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Informations générales

Événement : 87e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 600 - Colloques multisectoriels

Description :

Depuis le premier plan d’action pour les langues officielles du Canada (2003-2008) contenant des objectifs d’amélioration de la santé des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) et les feuilles de route subséquentes (2008-2013 et 2013-2018), la recherche dans ce domaine s’est intensifiée et de nombreuses nouvelles connaissances ont ainsi été créées. Il faut maintenant se questionner sur la mobilisation de ces connaissances.

La mobilisation des connaissances englobe un large éventail d’activités liées à la production et à l’utilisation des résultats de la recherche, notamment la synthèse et la diffusion de connaissances, ainsi que la création et la production conjointes par les chercheurs et les utilisateurs des connaissances (CRSH, 2018). Elle vise la mise en valeur des résultats de la recherche pour leur utilisation stratégique.

Dans l’optique de l’application des connaissances intégrées (IRSC, 2012), plusieurs chercheurs optent pour l’inclusion d’usagers des CLOSM et des décideurs dans leurs recherches. Ceci a des avantages uniques : la recherche est guidée par les principes d’inclusion et de coconstruction des connaissances et se concentre davantage sur les priorités retenues par ces groupes. Dans le contexte des CLOSM, l’appropriation des résultats de recherche prend toute son importance, car il s’agit de connaissances spécifiques se rapportant à des situations et à des besoins particuliers de ces populations.

Il y a néanmoins des enjeux, dont celui de la représentativité des différentes communautés francophones au pays et celui de rejoindre des décideurs qui souvent font partie du groupe linguistique majoritaire. Par exemple : la connaissance produite en Ontario s’applique-t-elle en Alberta? quelle recherche est nécessaire pour influencer les décideurs? comment faire en sorte que les connaissances aident à changer les politiques, à favoriser une organisation de services linguistiquement adaptés et à améliorer l’accès à ces services?

Date :
Responsables :

Programme

Communications orales

Accueil et conférence d’ouverture

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy

Panel / Atelier

Principes de mobilisation des connaissances

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
Participant·e·s : Charles Gagné (Actionmarguerite), Tanya Mac Donald (La fondation canadienne pour l'amélioration des soins de santé), Cécile Paquette (Fédération des ainés et des retraités francophones de l’Ontario, région Ottawa)

Communications orales

Engagement des acteurs dans la mobilisation des connaissances

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
  • Communication orale
    Parcours Santé 18-23 - Passer à l'accès: Une Stratégie de mobilisation des connaissances pour un meilleur accès aux services de santé en français pour les CFASM
    Geneviève Bilodeau (Société santé en francais), Eve Laframboise (Société santé en francais), Jérémie Roberge (Société Santé en français), Caroline Vézina (Société Santé en français)

    Au Canada, les acteurs de la santé dans les Communautés francophones en situation minoritaire (CFSM) ont accès à de nombreuses nouvelles connaissances générées par la recherche. Celles-ci sont nécessaires à la prise de décisions fondées sur les données probantes. Toutefois, pour changer les comportements organisationnels et les politiques publiques, elles doivent être adaptées aux besoins concrets des utilisateurs en plus d’être accessibles dans un langage, format et moment opportun. Pour y arriver, il importe de connaître ces acteurs et d’établir des partenariats et des canaux de communication avec eux. Véritable courroie de transmission, notre organisation facilite l’utilisation des connaissances en santé depuis plus de 15 ans, grâce à son expertise en mobilisation des connaissances (MDC) et en réseautage. Partenaires tant des décideurs politiques, communautés, gestionnaires et professionnels de la santé que des chercheurs, nous sommes engagés à améliorer l’accès aux services de santé en français au Canada. Pour ce faire, nous misons sur la planification de la MDC, le renforcement des capacités et l’accompagnement des partenaires. Nos actions comprennent : l’organisation d’événements rassembleurs, la gestion de projets pancanadiens, la production d’outils de collaboration, etc. En combinant le réseautage et la MDC, nous offrons une courroie de transmission du savoir entre les partenaires : de la production à l’utilisation!

