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Informations générales

Événement : 88e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 400 - Sciences sociales

Description :

Les violences sexuelles sont prévalentes auprès des populations universitaires en Amérique du Nord et en Europe, en plus d’être associées à des conséquences néfastes. L’enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU) a permis d’établir un portrait des violences sexuelles (VS) se déroulant en contexte universitaire québécois en s’appuyant sur une définition large des différentes formes de VS, incluant notamment le harcèlement sexuel, les comportements sexuels non désirés et la coercition sexuelle. Sur les 9284 personnes ayant répondu au questionnaire en ligne, 36,9 % ont rapporté avoir subi au moins une forme de VS en milieu universitaire, depuis leur entrée à l’université, commise par une autre personne affiliée à cette université. Certains groupes sociaux sont davantage victimisés : les femmes (40,6 %), les étudiant.e.s de l’international (41,6 %) et les individus issus de minorités sexuelles (49,2 %) et de genre (55,7 %) (Bergeron et al., 2016). En France, en 2015, l’enquête Violences et rapports de genre (Virage) est réalisée avec le but de documenter les violences sexuelles subies par la population française au cours de leur vie. Dans le cadre de cette enquête, l’Institut national d’études démographiques (INED) lance une enquête complémentaire (Virage-Universités) pour comprendre l’ampleur des violences et des discriminations existantes en milieu universitaire. Sur les 6648 étudiant.e.s ayant répondu au questionnaire en ligne, un total de 1882 étudiant.e.s ont déclaré avoir subi au moins un fait de violence (psychologique, physique ou sexuelle) au cours des 12 mois précédant l’étude. L’enquête a aussi démontré que la nature des violences subies n’est pas la même selon le genre : les étudiantes sont plus touchées par des propos et attitudes à caractère sexuel, tandis que les étudiants mentionnent plus fréquemment des faits de violence psychologique (Lebugle et al., 2018).

Remerciements :

Cette proposition de colloque est organisée conjointement par le Groupe de recherche et d'intervention sur les adaptations sociales de l’enfance, la Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur, le Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et l’agression sexuelle et l’Équipe violence sexuelle et santé.

Dates :

Format : Uniquement en ligne

Responsables :

Programme

Communications orales

Mot de bienvenue et allocution de la députée Christine Labrie


Communications orales

Ampleur des violences sexistes et sexuelles dans le milieu de l’enseignement supérieur : implications et enjeux (Partie 1)

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne
  • Communication orale
    Que nous dit l’enquête VIRAGE, violences et rapports de genre, sur les violences sexuelles et sexistes en milieu universitaire en France ?
    Amandine Lebugle

    Quinze ans après l’Enquête nationale sur les violences envers les femmes en France (Enveff), l’enquête Violences et rapports de genre, réalisée en 2015 par l’Institut national d’études démographiques (Ined), apporte des connaissances détaillées sur les violences de genre, tout particulièrement utiles dans le cadre des études, où les données sont manquantes. Et ce, d’autant que le dispositif de collecte aléatoire en population générale a été complété par des enquêtes par Internet auprès des étudiant.es de 4 universités en France. Après un exposé méthodologique sur les dispositifs d’enquête, seront présentés les principaux résultats: les types de violences subies selon le profil des étudiant.es et les conséquences. Enfin, il sera rappelé les données de VIRAGE en matière de violences sexuelles et sexistes subies dans un cadre professionnel. Il s’avère que, au-delà d’un outil de connaissance, les enquêtes s’avèrent un espace de dénonciation des violences.

  • Communication orale
    Violences sexuelles en milieu universitaire : différences et similitudes dans les événements rapportés par les étudiant.es, les employé.es et les professeur.es
    Manon Bergeron (UQAM - Université du Québec à Montréal), Marie-France Goyer (Université du Québec à Montréal), Martine Hébert (Université du Québec à Montréal), Sandrine Ricci (Université du Québec à Montréal)

    L’Enquête sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU) a permis de documenter les violences sexuelles en milieu universitaire (VSMU) au Québec. Cette présentation permettra d’explorer de manière distinctive les caractéristiques des événements de VSMU selon le statut de la personne victime : étudiant, employé et professeur. Dans l’échantillon de 9 145 personnes, 36,2 % des étudiant.es, 38,8 % des professeur.es et 38,7 % des employé.es ont rapporté avoir subi au moins une forme de VSMU depuis leur arrivée à l’université. Si l’ampleur de la violence sexuelle est similaire pour les trois groupes, certaines différences observées seront discutées notamment en ce qui concerne le statut hiérarchique des individus ayant commis les gestes de VSMU. Dans une approche globale de prévention de la violence sexuelle, les résultats rappellent l’importance de penser non seulement l’université comme un milieu fréquenté par la population étudiante, mais aussi comme un environnement de travail.


