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Informations générales

Événement : 91e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Enjeux de la recherche

Description :

Nous évoluons dans une époque où la technologie numérique est présente dans presque tous les aspects de notre vie. Si les avantages du numérique sont indéniables, il est évident que persistent également une série de défis éthiques, sociaux et environnementaux liés à la production et à l’utilisation des technologies numériques. Comme on le constate au congrès cette année, le milieu politique du Québec démontre lui aussi une intention ferme d’accélérer le virage numérique sur divers fronts, notamment celui de la production de données pour la prise de décision éclairée. La responsabilisation du numérique est une clé essentielle à ce virage.

Le numérique responsable est l’ensemble des technologies de l’information et de la communication dont l’empreinte économique, écologique, sociale et sociétale a été volontairement réduite ou qui aident l’humanité à atteindre les objectifs du développement durable (ODD). En tant que secteur d’activité transversal à tous les autres, le numérique est responsable d’une part croissante de l’émission de GES et des matières résiduelles (ex. : déchets électriques et électroniques), sa part mondiale d’émission s’élevant à 5 %. Géré de façon responsable, le numérique a la capacité de réduire l’impact environnemental de l’ensemble des secteurs économiques et ainsi accélérer l’atteinte des ODD.

Le présent colloque permettra d’explorer trois grandes priorités pour saisir l’occasion offerte par le numérique pour le développement durable : travailler sur les infrastructures afin de favoriser un accès universel au numérique, pénétrer les marchés verticaux pour y appliquer des solutions de réduction des émissions de GES et des matières résiduelles ainsi que mettre les outils en place pour favoriser une appropriation massive du numérique par les organisations et les populations.

Le colloque vise à mettre de l’avant la recherche et l’engagement universitaires sur le numérique responsable ainsi qu’à sensibiliser, collaborer et explorer les impératifs éthiques en augmentant la littéracie sur les indicateurs de mitigation d’impact et les outils de développement de maturité numérique.

  • Adaptation et réduction : mise en commun des connaissances et des bonnes pratiques sur l’optimisation des infrastructures, l’utilisation de nouvelles technologies et outils ainsi que la gestion responsable des systèmes technologiques pour un numérique plus responsable.
  • Appropriation : bonnes pratiques de gestion des organismes en lien avec le numérique responsable. Ces cas inspirants permettront de voir les liens avec l’industrie pour transformer nos façons de faire sur le plan de la mitigation de l’impact du numérique.
  • Applications : considérer les engagements éthiques et systémiques du numérique responsable pour augmenter le bien commun. Les outils et plateformes permettant de mesurer nos incidences permettront de commencer à dessiner une feuille de route commune.
Remerciements :

Merci d'avoir contribué au succès du colloque 29 - Numérique responsable : état des lieux et perspectives et d'avoir marqué avec nous un pas stratégique dans le développement du numérique responsable au Québec. Vos perspectives et votre engagement ont été précieux face aux défis éthiques, sociaux et environnementaux liés à la production et à l’utilisation des technologies numériques.

Date :

Format : Sur place et en ligne

Responsables :

Programme

Panel / Atelier

Mot d’ouverture

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)
Discutant·e·s : Mohamed Cheriet (ÉTS - École de technologie supérieure), Myriam Ertz (UQAC - Université du Québec à Chicoutimi), Nicolas Merveille (UQAM - Université du Québec à Montréal)

Communications orales

Communications orales

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)
  • Communication orale
    Une cartographie des enjeux et des problématisations de la sobriété numérique.
    Christophe Abrassart (UdeM - Université de Montréal), Florent Begue (Université de Montréal), Alexandre Gourret (Université Laval), Stéphane Roche Roche (Université Laval)

