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Informations générales

Événement : 88e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 400 - Sciences sociales

Description :

Le phénomène de la pauvreté en milieu rural au Québec est à la fois réel et méconnu. Le Collectif de recherche participative sur la pauvreté en milieu rural, issu du module de travail social de l’UQAR, a comme mission « de coproduire des connaissances au carrefour des pratiques sociales, de la ruralité et de la pauvreté en vue de contribuer au mieux-être des personnes et des collectivités rurales, particulièrement en Chaudière-Appalaches, dans le Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie−Îles-de-la-Madeleine », et il « s’intéresse aux expertises des personnes en situation de pauvreté, de même qu’aux pratiques sociales tant individuelles, de groupe que collectives, soutenant ainsi les acteurs sociaux concernés, notamment ceux issus de la société civile, du réseau de la santé et des services sociaux, du milieu communautaire, du monde municipal et du secteur de l’éducation » (Gaudreau, Desgagnés, Gélineau et Cormier, 2019). La présente proposition de colloque s’inscrit dans la continuité des travaux du Collectif, avec des projets qui visent à : a) contribuer à l’avancement des connaissances sur la pauvreté et au développement des pratiques sociales en milieu rural; b) contribuer au mieux-être des personnes et des collectivités rurales; c) soutenir les efforts des municipalités rurales dans leur engagement face à la pauvreté; d) reconnaître et documenter les expertises des premier.ère.s concerné.e.s et des praticien.ne.s; et e) théoriser des approches participatives en recherche, sous l’angle des iniquités épistémiques. Les intérêts de recherche sont dirigés vers : les visages et les parcours des personnes touchées par la pauvreté et l’exclusion sociale; les projets, les pratiques et les initiatives visant à améliorer la qualité et les conditions de vie de ces personnes; les acteurs collectifs qui mettent en place ces projets, ces pratiques et ces initiatives, ainsi que la dynamique qui les rassemble; la recherche-action participative et l’enquête conscientisante.

Date :

Format : Uniquement en ligne

Responsables :

Programme

Panel / Atelier

Accueil, introduction et cercle de parole

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne

Communications orales

Thème : portrait des personnes en situation de pauvreté

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  • Communication orale
    « Je suis tombée tellement bas, je suis tombée sur le BS, ça fait honte, c’est humiliant» : Écouter la voix des femmes en situation de pauvreté exprimant leur souffrance
    Hélène Albert (Université de Moncton), Isabel Lanteigne (Université de Moncton), Lise Savoie (Université de Moncton)

    Cette présentation met en lumière la souffrance des femmes en situation de pauvreté à partir de leur expérience de vie selon une perspective féministe. Leurs discours sont tirés de trois recherches qualitatives portant sur la pauvreté des femmes au Nouveau-Brunswick. La situation de pauvreté de ces femmes prend divers visages dans le sens où certaines d’entre elles travaillent au salaire minimum, d’autres sont en congé d’invalidité à long terme, d’autres reçoivent des prestations d’assurance emploi et, enfin, certaines sont prestataires d’assistance sociale. Malgré cette diversité, les rencontres avec ces femmes ont illustré une dimension subjective soit la souffrance qu’entraine la pauvreté au-delà de la privation matérielle. Ainsi, les femmes survivent dans un système qui promeut des idéologies dominantes valorisant, entre autres, le succès et la réussite matérielle (Jo, 2012). Vivre dans ce système, surtout en situation de pauvreté, produit de la honte (Chamberlen, 2017), offre peu d’espoir (Reid et Tom, 2006) et mine le pouvoir des femmes (Novak, 1995). Pour combattre la pauvreté, il importe d’intervenir dans un souci de promotion de la dignité humaine (Gupta, 2015), de reconnaissance et d’actualisation des droits humains et de solidarité auprès des nôtres, ces autres qui comme nous appartiennent à une commune humanité.

