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Informations générales

Événement : 90e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 600 - Colloques multisectoriels

Description :

Les parcs urbains, figures socio paysagère en constante évolution, se voient élevés au rang d’infrastructures vertes essentielles de nos villes. Un important changement de paradigme s’opère dans la planification et la gestion des parcs urbains alors que leurs rôles ne se limitent plus à la récréation et la « bienséance » de l’espace vert, mais s’élargit à la conservation, l’inclusion, la réconciliation, l’expérimentation, l’adaptation et la lutte aux crises environnementales. Investir dans des espaces verts urbains plus durables et y créer des aménagements dans ce sens, c’est investir dans la lutte et dans l’adaptation face aux crises climatiques.

La session s’intéressera aux nouvelles pratiques et préoccupations, ainsi qu’au changement de paradigme auxquelles sont confrontés les parcs urbains pour affronter les crises environnementales conjointes, soit celle de biodiversité et des changements climatiques. De nouvelles tendances, préoccupations et priorités émergent : 1) la création de mosaïques d’habitats et de corridors écologiques dans les projets d’aménagement pour soutenir la biodiversité; 2) le calcul des services écosystémiques et des bénéfices économiques et de santé liés à la nature; 3) la diversité des milieux et des usages; 4) l’adoption de la gestion différenciée; 5) l’augmentation de la forêt à trois strates; 6) le retour et la conservation des espèces végétales indigènes; 7) le contrôle des espèces envahissantes; 8) l’interdisciplinarité pour la création de ces paysages complexes par exemple; et 9) la déminéralisation des surfaces minérales. Cette session s’intéressera donc à ces changements qui s’opèrent et à ces pratiques qui prennent de l’importance dans l’aménagement des parcs urbains. Le cadre mondial sur la biodiversité adopté à la COP15 à Montréal de même que l’approche Nature-Based Solutions seront au cœur des discussions qui prendront appui sur l’exemple du parc Jean-Drapeau, un territoire inscrit dans ce mouvement de redéfinition des espaces et des rôles des parcs urbains. La session présentera des pratiques et des recherches inspirantes pour nous guider dans ce changement de paradigme et de vision des parcs.

Date :

Format : Sur place et en ligne

Responsable :

Programme

Communications orales

Des parcs urbains inclusifs, riches en biodiversité, expériences culturelles et en espaces verts gérés durablement

Salle : B-3260 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant
  • Communication orale
    Les solutions nature en milieux urbains : résultats de recherche et recommandations pour l’action
    Jérôme Dupras (UQO - Université du Québec en Outaouais)

    La biodiversité et les écosystèmes urbains sont de plus en plus considérés comme des infrastructures naturelles, qui fournissent de multiples bénéfices et services aux populations. Malgré ce regard changeant sur les parcs, de nombreux défis se présentent toujours aux gestionnaires et décideurs afin de maximiser le potentiel de lutte et d’adaptation aux changements climatiques et de contribution à la biodiversité qu’ils pourraient offrir. La conférence a pour objectif de présenter des travaux menés à la Chaire de recherche du Canada en économie écologique et chez Habitat et qui s’inscrivent dans la mouvance des solutions nature et du nouveau Cadre mondial de la biodiversité.

  • Communication orale
    Nature urbaine, santé et protection de la biodiversité
    Alexandre Beaudoin (UdeM - Université de Montréal)

    La société fait face à de grands enjeux qui risquent de modifier notre façon de vivre ainsi que notre qualité de vie. Les changements climatiques et le déclin de la biodiversité en sont deux phénomènes importants. À cela s’ajoute une population mondiale qui s’urbanise. Dans ce contexte, il est essentiel d’adapter nos milieux de vie afin d’en augmenter la capacité de résilience des communautés et de la nature. Les infrastructures naturelles (IN) représentent une des possibilités d’action à intégrer au cadre bâti via une planification urbaine stratégique. Ces IN peuvent prendre différentes formes et chacune d’elles offrent une panoplie de services écosystémiques répondant à des enjeux locaux. Devant les diverses pressions qui sont exercées sur ce territoire, la préservation des milieux naturels existants est plus qu’essentielle de nos jours. L’amélioration de la santé, une meilleure gestion des eaux, une réduction des ilots de chaleur, une offre de production dans les secteurs avec des enjeux d’insécurité alimentaire sont quelques exemples de bénéfices rendus aux habitants des villes par la création et le maintien de ces IN. De plus, en favorisant la connectivité écologique de celles-ci, cela offre une solution aux perturbations engendrées par la fragmentation des habitats pour la biodiversité. Le besoin des citoyens de maintenir des liens avec la nature est une priorité, non seulement à des fins ludiques et récréatives, mais également pour des raisons de santé.