  • Communication orale
    Partenariat pour la mise en œuvre d'actions d’offre active de services en français dans un contexte de très faible densité de francophones
    Chantal Chartrand (Réseau du mieux-être francophone du Nord de l'Ontario), Monique Rocheleau (Réseau du mieux-être francophone du Nord de l’Ontario (Réseau)), Katrine Sauvé-Schenk (Université d’Ottawa), Jacinthe Savard (Université d'Ottawa)

    En contexte de très faible densité de francophones et de rareté d’intervenants pouvant s’exprimer en français, l’offre active de services en français (OAF) pose plusieurs défis. Nous présentons comment le résultat d’une recherche collaborative entreprise dans un premier établissement a été transférée à un second établissement par une collaboration entre ces derniers, le RLISS Nord-Ouest et le Réseau du Mieux-être francophone du Nord de l’Ontario/Entité de planification des SEF. L'objectif était d'habiliter des gestionnaires à mettre en œuvre des actions d’OAF et identifier les conditions de succès. Après un atelier de transfert de connaissances aux gestionnaires du premier site, les chercheurs leur offraient un soutien pour choisir, adapter au contexte local et implanter des actions d’OAF par un processus de cocréation. Une présentation de la démarche au Réseau/Entité de planification des SEF a mené à élargir la collaboration.

    Résultats: Décomposer l’OAF en actions concrètes a permis au premier site d’implanter avec succès d’abord 4 actions d’OAF issues de l’atelier, suivies de 2 nouvelles actions. Leur succès a conduit un second établissement à implanter ce même type d’actions, après une adaptation à leur contexte. Le potentiel de réussite de la démarche augmente en misant sur les gestionnaires-cadres comme agents de changement, en ciblant des actions simples, concrètes et facilement adaptables à différents contextes locaux et en favorisant le partage des succès.

  • Communication orale
    Cafés du bien-être : exercice de mobilisation des connaissances en milieu universitaire
    Danielle De Moissac (Université de Saint-Boniface), Rhéa Rocque (Université de Saint-Boniface), Ndeye Rokhaya Gueye (Université de Saint-Boniface)

    Contexte : Les résultats d’une étude portant sur la santé mentale et les comportements à risque de la population étudiante a fait l’objet de cafés du monde auprès des parties prenantes du milieu universitaire (étudiants, professeurs, personnel des services aux étudiants, administrateurs). Les cafés visaient à informer les participants et à discuter du soutien offert sur le campus. Objectif : Cette présentation fera état du processus entamé pour ces cafés et des retombées à court terme de cet exercice. Méthodologie : Dix cafés ont eu lieu à l’hiver 2019, regroupant entre 10 et 30 participants chacun. Ces derniers ont été divisés en petits groupes de discussion qui ont abordé trois questions : 1) Quels résultats vous ont étonnés/ne vous ont pas étonnés; 2) Que faisons-nous présentement pour soutenir le bien-être des étudiants; et 3) Que pourrions-nous faire de plus ? Résultats : Les cafés ont suscité un vif intérêt de la part des participants. Quoique conscients d’une fragilisation de la santé mentale des étudiants, les participants ne se rendaient pas compte de l’étendue du problème. Des idées innovantes de stratégies de soutien, visant les services en santé mentale, les approches pédagogiques et l’engagement institutionnel ont émané des discussions. Conclusion : Les cafés du monde ont favorisé la mobilisation des connaissances auprès des parties prenantes et l’engagement de ces derniers envers le bien-être de la population étudiante.


Communications orales

Ressources humaines en santé dans les communautés francophones en situation minoritaire

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
Présidence : Cécile Paquette (Fédération des ainés et des retraités francophones de l’Ontario, région Ottawa)
  • Communication orale
    La formation des professionnels de la santé en milieu francophone minoritaire : l’expérience vécue des infirmières et des médecins formateurs au Nouveau-Brunswick.
    France Chassé (Université de Moncton)