  • Communication orale
    REGARDS CROISÉS SUR LA PAUVRETÉ AU MASCULIN Parcours d’hommes en Chaudière-Appalaches
    Jean-Yves Desgagnés (UQAR - Université du Québec à Rimouski)

    Jean-Yves Desgagnés, Ph.D., est professeur en travail social à l’UQAR depuis 2010. Toute sa vie professionnelle et d’engagement a été consacrée à la lutte contre la pauvreté au Québec. C’est à travers cet engagement qu’il découvre et s’intéresse peu à peu à la réalité des hommes en situation de pauvreté. En 2018-2019, avec d’autres collègues de son université, Guitté Hartog, professeure associée, Georges Goma, professeur associé et Lorraine Gaudreau, professeure régulière, il a réalisé un projet de recherche visant à comprendre les parcours d’hommes en situation de pauvreté vivant en contexte de ruralité dans la région de Chaudière-Appalaches. Au total, 14 hommes ont été rencontrés et ont accepté que soient dévoilés leurs parcours, leurs vulnérabilités, leurs souffrances, mais aussi les stratégies déployées pour se reconstruire, donner un nouveau sens à leur existence et retrouver leur humanité en dehors du rôle traditionnel de l’homme pourvoyeur ou de la camisole de force de la masculinité hégémonique. Notre présentation fera état du parcours type issu de l’analyse transversale des 14 entrevues et des stratégies et moyens déployés par ces hommes pour survivre, mais aussi pour se sentir utile à la société en dehors du statut de travailleur salarié.

  • Communication orale
    Capsules "Grands témoins"- Capsules "Grands témoins"- Nadya Thériault, citoyenne engagée, région du Bas-St-Laurent.
    Nadya Thériault (Collectif de recherche participative de l'UQAR)

    Les capsules "Grands témoins" représentent trois types d'expertises au sein de la recherche participative : expertise de recherche universitaire, expertise de la pratique et expertise du vécu. Ainsi, des personnes de chacune des expertises seront désignées comme grand témoin pour réagir à des thèmes de présentation tout au long de la journée du Colloque. Nadya Thériault se définit comme une citoyenne engagée et s’implique au Collectif de Recherche : Nos Communautés AVEC. Martine Turgeon, directrice du Centre-Femmes de Lotbinière, est diplômée en service social et issue de la pratique en milieu communautaire et rural. Lucie Gélineau est, pour sa part, praticienne et théoricienne de la recherche-action participative depuis 30 ans, accompagnatrice d’acteurs citoyens engagés dans de telles démarches.


Communications orales

Thème : interventions (Partie 1)

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  • Communication orale
    Comment favoriser la participation des enfants dans les interventions : une étude participative menée avec des enfants de 6 à 12 ans.
    Vicky Lafantaisie (UQO, professeure), Sarah Tourigny (UQO - Université du Québec en Outaouais)

    L’article 12 de la Convention relative aux droits des enfants souligne que les enfants doivent être libres d’exprimer leur opinion et que celle-ci doit être considérée par les adultes. Toutefois, plusieurs recherches démontrent que les intervenants peinent à réellement prendre en compte le point de vue des enfants. Le projet de recherche présenté s’est déroulé à l’intérieur d’un Centre de pédiatrie sociale en communauté. Il souhaite mieux comprendre ce qui favorise la participation des enfants dans une démarche d’intervention. Six focus group, dans lesquels différentes activités et stratégies ont été imaginées pour favoriser la prise de parole des enfants vivant en contexte de vulnérabilité, ont été animés auprès d’enfants âgés de 6 à 12 ans. L’analyse de contenu thématique des verbatim a fait ressortir des résultats pertinents pour l’intervention. Des caractéristiques propres à l’environnement (p.ex. lieu, position, atmosphère), au savoir-être (p.ex. écoute, considération, sécurité, principe de justice) et au savoir-faire (p.ex. type d’intervention, approche, ton de voix) des intervenants ont été décrites de manière sensible et détaillée par les enfants. Ceux-ci valorisent que les intervenants les questionnent et respectent leur opinion puisque cela contribue notamment à leur motivation et à leur fierté personnelle. En conclusion, nous discuterons de comment une approche participative, qui donne une place importante à l’expression des enfants, peut accroître leur bien-être.