  • Communication orale
    Le parc Jean-Drapeau dans l'histoire : évolution des valeurs et des paysages pendant des siècles
    Ronald Williams (UdeM - Université de Montréal)

    Durant sa vie, le caractère et les aménagements de chaque parc reflètent et expriment les différentes valeurs et forces sociales des périodes successives. Cette évolution est particulièrement marquée au parc Jean-Drapeau à Montréal.

    L’assiette biophysique de l’île, ainsi que sa localisation stratégique, l’ont rendue idéale comme foyer pour des villages de Premières Nations pendant des siècles. Ces mêmes avantages ont ensuite accommodé la construction de forteresses et l’exploitation agricole pendant l'ère coloniale. Aux années 1870, les nouvelles forces d’industrialisation et d’urbanisation ont motivé sa transformation en site récréatif. Le parc de l’île Sainte-Hélène a ensuite évolué graduellement selon les nouvelles tendances, jusqu’aux années 1930, quand la réponse à la crise économique a mené à des modifications majeures.

    La transformation spectaculaire du petit archipel pour créer l’Expo 67 nous ouvre une perspective unique vers les valeurs du monde dynamique et optimiste des années 60. L’évolution du parc depuis ce grand moment offre une fenêtre sur des changements rapides et souvent extrêmes dans la définition d’un parc.

    L’étude de cette évolution pourraient nous permettre de tirer quelques conclusions sur les définitions changeantes d’un parc, et de réfléchir sur quelques notions générales, dont « l’ouverture de l’espace ouvert » (Openness of open space) comme dit Kevin Lynch ; et le « syndrome du 2e parc »".

  • Communication orale
    Les infrastructures naturelles : vers une médiation entre milieux naturels et milieux construits ?
    Jean-Bruno Morissette (Université McGill)

    Depuis les dernières décennies, plusieurs discours et actions convergent en faveur de la valorisation des milieux naturels en soulignant leurs bénéfices pour la santé globale des populations humaines et non-humaines. Paysage, écologie et biodiversité forment désormais les outils conceptuels capables d’affronter la crise environnementale en contestant les infrastructures d’après-guerre et en réclamant les sites obsolètes, sousexploités ou non durables des métropoles post-industrielles. Les infrastructures naturelles et leurs concepts adjacents — forêts urbaines, infrastructures vertes et bleues, solutions basées sur la nature — se tournent ainsi les vecteurs de la transition vers des environnements bâtis plus soutenables, notamment autour d’un nouveau pacte entre l’Humain et la Nature. Hormis les débats entourant leur bien-fondé qui s’articulent autour d’enjeux de justice sociale et environnementale, l’aménagement des infrastructures naturelles s’appuie toutefois sur un héritage problématique : la dichotomie toujours vivante entre milieux naturels et milieux construits. Mais comment penser au-delà de cette frontière ? Les idées véhiculées ici restent soucieuses du rôle capital que joue la biodiversité pour la santé des milieux de vie. Elles offrent cependant quelques nuances en vue que la nature ne se tourne pas strictement un instrument servant la transition écologique, mais qu’elle participe également à améliorer la qualité et l’articulation des paysages métropolitains.