    Le numérique et l’Intelligence artificielle se diffusent de plus en plus, et leur empreinte environnementale ne cesse d’augmenter. D’après une récente étude (ARCEP et ADEME, 2023), à l’échelle d’un pays comme la France cette empreinte représente en 2020 2,5% des émissions de GES et 10% de la consommation électrique du pays, et pourrait croître d’ici 2050 avec une augmentation de près de +200% pour les GES et près de +100% pour la consommation électrique. Les facteurs déterminants de ces scénarios sont notamment l’adoption de l’éco-conception et de l’économie circulaire, la maitrise des effets rebonds, mais aussi la sobriété dans les usages. En effet, dans ces scénarios 2050, seuls ceux qui prévoient des mesures de sobriété fortes permettent d’éviter ces augmentations. S’intéresser à la sobriété c’est envisager une variable déterminante des transitions numérique et écologique, sans les dissocier des enjeux éthiques et sociaux comme la capture de l’attention, la protection des données personnelle et les libertés publiques (LINC, 2023). De plus, la mise à l’agenda du thème de la sobriété dans différentes politiques publiques (énergétique, foncière, numérique, matérielle) ouvre des espaces d’innovation sociotechnique très prometteurs pour le vivre ensemble et la justice sociale et environnementale. Nous en ferons une cartographie.

  • Communication orale
    WeNR Québec : Mesurer l’empreinte numérique des organisations pour un développement responsable
    Guillaume Bourgeois (ÉTS - École de technologie supérieure)

    Dans un monde de plus en plus connecté, le numérique joue un rôle essentiel dans le développement économique, social et environnemental. Cependant, derrière cette apparente virtualité se cachent des réalités bien concrètes : la consommation d’énergie, la production de déchets électroniques et l’exploitation des ressources naturelles. L’empreinte environnementale du numérique est une préoccupation majeure, et il est essentiel de la mesurer pour prendre des décisions éclairées.

    Dans ce contexte, notre proposition se focalise sur WeNR, un outil de mesure de l'empreinte du système d'information des organisations. Développé dans le cadre d'une thèse de doctorat à l'Université de La Rochelle, avec ses différents partenaires et le Réseau des Instituts du Numérique Responsable (INR) en Europe, WeNR a été adapté au contexte québécois grâce à une collaboration étroite avec le CIRODD.

    Nous mettrons en lumière les spécificités de WeNR Québec et discuterons des perspectives d’amélioration de cet outil. De plus, nous aborderons les enjeux et les défis liés à la mesure de l’empreinte numérique au Québec, ainsi que les moyens de promouvoir un numérique responsable.

  • Communication orale
    Évaluation de l'empreinte carbone des sites Web des 300 plus grandes entreprises du Québec : un appel à l'action pour la durabilité numérique.
    Benjamin Rancourt (Technologies Merisia Inc.)

    Face à la croissance exponentielle de la consommation d'électricité par Internet et la multiplication des appareils connectés, les signaux d'alarme sur l'épuisement des ressources se multiplient. Réduire les émissions de carbone dans tous les domaines, y compris le numérique, est une nécessité urgente.

    À l'échelle mondiale, l'attention se tourne de plus en plus vers le numérique responsable. La France a récemment adopté des lois sur le sujet, tandis qu'un groupe mondial d'experts a élaboré les Web Sustainability Guidelines (WSG) pour encadrer la durabilité du Web, à l'instar des Web Content Accessibility Guidelines (WCAG) pour l'accessibilité.

    Mais qu'en est-il au Québec? Les organisations ont-elles déjà intégré ces préoccupations? Leurs sites Web sont-ils conçus de manière écoresponsables, limitant leur empreinte carbone? Utilisent-elles des serveurs alimentés par des sources d'énergie renouvelable? Notre proposition vise à répondre à ces questions cruciales et à encourager les entreprises québécoises à prendre des mesures concrètes pour favoriser la durabilité numérique.