  • Communication orale
    La littératie en milieu rural dévitalisé : analyse des besoins et impacts d’une médiathèque sur l’éducation et la culture
    Sébastien Ouellet (UQAR - Université du Québec à Rimouski)

    La vision de l’UNESCO concernant la culture et l’éducation (1990) souligne un enjeu encore bien présent dans plusieurs régions rurales, caractérisées par un indice de dévitalisation élevé, qui font face à un défi important en matière de littératie, de développement social et de culture (Nicholls, 2005 ; Statistiques Canada, 2016). Or, la mise à profit de la littératie médiatique offre des possibilités qui paraissaient inaccessibles aux milieux ruraux, notamment en raison de leur éloignement avec les grands centres urbains où se trouvent davantage d’institutions d’enseignement ou à vocation culturelle (Saire, 2016).

    Nous présentons le cas de la transformation d’une église en médiathèque dans une région qui vit de nombreux défis en matière. Nous voyons dans ce projet communautaire le rôle structurant que peut jouer un bâtiment défini par sa dimension éducative et culturelle. La mise en relation des données déjà disponibles, l’analyse des besoins locaux et des impacts du projet nous permettent de mieux comprendre le rôle que peut jouer une telle infrastructure dans le développement des individus et des collectivités. Dans le cadre de cette démarche de recherche-intervention, nous avons pu mieux intervenir lors de sa mise en place et nous avons pu analyser certains effets de son implantation. De telles initiatives mènent également à repenser certaines pratiques sociales, culturelles et d’enseignement, et ce, dans des contextes formels ou informels.

  • Communication orale
    Avoir son Chez-soi dans sa communauté : le Programme de supplément au loyer en santé mentale en Chaudière-Appalaches
    Emmanuelle Bédard (UQAR), Cécile Cormier (UQAR - Université du Québec à Rimouski)

    Le logement est un important déterminant social de la santé et ce, particulièrement pour les personnes vivant avec un problème de santé mentale (Beaulieu et Dorvil, 2004). Or, l’offre de logements adéquats et abordables hors des centres urbains est nettement insuffisante (Coalition pour le développement du PSL en santé mentale en Chaudière-Appalaches, 2014). La majorité des personnes qui recherchent un logement en Chaudière-Appalaches sont des personnes seules et peu de logements subventionnés sont disponibles à l’extérieur des centres urbains (Ibid), ce qui oblige souvent les personnes à quitter leur milieu de vie. Préoccupée par cette situation, la Coalition a fait valoir la pertinence d’étendre le Programme de supplément au loyer (PSL) aux personnes vivant avec un problème de santé mentale en milieu rural. Ainsi, 50 PSL ont été octroyés. La présente recherche visait à mieux comprendre ce que représente le PSL pour les personnes bénéficiaires.

    Cette recherche qualitative de type collaboratif a été menée dans les neuf municipalités régionales de comté (MRC) de Chaudières-Appalaches et dans la Ville de Lévis, auprès de quatorze personnes qui ont reçu un PSL en santé mentale et de huit intervenant.e.s provenant de partout sur le territoire, en plus de l’observation participante des rencontres de la Coalition. Dans cette présentation, un accent sera mis sur la comparaison des résultats entre les personnes ayant reçu la subvention et les intervenant.e.s qui les accompagnent.