Panel / Atelier

Table ronde sur les mobilisations

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne

Dîner

Dîner libre

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Communications orales

Ampleur des violences sexistes et sexuelles dans le milieu de l’enseignement supérieur : implications et enjeux (Partie 2)

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne
  • Communication orale
    Violence sexuelle en milieu universitaire : les étudiant.es autochtones plus à risque?
    Manon Bergeron (Université du Québec à Montréal), Stéphanie Boisvert (Université du Québec à Chicoutimi), Jacinthe Dion (UQAC - Université du Québec à Chicoutimi), Martine Hébert (Université du Québec à Montréal), Geneviève Paquette (Université de Sherbrooke)

    Bien que des études aient documenté la violence sexuelle envers les peuples autochtones, peu ont porté sur la violence sexuelle en milieu universitaire (VSMU) auprès de cette population. Cette étude propose d’analyser les données de l’Enquête sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU) pour documenter la VSMU chez les étudiant.es autochtones. Un sous-échantillon de 5606 étudiant.es québécois.es a été analysé, dans lequel 152 étudiant.es se sont identifiés Autochtones. Les résultats ont révélé que les étudiant.es autochtones étaient plus à risque d’être victimes d’une VSMU dans les 12 derniers mois, notamment de harcèlement sexuel. Des analyses réalisées avec l'échantillon d'étudiant.es autochtones ont également révélé que seule la présence d’une agression sexuelle à l’âge adulte (en dehors du contexte universitaire) était associée à la VSMU. Ces résultats seront discutés à la lumière du contexte sociohistorique de marginalisation et d'oppression vécu par les peuples autochtones.

  • Communication orale
    Victimes de violences sexuelles en milieu universitaire : portrait des étudiant.es de l’international
    Manon Bergeron (Université du Québec à Montréal), Isabelle Daigneault (Université de Montréal), Ihssane Fethi (UdeM - Université de Montréal), Martine Hébert (Université du Québec à Montréal), Francine Lavoie (Université Laval)

    Malgré l'augmentation du nombre d'étudiant.es de l’international dans les universités québécoises, ces étudiant.es sont souvent mis de côté dans la recherche, principalement en raison de la complexité inhérente à l’étude de cette population. Certaines études soutiennent que les étudiant.es de l’international rapportent significativement plus de violences sexuelles en milieu universitaire en comparaison à leurs pairs nationaux. À l’aide des données de l'Enquête sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU), la présentation abordera les principales différences observées entre les étudiant.es internationaux et nationaux au regard des formes de violences sexuelles subies, du contexte des événements, des répercussions, et des croyances et préjugés sur les violences sexuelles.


Communications orales

Lancement du rapport Les expériences de violence sexuelle des universitaires québécois issus des minorités sexuelles ou de genre et les pratiques

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne
  • Communication orale
    Faits saillants du rapport sur les expériences de violence sexuelle des universitaires québécois des minorités sexuelles ou de genre
    Manon Bergeron (Université du Québec à Montréal), Sonn Castonguay-K. (Université de Sherbrooke), Ariane Labonté (Université de Sherbrooke), Alexa Martin-Storey (Université de Sherbrooke), Geneviève Paquette (UdeS - Université de Sherbrooke), Ève Prévost (Univesité de Sherbrooke)

    Utilisant de manière secondaire des données de l’Enquête sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU), l’étude dont découle ce rapport a pour premier objectif de décrire les expériences de violences sexuelles en milieu universitaire subies par les étudiant.es des minorités sexuelles ou de genre (MSG). Le deuxième objectif vise à recenser les pratiques des milieux d’enseignement supérieur québécois et celles identifiées dans la littérature pour prévenir la violence sexuelle à l’endroit des étudiant.es des MSG. Les résultats montrent que ces étudiant.es vivent des violences sexuelles se rapportant à leur orientation sexuelle ou leur identité de genre. La plupart des milieux sondés savent que cette population est particulièrement visée par les violences sexuelles, mais peu de stratégies de prévention et d'intervention de soutien spécifiques pour cette population sont mises en place. Enfin, notre étude identifie quelques programmes de prévention qui pourraient être adaptés pour inclure la prévention des violences sexuelles auprès des étudiant.es des MSG.