  • Communication orale
    À la découverte de la Stratégie de mise en valeur du Grand parc de l’Ouest, une nouvelle façon de concevoir et planifier un projet collectif d’envergure
    Clementine Hederer (Ville de Montréal)

    En 2019, la Ville de Montréal posait un ambitieux geste pour réaliser la transition écologique souhaitée : créer le Grand parc de l’Ouest (30 km2) et acquérir plus de 175 ha de milieux naturels.
    Le Grand parc de l’Ouest est un projet unique de par sa superficie, sa complexité, sa vision collective et son approche collaborative, tout en s’inscrivant dans un objectif de durabilité et d’adaptation aux changements climatiques. Fort d’un territoire riche en biodiversité, le projet vise à mettre en action les priorités de l’Engagement de Montréal, suite au cadre mondial sur la biodiversité adopté à la COP15.
    La présentation portera sur la Stratégie de mise en valeur du Grand parc de l’Ouest, un document de référence unique au sein du réseau des grands parcs montréalais. Elle témoigne d’une nouvelle approche développée pour concevoir et planifier un grand parc de manière ouverte, collaborative et dans une perspective de développement durable.
    À travers ces lignes directrices et pistes d’action, le Grand parc de l’Ouest vise à concrétiser des projets d’adaptation significatifs tels que l’implantation d’une infrastructure naturelle pour limiter l’impact de crues ; la restauration de berges vers une renaturalisation écologique ; la réalisation d’un programme de gestion des écosystèmes ; ou encore des collaborations et ententes avec les parties prenantes pour pérenniser la protection du territoire.


Panel / Atelier

Panel de discussion sur l’évolution des parcs urbains

Les parcs urbains vivent une importante transition, alors que leurs rôles ne se limitent plus à la récréation et la « bienséance » de l’espace vert, mais s’élargit aux questions d’inclusion, de réconciliation, d’expérimentation et d’adaptation et de lutte aux crises environnementales. Investir dans des espaces verts urbains plus durables et y créer des aménagements dans ce sens, c’est investir dans la lutte et dans l’adaptation face aux crises climatiques et aux crises sociales qui sont intimement liées. Ce panel réunissant des professionnels et chercheurs des sciences sociales et sciences naturelles sera l’occasion de discuter de l’évolution des parcs, des recherches et des pratiques d’aménagement inspirantes. Ce sera également l’occasion d’énoncer des défis, préoccupations et solutions pour assurer une transition socioécologique vers des parcs urbains à la fois inclusifs, riches en biodiversité, expériences culturelles et en espaces verts gérés durablement. En réunissant une diversité d’acteurs, ce panel sera l’occasion de réfléchir et d’échanger sur cette nouvelle vision des espaces verts urbains capables de remplir efficacement une diversité de rôles au bénéfice de l’ensemble de la population.

Salle : B-3260 — Bâtiment : Université de Montréal - Jean-Brillant
Discutant·e·s : Nathalie Boucher (Respire), Jonathan Cha (Société du parc Jean-Drapeau), Alicia Herlem (Société parc Jean-Drapeau), Gabriel Laferrière (Conseil jeunesse de Montréal), Myriam Landry (Ville de Montréal-Espace pour la vie | Jardin botanique), Kim Marineau (UdeS - Université de Sherbrooke), Thi-Thanh-Hien Pham (UQAM - Université du Québec à Montréal), Carling Sioui (Figurr Collectif d’Architectes)
  • Communication orale
    Le Jardin des Premières-Nations: exemple de nouveaux espaces socio-écologiques.
    Myriam Landry (Ville de Montréal-Espace pour la vie | Jardin botanique)

    Dans le cadre de ce panel, je propose une réflexion sur le mandat et le rôle des jardins culturels qui s’inscrivent dans une démarche de diversité et de représentativité des groupes culturels et plus spécifiquement sur le rôle et les spécificités du Jardin des Premières Nations dans les nouvelles pratiques et préoccupations des parcs et espaces naturels urbains qui nous intéressent ici soit la mise en valeur des espèces indigènes, l’inclusion et la réconciliation.