Dîner

Dîner libre sur le site pour les personnes en présence

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Communications orales

Thème : interventions (Partie 2)

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  • Communication orale
    Capsules Grands témoins
    Martine Turgeon (Centre-Femmes de Lotbinière)

    Les capsules "Grands témoins" représentent trois types d'expertises au sein de la recherche participative : expertise de recherche universitaire, expertise de la pratique et expertise du vécu. Ainsi, des personnes de chacune des expertises seront désignées comme grand témoin pour réagir à des thèmes de présentation tout au long de la journée du Colloque. Nadya Thériault se définit comme une citoyenne engagée et s’implique au Collectif de Recherche : Nos Communautés AVEC. Martine Turgeon, directrice du Centre-Femmes de Lotbinière, est diplômée en service social et issue de la pratique en milieu communautaire et rural. Lucie Gélineau est, pour sa part, praticienne et théoricienne de la recherche-action participative depuis 30 ans, accompagnatrice d’acteurs citoyens engagés dans de telles démarches. Une personne issue de la pratique agira aussi comme grand témoin.


Communications orales

Thème : participations citoyennes et recherches participatives

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  • Communication orale
    Vivre et vieillir ensemble dans nos quartiers ruraux : Récit d’une démarche de co-construction des savoirs par et pour les ainés des quartiers ruraux de Rouyn-Noranda
    Gabrielle Arseneau (Centre d’action bénévole de Rouyn-Noranda, étudiante à la maîtrise UQAT), Kathleen Baldwin (UQAT - Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue), Christian Cheminais (Étudiant à la maîtrise UQAT, assistant de recherche), Dominique Gagnon, (gérontologue et professeur en travail social UQAT), Roger Létourneau (citoyen engagé, membre du comité de recherche)

    Les personnes ainées vivant en milieu rural souhaitent rester chez elles le plus longtemps possible, mais diverses composantes dans leur environnement entravent cette volonté et les amènent à quitter prématurément leur foyer. Parmi ces composantes, le manque d’accessibilité aux services constitue un enjeu social susceptible de renforcer l’isolement social, voire de la stigmatisation, d’autant plus lorsque ces ainés se retrouvent en situation de pauvreté.
    Cet enjeu est examiné lors d’une recherche qualitative exploratoire de type recherche-action participative déployée dans les 12 quartiers ruraux de la ville-MRC de Rouyn-Noranda. S’appuyant sur une volonté du milieu de mieux comprendre les réalités vécues, les ainés sont partie prenante à toutes les étapes de la recherche. Leur expérience et leurs compétences sont mises à contribution afin d’identifier les facteurs qui posent problème à leur maintien à domicile et les pistes d’action pouvant être mises en place.
    Or, la crise sanitaire actuelle nous démontre encore plus que jamais la pertinence d’un tel projet et l’importance de soutenir les personnes âgées habitant en milieu rural. La réalisation d’une telle démarche citoyenne suscite néanmoins des enjeux de coordination, de mobilisation et d’organisation pour donner une voix à des ainés, et particulièrement dans un contexte de pandémie de COVID-19. Ce sont de ces éléments de processus de recherche participative dont les auteurs veulent discuter.

  • Communication orale
    Une pratique de participation citoyenne qui inspire une région!
    Guylaine Bélanger (CISSS du Bas-Saint-Laurent), Jacinthe Montplaisir (chargée de projet CDC des Grandes Marées), Nadya Thériault (citoyenne engagée)

    Mettre la participation citoyenne au cœur d’une démarche de concertation visant la lutte à la pauvreté et à l’exclusion? Voilà le défi que se sont lancés les partenaires de la MRC Rimouski-Neigette, lors du PAGSIS 2011-2015[1]. Un défi qui a pris la forme d’une aventure nous ayant mené sur des chemins de traverse… mais qui a aussi permis l’appropriation d’une démarche gouvernementale, l’empowerment d’une population marginalisée, ainsi que la création de nouvelles solidarités et de projets plus près des besoins des personnes concernées.

