux inévitables « j’ai toujours été nul en science » ou « les chiffres et moi, ça n’a jamais marché » ? Des spectacles à caractère scientifique présentés dans le cadre d’événements littéraires peuvent-ils rapprocher les « deux solitudes » ? Quelle dynamique s’est instaurée avec les gens de théâtre qui ont étroitement participé à ces créations ? Nous verrons quelles leçons tirer de ces expériences.
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Communication orale
Art et scienceDaniel Ha (RSBO), Martin Patenaude-Monette (Martin PM)
Nous vous parlerons de notre passion, utiliser l'art pour vulgariser la science et nous vous raconterons notre experience en tant que deux artistes en résidence au sein du Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse (RSBO)
Showtime
C'est l'occasion de présenter des oeuvres et performances artistiques. Ce moment sera également dédié au lancement d'un travail artistique, la BD du le Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse (RSBO): Ça ne vous fera pas mal !
La recherche en santé buccodentaire et osseuse demeure particulièrement mal aimée. La tendance lourde est au déni: ce champ d'expertise suscite l'aversion puisqu'il est souvent associé à la douleur (fractures) ou même au dégoût (infections buccales, cancer de la bouche, ect.).
Notre BD a pour mission de renverser cette tendance en vous informant sur les avancées majeures dans le domaine. Nous voulons vous montrer ce qu'est la recherche en santé et partager notre passion avec vous. Afin de souligner de façon originale les recherches de membres, le Réseau de recherche en santé buccodentaire et osseuse (RSBO) a engagé deux artistes en résidence, Daniel Ha et Martin Pm. Pendant plus d'un an, les deux artistes sont partis à la rencontre des de nos chercheurs dans l'ensemble du Québec et ont visité leur labos afin de vous faire découvrir leurs travaux extraordinaires.
Nous espérons que ce travail vous inspireront et vous permettront de jeter un regard nouveau sur la recherche scientifique dans le domaine de la santé buccodentaire et osseuse.