La version franco-canadienne de la Quality Health Economic Scale (QHES): L’Échelle QHES
Lucie Brosseau (Université d’Ottawa), Paulette Guitard (Université d'Ottawa), Chantal Laroche (Université d'Ottawa), Judy King (Université d'Ottawa), Julie Alexandra Barette (Université d'Ottawa), Dominique Cardinal (Université d'Ottawa), Rose Martini (Université d'Ottawa), Josée Lagacé (Université d'Ottawa), Nicole Paquet (Université d'Ottawa), Ann Sutton (Université d'Ottawa), Jacinthe Savard (Université d'Ottawa), Elizabeth Fitzpatrick (Université d'Ottawa), Sabrina Cavallo (Université d'Ottawa), Karine Toupin-April (Hôpital des Enfants de l'Est de l'Ontario), Roseline Galipeau (Université du Québec en Outaouais), Jennifer O’Neil (Université d"Ottawa), Shirin Mehdi Shallwani (Université d'Ottawa), Hussein Ba Haroon (Université d'Ottawa), Laurence Côté (Université d'Ottawa), Caroline Chamberland (Université d'Ottawa), Marie-Christine Ranger (Université d'Ottawa), Marie-Eve Bérubé (Université d'Ottawa), Setou Mamadou Diarra (Université d'Ottawa), Ferdinand Mito-Yobo (Université d'Ottawa), Laurianne Loew (Université d'Ottawa), Jacynthe Bigras (Université d'Ottawa), Julie Capistran (Université d'Ottawa), Marylène Charette (Université d'Ottawa), Amélie Gauthier-Beaupré (Université d'Ottawa), Briana Campbell (Université d'Ottawa), Marie Séguin (Université d'Ottawa), Andrew Bhikarry (Université d'Ottawa), Sean Stoqua (Université d'Ottawa)
Problématique : Les études économiques en santé sont essentielles pour estimer la rentabilité des interventions en santé. L’Échelle Quality of Health Economic Scale (QHES) est très utilisée et reconnue comme étant une échelle fiable et validée en langue anglaise pour mesurer la qualité méthodologique des études économiques. L’objectif est de produire une traduction franco-canadienne de l’Échelle QHES sous l’appellation proposée de l’Échelle QHES et d’en examiner la validité de contenu. La méthodologie de validation transculturelle de Vallerand (1989) a été utilisée. Une traduction renversée parallèle de la QHES a d’abord été effectuée à la fois par des professionnels et des cliniciens. Ensuite, un premier comité d’experts (P1) a examiné les versions traduites et a créé la version expérimentale de l’Échelle QHES. Celle-ci a été évaluée et modifiée par un deuxième comité d’experts (P2). Finalement, 36 futurs professionnels ont évalué cette version expérimentale pré-testée de l’outil à l’aide d’une échelle d’ambiguïté de 7 points (1 : très clair; 7 : très ambigu). Les co-chercheurs principaux ont examiné les éléments problématiques et ont proposé les modifications finales. Résultats : Les quatre étapes rigoureuses du processus ont permis de produire une version franco-canadienne valide de l’Échelle QHES. Conclusion : Cette échelle validée peut s’avérer pertinente pour les professionnels et chercheurs franco-canadiens et pourrait intéresser la francophonie internationale.
Résumé