Communications orales

Qualifications et formes des violences sexistes et sexuelles dans le milieu de l’enseignement supérieur et retombées pour l’intervention

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne
  • Communication orale
    La violence sexuelle ordinaire vécue par des étudiantes universitaires : une forme de violence intrusive et invasive
    Marie-Andrée Pelland (Université de Moncton), Lise Savoie (Université de Moncton)

    Cette présentation porte sur les résultats d’une recherche qualitative explorant les rapports consentants et non consentants à caractère sexuel d’étudiant.es en milieu universitaire réalisée dans un contexte néo-brunswickois. Dans l’analyse de leur discours, la violence dite ordinaire s’est avérée une forme de violence vécue fréquemment. Ce concept exprime une forme de violence que beaucoup de femmes subissent dans leur vie quotidienne. Celle-ci se manifeste notamment par des regards déplacés, des commentaires inappropriés et des interpellations verbales dérangeantes. L’analyse permet de saisir que ces expériences sont socialement et individuellement invisibilisées par un processus de banalisation et de normalisation. Cette violence intrusive et invasive fait en sorte que les femmes ne possèdent pas la liberté d’être dans le monde de la même manière que les hommes (Davis, 1994). Ainsi, la violence ordinaire n’a d’ordinaire que le nom.

  • Communication orale
    Dénoncer ou ne pas dénoncer les violences sexuelles en milieu universitaire ? Un éclairage par le biais des récits des victimes.
    Karine Baril (Université du Québec en Outaouais), Manon Bergeron (UQAM - Université du Québec à Montréal), Ihssane Fethi (Université de Montréal)

    La problématique des violences sexuelles soulève plusieurs enjeux dont celui du (non-) signalement aux établissements d’enseignement. Dans le questionnaire de l’Enquête sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU), une section permettait aux personnes victimes de violence sexuelle en milieu universitaire (VSMU) de décrire l’événement (nommé « récit »). En s’appuyant sur l’analyse qualitative de 197 récits, les résultats permettent de décrire les raisons mentionnées par les personnes victimes dans leur choix de dénoncer ou non la situation de violence sexuelle en milieu universitaire. Nous discuterons des implications pour les messages de sensibilisation et les services d’accompagnement dans les cégeps et universités. Cette présentation résulte d’un travail collectif mobilisant des chercheur.es et des organismes communautaires, mené dans le cadre d’un partenariat à la Chaire de recherche.

  • Communication orale
    Facteurs associés à l’adhésion aux croyances et préjugés vis-à-vis des violences sexuelles chez les étudiant.es universitaires canadiens
    Manon Bergeron (Université du Québec à Montréal), Sonn Castonguay-K. (UdeS - Université de Sherbrooke), Alexa Martin-Storey (Université de Sherbrooke), Geneviève Paquette (Université de Sherbrooke)

    Près de 75 % des personnes étudiantes rapportent avoir subi de la violence sexuelle en milieu universitaire (VSMU). Or, de nombreux programmes de prévention de la VSMU misent sur l’intervention des témoins afin de contrer une situation de violence sexuelle, acte d’intervenir qui serait liée à l’adhésion aux croyances et préjugés vis-à-vis des violences sexuelles (CPVS). La littérature montre que jusqu’à 25 % des étudiant.es sont en accord avec des CPVS, mythes qui culpabilisent les victimes, déresponsabilisent les auteurs et banalisent les gestes de violences sexuelles. Utilisant de manière secondaire les données de l’Enquête sur la sécurité, la sexualité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU), cette étude montre que les hommes adhèrent plus aux CPVS que les femmes et les personnes issues des minorités de genre et que plusieurs facteurs sont associés à l’adhésion aux CPVS. Ces résultats permettront de mieux orienter les efforts de prévention de la VSMU afin de cibler davantage certains sous-groupes étudiants en vue de réduire leur adhésion aux CPVS.

  • Communication orale
    Stop Harcèlement : un projet de lutte contre le harcèlement sexuel à l’Université libre de Bruxelles
    Patricia Mélotte (Université libre de Bruxelles)

    En 2017, l’Université libre de Bruxelles entamait un projet de lutte contre le harcèlement avec 4 objectifs : sensibiliser, améliorer l’accompagnement des victimes, renforcer le cadre disciplinaire et réaliser une enquête. Depuis, les règlements de discipline incluent l'interdiction explicite de toute discrimination, intimidation, ou harcèlement. Une campagne d'affichage a été réalisée et un réseau de personnes relais a été créé, qui orientent les victimes de harcèlement vers les personnes compétentes. Concernant l’enquête, 1649 personnes y ont répondu et les résultats montrent que le harcèlement sexuel est présent à l’université puisque 48 % des participantes et 14 % des participants ont vécu au moins une expérience de harcèlement sexuel. La plupart du temps, les victimes en parlent, mais ne font pas de signalement aux autorités, car elles estiment que la situation n’est pas assez grave ou elles veulent mettre l’incident derrière elles. Les résultats de l’enquête, le bilan et l’évolution du projet seront discutés.

