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88e Congrès de l'Acfas
Auteur et co-auteurs
Mohamed Fodil
University Farhat Abbas Setif 1 - Algérie
Samira Maane, Mohamed Fahim Haroun, Beatriz Delgado Cano, Mireille Nadeau, Antonio Avalos Ramirez
Université de Farhat Abbas Setif 1 - Algérie, Centre National en Électrochimie et en Technologies Environnementales Shawinigan , Canada, CNETE
5a. Résumé

L’antimoine (Sb) et le fer (Fe) sont des métaux très utilisés dans des alliages, notamment avec le plomb (Pb). On les retrouve dans des plaques d’accumulateurs plomb-acide, des alliages pour soudure, des semi-conducteurs et des revêtements avec d’autres métaux.

Il est bien connu que les métaux lourds tels que le Pb(Ⅱ), le Fe(Ⅱ) et le Sb(Ⅱ) sont toxiques pour les êtres humains et les organismes vivants en général, quand leur concentration dépasse les limites de tolérance. Ces métaux lourds peuvent entrer dans l’environnement par les rejets non traités des eaux usées provenant des industries. Il y a une diversité de technologies pour l’enlèvement des métaux lourds. Parmi eux, le plus flexible et utilisé est l’adsorption avec du charbon activé, mais ce matériel est couteux. Une option très prometteuse consiste à développer et valider des adsorbants simples, performants, respectueux de l’environnement et peu coûteux, tels que les bioadsorbants.

La présente étude consiste à utiliser des résidus agricoles comme bioadsorbants pour le contrôle des émissions des métaux lourds, plus spécifiquement les feuilles d'olivier. L’étude des principaux paramètres qu’influencent l’adsorption de ces métaux sur les feuilles d’olivier tel que pH, la température, le ratio masse adsorbant/volume de solution à traiter, le temps de contact et les concentrations initiales de ces métaux a été réalisé.

Mot clé : Bioadsorption, Adsorption, Feuilles d’olivier, Métaux lourds, Plomb, Fer, Antimoine.


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