  • Communication orale
    La Murale du numérique : un jeu sérieux pour une approche systémique
    Julien Pierre (UdeS - Université de Sherbrooke)

    Inspirée de la Fresque du numérique, la Murale est un jeu sérieux élaboré et expérimenté dans un cadre pédagogique. Sans caractère normatif, dépassant les seuls enjeux environnementaux, reprenant des informations propres au contexte québécois, le jeu permet aux participants de saisir de manière systémique ce qu'implique leurs usages numériques. Le jeu met en relation un simple clic avec ses corollaires techniques, économiques, psychologiques, culturels, éthiques et écologiques. Les cartes sont également rattachées à plusieurs des objectifs de développement durable. La présentation reviendra sur la genèse du dispositif et son adossement à un cours de communication. Cette partie permettra de souligner la contribution des personnes étudiantes en termes de contenus, ainsi que leurs apprentissages sur les interdépendances entre les différentes dimensions du numérique. Ces résultats se retrouvent aussi dans la deuxième partie, reprenant les commentaires des participants. Une dernière partie abordera les pistes de développement, attachées au caractère modulaire de la Murale. La Murale peut s’enrichir d’autres cartes disciplinaires (en partenariat avec des facultés de droit, de génie, de gestion, d’environnement, etc.). Elle peut être employée comme dispositif de médiation interprofessionnelle, notamment auprès des acteurs concevant des dispositifs numériques (dont les IA). Elle peut enfin s’attacher à d’autres événements de sensibilisation.


Panel / Atelier

Panel

Nous évoluons dans une époque où la technologie numérique est présente dans presque tous les aspects de notre vie. Si les avantages du numérique sont indéniables, il est évident que persistent également une série de défis éthiques, sociaux et environnementaux liés à la production et à l’utilisation des technologies numériques. Comme le congrès cette année, le milieu politique du Québec démontre lui aussi une intention ferme d’accélérer le virage numérique sur divers fronts, notamment celui de la production de données pour la prise de décision éclairée. La responsabilisation du numérique est une clé essentielle à ce virage. La table ronde permettra d'explorer les grandes priorités et enjeux du numérique responsable au Québec.

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)

Dîner

Dîner

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)

Communications orales

Communication orales

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)
  • Communication orale
    Quelle éthique pour les environnements intelligents?
    Patrick Lecomte (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    En raison de l’intégration croissante des technologies numériques dans l’environnement bâti, un nouveau type d’espaces appelés environnements intelligents émerge. Avec ces espaces se posent de nombreuses questions éthiques liées à la liberté des utilisateurs, et plus généralement à la gouvernance des interactions homme-machine dans l'environnement bâti.

    Dans cette présentation basée sur un article publié dans Nature Humanities and Social Sciences Communications (décembre 2023), j'utilise la théorie de l'Umwelt de Jakob von Uexküll pour concevoir les principes d'une éthique des environnements intelligents.

    Alors que notre relation à l’environnement devient une ressource exploitable au cœur du capitalisme environnemental, la définition de principes éthiques relatifs à la numérisation de l’espace dans l’environnement bâti est une dimension essentielle du numérique responsable.

  • Communication orale
    Intelligence artificielle, Leadership, et Ethique
    Micheline Ayoub (Université Concordia)

    Les préoccupations éthiques, sociales et environnementales liées à l’intelligence artificielle (IA) sont nombreuses. Pour préparer la prochaine génération aux défis et aux opportunités de l'IA et de la numérisation, une formation serait essentielle. Les établissements d'enseignement supérieur jouent un rôle crucial à dispenser la formation et les programmes de leadership pour traiter de ces inquiétudes. Pour aborder ces défis de manière juste et équitable, il est essentiel de comprendre la nature des données utilisées pour former les algorithmes d'IA. Concernant l'impact environnemental de l'IA dans les établissements d'enseignement, des mesures d'atténuation sont nécessaires. Cela inclut le soutien à la quantification des incidences environnementales de l'IA, le plaidoyer pour l'adoption de normes de transparence et le soutien à la transition vers les énergies renouvelables. En parallèle, l'IA peut être utilisée pour améliorer l'éducation sur l'environnement. Une sensibilisation au "facteur de peur" associé à l'adoption de nouvelles technologies doit être intégrée dans ces programmes pour en garantir une adoption éclairée et responsable. Nous aborderons un exemple de programme de formation et de co-développement de l’IA centrée sur l’humain.