    Depuis 2015, un petit groupe a repris le récit de ces histoires individuelles et collectives afin de faire rayonner la flamme de la participation citoyenne. Valise en main, il a partagé les apprentissages de cette expérience du « Faire AVEC ». Résultat : dans le cadre des nouvelles Alliances pour la solidarité et l’inclusion sociale, c’est dans les 8 MRC du Bas-Saint-Laurent que se déploie une démarche concertée de participation citoyenne !

    Devant cet engouement, mais aussi le désir de mieux documenter les différents processus favorisant la mobilisation vers un « NOUS collectif », quelques partenaires de la précédente Alliance ont souhaité se lancer dans une recherche action participative. En attendant que mûrissent les fruits de ce nouveau chapitre de notre histoire, nous serons honorées de vous partager les moments importants de l’expérience qui nous a menées jusqu’ici.

    [1] Plan d’action gouvernemental pour la solidarité et l’inclusion sociale

  • Communication orale
    Capsules Grands témoins - Lucie Gélineau, professeure-chercheure UQAR
    Lucie Gélineau (UQAR - Université du Québec à Rimouski)

    Les capsules "Grands témoins" représentent trois types d'expertises au sein de la recherche participative : expertise de recherche universitaire, expertise de la pratique et expertise du vécu. Ainsi, des personnes de chacune des expertises seront désignées comme grand témoin pour réagir à des thèmes de présentation tout au long de la journée du Colloque. Nadya Thériault se définit comme une citoyenne engagée et s’implique au Collectif de Recherche : Nos Communautés AVEC. Martine Turgeon, directrice du Centre-Femmes de Lotbinière, est diplômée en service social et issue de la pratique en milieu communautaire et rural. Lucie Gélineau est, pour sa part, praticienne et théoricienne de la recherche-action participative depuis 30 ans, accompagnatrice d’acteurs citoyens engagés dans de telles démarches.

  • Communication orale
    LE COLLECTIF DE RECHERCHE PARTICIPATIVE SUR LA PAUVRETÉ EN MILIEU RURAL APPRENTISSAGES à TIRER de l’ALLIANCE D’EXPERTISES POUR LE DÉVELOPPEMENT D’UNE PROGRAMMATION DE RECHERCHE
    Jean-Yves Desgagnés (UQAR - Université du Québec à Rimouski), Lucie Gélineau (UQAR)

    Le Collectif de recherche participative sur la pauvreté en milieu rural a vu le jour en 2013, à l’initiative de professeur.e.s en travail social de l'UQAR, campus de Lévis, en collaboration avec des chercheur.e.s de l’INSPQ, de la santé communautaire de l'Université Laval ainsi que des acteurs de la Direction de santé publique de Chaudière-Appalaches. En cohérence avec sa perspective méthodologique de nature participative, le collectif s’est adjoint des experts de la pratique, soit des intervenant.e.s sociaux provenant du CISSS Chaudière-Appalaches et d’organismes communautaires, ainsi que des expert.e.s du vécu de la pauvreté, soit des citoyen.e.s engagé.e.s dans des organismes actifs dans les GRAP (Groupes de réflexion et d’action sur la pauvreté). Dès sa création, un triple mouvement a favorisé l’instauration d’un dialogue milieux/université favorable au développement d’une programmation de recherche en réponse aux besoins du milieu : l’échange entre ses membres; la tenue de forums, laboratoires et colloques sur le thème de la pauvreté en milieu rural; et la participation aux activités de partenaires majeurs, soit le Regroupement québécois des intervenantes et intervenants en action communautaire (RQIIAC) et le Groupe de réflexion et d’action contre la pauvreté (GRAP) de Chaudière-Appalaches. En 2021, quels apprentissages peut-on tirer de cette expérience de faire de la recherche universitaire autrement ? Et qu’en est-il sous l’éclairage de la justice « épistémique »?


Panel / Atelier

Cercle de paroles et mots de la fin

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Réseautage

5 à 7 réseautage en présence, si la situation sanitaire le permet

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