  • Communication orale
    « Pas si grave ? » Retour sur les logiques d’empêchement de la déclaration et de la reconnaissance de la violence sexuelle par les victimes
    Sandrine Ricci (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    Dans les milieux d’enseignement supérieur comme dans d’autres espaces sociaux, la violence sexuelle se révèle avec force, incluant par le biais des enquêtes quantitatives. Nombre de spécialistes considèrent toutefois que ce travail de preuve statistique – généralement obligatoire pour engager l'action publique, n’expose que la pointe de l’iceberg. Basés sur des données policières ou autodéclarées, les chiffres de la victimisation peuvent voiler le décalage encore irrésolu entre la quantification de la violence sexuelle et sa réalité empirique. Depuis une perspective sociologique, cette communication revient sur les enjeux théoriques et pratiques que recèlent notamment les « logiques d’empêchement » de la déclaration aux autorités par les victimes de violence sexuelle (Jérome, 2019). Les pistes soulevées en mobilisant la notion de culture du viol devraient permettre de mieux comprendre le non-signalement et le fait que des femmes ne reconnaissent pas comme telles les violences subies.


Dîner

Dîner libre

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne

Communications orales

Groupes visés par les violences sexistes et sexuelles et interventions recommandées

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne
  • Communication orale
    Effets cumulés de l’exposition aux messages de sensibilisation et de prévention de l’agression sexuelle chez les étudiantes universitaires
    Karine Baril (Université du Québec en Outaouais), Manon Bergeron (Université du Québec à Montréal), Christian Dagenais (Université de Montréal), Isabelle Daigneault (UdeM - Université de Montréal), Jacinthe Dion (Université du Québec à Chicoutimi), Ihssane Fethi (Université de Montréal), Martine Hébert (Université du Québec à Montréal), Geneviève Paquette (Université de Sherbrooke), Sylvie Parent (Université Laval), Marie-Andrée Pelland (Université de Moncton), Queeny Pognon (Université de Montréal), Gelymar Sanchez (Université de Montréal), Lise Savoie (Université de Moncton), Charlene Senn (University of Windsor), Laurence Vanasse (Université de Montréal)

    Des données représentatives décrivant l’ensemble des étudiantes de 17-24 ans en première année de premier cycle de sept campus francophones canadiens seront utilisées pour décrire le degré d’exposition à différents messages de prévention et de sensibilisation, la prévalence d’agressions sexuelles subies au cours de la période de recherche (1 mois), leurs attitudes face à l’agression sexuelle (mythes, blâme), ainsi que l'intérêt des participantes pour un programme de prévention de l’agression sexuelle s’adressant à elles. Le cœur de la présentation portera ensuite sur le lien entre l’ampleur des messages de prévention ou de sensibilisation auxquels les participantes rapportent avoir été exposées avant leur arrivée à l’université et l’ensemble des autres facteurs documentés dans l’étude, notamment leurs attitudes face à l’agression sexuelle et leur intérêt à participer à un programme de prévention de l’agression sexuelle.


Communications orales

Politiques institutionnelles : contenu et mécanismes

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  • Communication orale
    Mécanismes de traitement des plaintes pour violences à caractère sexuel au Québec : les nouvelles politiques universitaires sous le radar féministe
    Mylène Lafrenière Abel (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    En vertu d’une Loi adoptée par l’Assemblée nationale le 8 décembre 2017, chaque établissement d’enseignement supérieur de la province devait se doter, avant le premier janvier 2019, d’une politique ayant pour objectif de prévenir et combattre les violences à caractère sexuel (VACS). Mon projet de recherche vise à analyser ces nouvelles politiques, entrées en vigueur en septembre 2019, à partir d’une grille d’analyse centrée sur le point de vue des groupes étudiants et des groupes représentants les personnes survivantes de VACS. La construction de cette grille est le fruit d’un travail de consultation de documents et de rapports produits par ces groupes afin d’y faire ressortir les éléments que devrait contenir une politique qui permet aux personnes plaignantes d’obtenir justice dans le cadre du processus de signalement et de plaintes. Dans le cadre de cette présentation, je présenterai les résultats de mon travail d’analyse des 18 politiques provenant des établissements d’enseignement de niveau universitaire soumis à la Loi, en accordant une attention particulière à trois thèmes d’intérêt : 1) l’approche féministe des VACS; 2) l’analyse intersectionnelle des VACS ainsi que 3) la notion d’équité procédurale.


Panel / Atelier

Enjeux de l’implantation des politiques québécoises visant à prévenir et à contrer les violences sexuelles dans le milieu de l’enseignement supérieur

Salle : En ligne — Bâtiment : En ligne
Discutant·e·s : Geneviève Côté (UdeS - Université de Sherbrooke), Isabel Fortin (UQAM - Université du Québec à Montréal), Valérie Massicotte (Cégep de Sherbrooke), Katy Miron (UdeM - Université de Montréal)