  • Communication orale
    Vers une université numérique responsable : démarche de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre liées aux activités numériques à l’Université TÉLUQ
    Alice Goupilleau (TÉLUQ - Université du Québec)

    Pionnière de la formation à distance au Québec, l’Université TÉLUQ a placé le numérique responsable au cœur de sa stratégie en développement durable. Consciente de sa spécificité en tant qu’établissement d’enseignement supérieur entièrement à distance, l’Université TÉLUQ a évalué les émissions de gaz à effet de serre liées à ses activités numériques directes et indirectes dans le cadre de son dernier bilan carbone. Elle a défini ses activités numériques puis comptabilisé les émissions associées. L’analyse englobe divers aspects, tels que la production d'équipements informatiques, l'utilisation d'énergie chez soi pour le travail ou les études et l'achat de logiciels. Grâce à ce portrait complet, elle a été capable d’identifier les actions les plus pertinentes à entreprendre pour réduire son impact, et d’apporter une première réponse à la question : Est-ce qu’un établissement d’enseignement qui offre des cours en ligne émet moins que celui qui offre des cours en personne ? Cette conférence visera à partager les enseignements de l'Université TÉLUQ sur la comptabilisation des émissions liées aux activités numériques, précisant une démarche qui peut être applicable à d’autres organisations qui souhaitent s’engager en numérique responsable.

  • Communication orale
    Éveiller les Consciences : Analyse de l'impact des outils de Sensibilisation sur les enjeux environnementaux du secteur numérique - Étude de Cas : La Fresque du Numérique
    Géraldine Angulo (ÉTS - École de technologie supérieure)

    Dans un monde où le numérique est omniprésent, il est crucial de comprendre son impact sur l’environnement, la société et l’économie. Cette prise de conscience se matérialise notamment à travers des outils de sensibilisation comme "La Fresque du Numérique", un atelier ludique et participatif conçu en Europe dans le dessein de sensibiliser les individus aux enjeux environnementaux du numérique.

    Notre analyse se concentrera sur l’efficacité de cet atelier pour sensibiliser les participants aux défis écologiques spécifiques au Québec et influencer leurs perceptions et comportements en faveur d’un usage plus responsable du numérique. Nous examinerons également les implications de cet outil sur la sensibilisation environnementale et la promotion de pratiques responsables dans divers domaines numériques, y compris les technologies émergentes.

    Notre intention est de dynamiser les échanges et la participation collaborative autour des enjeux et des opportunités du numérique responsable au Québec. Nous souhaitons susciter la sensibilisation, favoriser le dialogue et encourager l’engagement de tous les acteurs du domaine, qu’ils soient chercheurs, étudiants, professionnels ou citoyens.

  • Communication orale
    Les écomédias numériques : pour et/ou contre l’environnement ?
    Hela Zahar (Université de l'Ontario français)

    Le champ d’études des écomédias se caractérise par une double finalité : évaluer l’impact de la communication environnementale sur les pratiques écoresponsables, mais également évaluer l’impact environnemental des technologies et des infrastructures qui soutiennent les médias numériques. Selon Parikka (2011) « les médias appartiennent à la nature et reviennent à la nature » et c’est dans cette optique que nous nous posons la question : est-ce que l'impact médiatique des écomédias justifie leur coût environnemental ? Les travaux au sein du Pôle d’études et de recherche en cultures numériques de l’Université de l’Ontario français cherchent à répondre à cette question. Dans cette communication nous présenterons plus spécifiquement la démarche pédagogique transdisciplinaire et expérientielle adoptée dans le cours Numérique et Écologie. Cette approche pédagogique sera illustrée à travers l’analyse de l’expérience immersive Arcadia Earth présentée actuellement à Toronto, expérience où s’exprime fortement cette tension entre contenant et contenu écomédiatique. Nous conclurons en soulignant la nécessité de développer à la fois des grilles d’analyse de l’impact médiatique des écomédias immersifs et des méthodologies d’impact environnemental de ces mêmes technologies.