  • Communication orale
    Cohabitation nature/humains pour un respect de la biodiversité
    Kim Marineau (UdeS - Université de Sherbrooke)

    Les parcs et espaces verts des villes en zone urbaine ou péri-urbaine sont souvent considérés comme des assises importantes de la biodiversité. Lors des réaménagements, une réhabilitation des habitats peut avoir lieu et par conséquent, il est possible de recréer des espaces naturalisés pour le bénéfice des espèces qui s’y trouvent ou qui peuvent y revenir pour trouver les ressources qui répondent à leurs besoins. Le fait que ces lieux soient publics permet aussi d’assurer la pérennité des écosystèmes en place. Si on y inclut un objectif de cohabitation nature/humains qui permet le respect de la biodiversité, il est possible de considérer parmi les bienfaits de ces lieux que des services écologiques seront rendus aux humains qui les fréquentent.

  • Communication orale
    Appropriation des parcs dans un quartier changeant et défis de la planification urbaine à Saint-Léonard (Montréal)
    Thi-Thanh-Hien Pham (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    S’inscrivant dans l’anthropologie et l’ethnographie spatiale, cette étude a examiné l’usage des espaces publics par plusieurs groupes sociaux, focalisant sur leur expérience de la ville, et leur sociabilité au quotidien. Bien que les parcs de Saint-Léonard soient reconnus par les aîné.e.s et les intervenant.e.s communautaires pour leur qualité (grands, verts et bien équipés), les jeunes trouvent que les parcs sont vides, peu arborés, mal entretenus et peu attrayants. Les jeunes occupent l’espace public à leur façon, en investissant des cours d’écoles, des devantures de commerces ou encore des stationnements. Or, les activités des jeunes telles que jouer, chiller, boire, manger et écouter de la musique sont souvent perçues comme déviantes aux yeux des adultes et des figures d’autorité, puisqu’elles sont pratiquées dans des espaces et des moments jugés inappropriés pour ce faire. Pour refléter cette réalité, nous proposons la cartographie des espaces négatifs qui sont des espace-temps où se manifeste une inéquation entre la représentation d’un lieu et les comportements exprimés par un groupe social. Cette cartographie révèle en autre un enjeu du droit à la ville ainsi que des problèmes structurels de l’appareil municipal. Nous espérons sensibiliser l’appareil municipal de la nécessité d’intégrer le vécu des populations dans la planification des parcs afin de les rendre des lieux riches en biodiversité et signification culturelle.

  • Communication orale
    Appropriation des parcs dans un quartier changeant et défis de la planification urbaine à Saint-Léonard (Montréal)
    Nathalie Boucher (Respire)

    S’inscrivant dans l’anthropologie et l’ethnographie spatiale, cette étude a examiné l’usage des espaces publics par plusieurs groupes sociaux, focalisant sur leur expérience de la ville, et leur sociabilité au quotidien. Bien que les parcs de Saint-Léonard soient reconnus par les aîné.e.s et les intervenant.e.s communautaires pour leur qualité (grands, verts et bien équipés), les jeunes trouvent que les parcs sont vides, peu arborés, mal entretenus et peu attrayants. Les jeunes occupent l’espace public à leur façon, en investissant des cours d’écoles, des devantures de commerces ou encore des stationnements. Or, les activités des jeunes telles que jouer, chiller, boire, manger et écouter de la musique sont souvent perçues comme déviantes aux yeux des adultes et des figures d’autorité, puisqu’elles sont pratiquées dans des espaces et des moments jugés inappropriés pour ce faire. Pour refléter cette réalité, nous proposons la cartographie des espaces négatifs qui sont des espace-temps où se manifeste une inéquation entre la représentation d’un lieu et les comportements exprimés par un groupe social. Cette cartographie révèle en autre un enjeu du droit à la ville ainsi que des problèmes structurels de l’appareil municipal. Nous espérons sensibiliser l’appareil municipal de la nécessité d’intégrer le vécu des populations dans la planification des parcs afin de les rendre des lieux riches en biodiversité et signification culturelle.