    Le recrutement d’un personnel qualifié pour former les infirmières et les médecins est un défi pancanadien. Ce défi s’accentue davantage dans les communautés de langue officielle en situation minoritaire, où le bassin de candidats est limité. Les écrits qui ont examiné les facteurs influençant le choix des professionnels à devenir formateurs sont peu nombreux. La majorité des études recensées sont non canadiennes et, à notre connaissance, aucune n’a été réalisée dans des milieux francophones minoritaires. L’objectif visé par cette étude était d’explorer les incitatifs et les défis qui influencent la décision des professionnels de la santé à s’impliquer dans la formation en français des infirmières et des médecins. Une approche qualitative a guidé les entrevues semi-structurées de 14 infirmières formatrices à l’École réseau de science infirmière et 13 médecins formateurs au Centre de formation médicale du N.-B. Les résultats révèlent des incitatifs communs chez les deux groupes de participants, comme la capacité d’influencer la qualité de l’enseignement et le maintien des compétences professionnelles. Certains défis communs ont été relevés, comme la surcharge de travail et la conciliation travail-famille. Dans un contexte de formation des infirmières et des médecins en milieu francophone minoritaire, il devient impératif d’adapter les stratégies de recrutement du personnel enseignant, afin de cibler plus tôt les candidats prometteurs et d’offrir de meilleures conditions.

  • Communication orale
    Alliés dans la santé des minorités linguistiques : professionnels de la santé anglophones, francophones et francophiles
    Mwali Muray (Université d’Ottawa)

    Certains francophones en Ontario qui préfèrent être servis en français sont confrontés à des enjeux lors qu’il est question d’accéder à des soins de santé en français, qui sont d’une qualité et d’une existence variables à travers la province. Les professionnels de la santé ne sont pas toujours équipés pour subvenir aux besoins uniques de cette minorité linguistique. Ce souci s’accroit pour les soignants francophiles ou anglophones qui, malgré leurs meilleures intentions, peuvent être confrontés à des difficultés particulières lors qu’ils prodiguent des soins aux patients francophones. Le but de l’étude est de comprendre les expériences vécues des patients francophones et de leurs fournisseurs de soins infirmiers en Ontario. L’orientation méthodologique de cette étude qualitative est phénoménologique. Bien que plusieurs études et discussions sur les enjeux de la francophonie ontarienne existent, les professionnels de la santé francophiles et anglophones peuvent être de la partie pour la résolution des problèmes. En élargissant le dialogue pour inclure ces derniers, nous trouvons des alliés qui souhaitent collaborer pour améliorer le système de la santé pour la francophonie ontarienne. Il est important de mener des études auprès de professionnels de la santé anglophones et francophones afin de mieux comprendre les défis et les pistes de solutions pour améliorer la qualité des soins de santé offerts aux CLOSM francophones en Ontario.


Dîner

Dîner libre. Inclus, temps pour visite libre des affiches et de la table des ressources

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy

Communications par affiches

Besoins des communautés francophones en situation minoritaire

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
  • Communication par affiche
    La langue ça compte! Profil de différents aspects reliés à la santé des communautés de langue officielle vivant en situation minoritaire
    Louise Bouchard (Université d’Ottawa), Mathilde Nduwimana (Santé Canada), Nathalie Valdés (Santé Canada)

    Les services de santé sont généralement offerts dans la langue majoritaire de la province ou du territoire. Ceci a des répercussions sur l’accès aux services, la qualité et la sécurité des soins reçus ainsi que les résultats en santé. Notre étude présente une sélection d’indicateurs décrivant plusieurs aspects de la santé de la population francophone et anglophone vivant en situation minoritaire. Les indicateurs sélectionnés sont extraits d’une analyse secondaire de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) combinant plusieurs cycles pour compenser le faible échantillon des francophones et anglophones vivant en situation minoritaire. Les groupes linguistiques ont été identifiés en fonction de quatre variables présentes dans l’ESCC. Résultats : Il existe des différences entre les indicateurs de santé des minorités linguistiques et ceux des groupes majoritaires qui se traduisent par une utilisation différente des services de santé. Il faut continuer à investir dans une offre de services dans la langue de choix des patients ainsi que dans des initiatives qui ciblent une amélioration dans l’état de santé de ces populations. Mobilisation des connaissances : Ces résultats seront partagés avec le Comité consultatif fédéral du portefeuille de la santé pour les communautés de langue officielle en situation minoritaire au Canada et permettront de mieux cibler les initiatives financées par Santé Canada et son Programme pour les langues officielles en santé.