  • Communication orale
    Fondements de la Responsabilité Numérique des Entreprises
    Aiste Rugeviciute

    La prise de décision dans la Responsabilité Numérique des Entreprises (RNE) implique une démarche complexe visant à trouver un équilibre entre des aspects écologiques, sociaux, technologiques et économiques. Par exemple, réduire les écrans d'ordinateur peut diminuer l'impact environnemental, mais affecter la productivité. Augmenter la collecte de données améliore la sécurité mais peut menacer la vie privée. Ainsi, les décisions RNE peuvent bénéficier certains acteurs au détriment d'autres, et les bénéfices à court terme peuvent entraîner des effets négatifs à long terme. La nature incommensurable des actions de RNE et le manque de données sur leurs impacts rendent ces décisions encore plus incertaines.

    La planification et la gestion de la RNE sont donc une analyse de conflit. Nous proposons que la faible comparabilité, l'incommensurabilité et la non-compensabilité caractérisent les problèmes décisionnels autour de la RNE. L'exploration de la RNE implique également divers types d'incertitudes affectant les processus décisionnels. Ces incertitudes sont cruciales pour orienter la direction stratégique et les capacités opérationnelles des organisations.

    Nous proposons donc six critères pour développer des outils d'aide à la décision RNE. Ces critères soulignent l'importance d'un processus décisionnel adaptable, inclusif et transparent, qui aborde la complexité du domaine numérique et les valeurs sociétales.

  • Communication orale
    Quels ressources pour enseigner le numérique responsables dans les filières techniques supérieures ? L'exemple des IUTs
    Adelaide Kissi

    La construction d’un numérique soutenable demande un certain nombre de ressources et, en tout premier lieu, des ressources humaines avec les compétences et les formations nécessaires. En France, la réforme du Bachelor Universitaire de Technologie – BUT – au sein des Instituts Universitaires de Technologie a constitué une opportunité de réponse à la demande forte de structuration de l’offre de formation dans le domaine du numérique responsable. Dans ce contexte, nous proposons de présenter les ressources et outils qui ont permis aux départements de formation de s’emparer de cette nouvelle discipline.


Communications orales

Atelier exploratoire

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)
  • Communication orale
    Un numérique soutenable et désirable d’ici 2040? Balises et étapes clés pour réorienter la transformation numérique québécoise vers l'impératif de transition socio-écologique.
    Martin Deron (UdeM - Université de Montréal)

    Comment faire converger la transition numérique et la transition socio-écologique, au Québec, dans un horizon de 20 ans?” C’est la question qui sert de fil conducteur au “défi numérique” de Chemins de transition (CdT), une initiative de l’Université de Montréal en partenariat avec Espace pour la Vie, initiée en 2020.

    En déployant une démarche prospective, participative et systémique, le défi numérique a mobilisé les savoirs de plus de 200 personnes issues des sphères académiques, professionnelles et citoyennes pour 1) explorer la diversité des futurs possibles à l’intersection numérique/environnement, 2) se doter d’une vision collective à la fois possible et inspirante pour 2040 et 3) tracer ensemble un chemin de transition pour pouvoir l’atteindre collectivement.

    Cette communication reviendra sur les grandes lignes méthodologiques du projet CdT, puis présentera les éléments clés de la vision 2040 ainsi que les grands jalons du chemin de transition pour l’atteindre. Celle-ci mêlera réflexions théoriques et considérations pratiques.


Panel / Atelier

Atelier exploratoire : La responsabilité à l’ère numérique : quelle feuille de route ?

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)

Panel / Atelier

Mot de clôture

Salle : LMX 342 — Bâtiment : Pavillon Lamoureux (LMX)
Présidence : Mohamed Cheriet (ÉTS - École de technologie supérieure)