  • Communication orale
    Présentation de l’avis du Conseil jeunesse de Montréal portant sur la biodiversité
    Gabriel Laferrière (Conseil jeunesse de Montréal)

    Dans le contexte d’une préoccupation grandissante pour le déclin de la diversité du vivant, le Conseil jeunesse de Montréal (CjM) a choisi de se pencher sur l’état de la biodiversité à Montréal en s’associant à l’équipe de Nouveaux Voisins, une organisation à but non lucratif militant pour une plus grande biodiversité, afin de produire un avis sur ce thème. L’objectif de cet avis est d’étudier et de proposer différentes approches et actions municipales permettant de préserver et de valoriser les écologies de nos milieux habités et, par le fait même, de restaurer nos relations avec une nature plus riche et diversifiée.

    Cet avis, qui sera prochainement déposé au conseil municipal de Montréal, formule vingt recommandations aux élu-es de la Ville. Il présente un cadre théorique portant sur la biodiversité comme enjeu d’aménagement du territoire, dresse l’historique de la protection de la biodiversité à Montréal ainsi que les enjeux actuels pour l’action pro-diversité dans la métropole, en plus de présenter différentes pistes d’amélioration pour Montréal, en s’inspirant d’expérimentations réalisées ailleurs dans le monde.

    Lors de notre presentation, nous effectuerons un survol du travail effectué en mettant l’accent sur les actions et initiatives qui touchent les parcs urbains. Il s’agit d’une occasion en or de découvrir le prochain avis du CjM et d’avoir un avant-goût de son contenu en primeur, puisque son adoption est prévue pour l’été 2023.

  • Communication orale
    Semer les graines de la réconciliation : une exploration de l’impact de l’aménagement sur les réalités autochtones en milieux urbains
    Carling Sioui (Figurr Collectif d’Architectes)

    Le colonialisme est un processus continu qui existe encore aujourd’hui et qui perpétue dans son impact sur tous, surtout les populations autochtones et les environnements qui ont été bouleversées par l’installation des nouveaux arrivants. L’aménagement d’une perspective occidentale a totalement transformé l’île de la Tortue (continent Nord-Américain), et l’île de Tioh’tià :ke-Montréal en est un exemple. Tioh’tià :ke a été pendant des millénaires un paysage culturel développé et gardé par des Premières Nations, dont les Anishinaabe, les Wendats et les Kanien’kéhà :ka, ces derniers étant reconnus encore aujourd’hui comme les gardiens de ce territoire. Les actions du gouvernement Canadien, ont permis aux territoires occupés par les non-autochtones de développer des grands centres construits et totalement différents des environnement qui existaient avant leur arrivée, avec une exclusion totale des voix autochtones dans ces décisions de transformations majeures. Ceci a résulté en une série de paysages urbains dominés par un discours colonial, importé, et parfois oppressif envers les peuples autochtones. Ces structures existent encore aujourd’hui et exercent une grande influence sur la perception de tous, sur eux-mêmes et sur autrui. Ceci reste un phénomène d’actualité, car au moins 50% des individus autochtones du Canada vivent maintenant en milieu urbain, dans des lieux souvent non-cédés qui ne reflètent pas leurs identités et valeurs.


Réseautage

Visite de projets en cours dans le parc Jean-Drapeau

Avec l’adoption du Plan directeur de conservation, d’aménagement et de développement du parc Jean-Drapeau 2020-2030, ce grand parc insulaire amorce une importante transition en positionnant le développement durable au cœur de ses priorités pour en assurer la pérennité pour les générations actuelles et futures. Accompagné par des experts du parc Jean-Drapeau et par le Campus de la transition écologique, cette visite sera l’occasion d’explorer comment la nouvelle vision du parc se déploie sur le terrain, alors que les premiers projets d’aménagement imaginés dans le Plan directeur se mettent en place. Cette visite sera aussi l’occasion de voir et de discuter de projets exploratoires et transitoires réalisés dans le secteur de la Roseraie du pavillon Hélène-de-Champlain. Nous aborderons comment deux organisations complémentaires, une entité gestionnaire d’un territoire et un OBNL indépendant, collaborent dans la transition socioécologique et la transformation du parc urbain vers un espace d’expérimentation d’enjeux sociaux et environnementaux.


Réseautage

Cocktail de réseautage à la Biosphère