  • Communication par affiche
    Immigration et santé. Où en sont les francophones? Une enquête sur l'état de santé des immigrants francophones en Colombie-Britannique
    Résosanté Colombie-Britannique (RésoSanté Colombie-Britannique), Nicholos Poullos (Simon Fraser University)

    RésoSanté Colombie-Britannique est heureux de partager son rapport sur la santé des immigrants francophones en C.-B.. Où en sont les francophones issus de l’immigration en matière de santé? Nicholos Poullos, dresse plusieurs constats sur l’état de santé des francophones issus de l’immigration dans la province. Il y passe en revue les variables sociodémographiques et socio-économiques qui impactent leur santé physique et mentale. Cette étude examine le rapport entre ces variables et la santé des immigrants francophones en C.-B.. Elle combine diverses méthodes de récolte des données : i) une revue de la littérature sur la santé des immigrants au Canada et la santé des francophones habitant en dehors du Québec; ii) le traitement et l’analyse des statistiques générales sur l’immigration francophone en C.-B.; iii) un sondage en ligne des immigrants francophone; iv) des entrevues semi-dirigées avec des intervenants de la communauté francophone; et v) un groupe de discussion avec des intervenants de première ligne qui donnent un service direct aux immigrants francophones. Les résultats de cette étude pointent plusieurs facteurs impactant la santé des immigrants francophones. La langue, le stress et à la qualité des interactions sociales, semblent en être les causes principales. L’auteur propose 9 recommandations pragmatiques pour combler ces lacunes. Ces pistes de solutions permettraient in fine, de consolider les communautés francophones en situation minoritaire.

  • Communication par affiche
    L’intégration professionnelle réussie des immigrants appartenant aux minorités visibles : le cas des Immigrantes africaines francophones à Winnipeg
    Halimatou Ba (Université de Saint-Boniface)

    Cette étude traite de la réussite de l’intégration des Immigrantes francophones dans la communauté de langue officielle en situation minoritaire au Manitoba. Sujet très peu documenté, il cadre bien avec la mobilisation des connaissances et dévoile une réalité positive sur les femmes immigrantes. L’étude vise à connaitre et à décrire les facteurs et processus qui favorisent la réussite de l’intégration de ces femmes à travers l’emploi comme déterminant de la santé. L’étude qualitative est réalisée à Winnipeg sous l’éclairage des théories de capital social et de l’acculturation. Les entrevues sont menées auprès de 30 Africaines immigrantes francophones bien intégrée à Winnipeg. Les résultats montrent que ces immigrantes francophones ont réussi grâce à l’utilisation judicieuse de leurs capacités personnelles. Elles ont bâti un capital social en interagissant avec les collègues et les membres de la communauté. Leur participation sociale a facilité leur accès aux normes de la société d’accueil, leur permettant d’accéder aux plus hauts postes et de s’y maintenir. Elles ont bénéficié des opportunités gouvernementales et des ressources dans la communauté. Elles ont aussi été confrontées à des difficultés dans leur ascension professionnelle et ont développé des stratégies pour mieux s’en sortir avec dignité. Ces résultats, recommandent de miser sur l’éducation, l’accès à l’emploi, la promotion économique, le respect des droits et la visibilité de la communauté immigrante africaine.


Communications orales

Expériences des usagers

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
  • Communication orale
    L’offre active de services de santé mentale en français – La perspective des usager
    Martin Normand (Université d’Ottawa)

    Dans un article récent, le Groupe de recherche interdisciplinaire sur les pratiques d’offre active de services en français (Cardinal et coll. 2018) fait état des difficultés, pour les chercheurs et pour les réseaux et entités veillant à la planification des services en français (SEF), d’obtenir des données fiables sur la disponibilité des SEF en santé mentale en Ontario. Comment les usagers de ces services composent avec ces difficultés? L’objectif de cette communication est de présenter l’expérience des usagers des services de santé mentale en français dans les régions de Hamilton et de Niagara. Les propos des usagers ont été recueillis lors de groupes de discussion qui ont eu lieu à Hamilton et à Welland à l’été 2017 organisés en collaboration avec le Centre de santé communautaire Hamilton/Niagara (CSCHN). Les usagers y ont relaté leurs difficultés à trouver les SEF et les conséquences sur leur santé mentale de peiner à recevoir des SEF, en soulignant notamment l’importance de la communication dans la relation de soins en santé mentale. Ils discutent aussi des avantages d’avoir accès à des services offerts par un centre de santé géré par et pour les francophones. Les propos recueillis corroborent les travaux sur l’effet des barrières linguistiques en santé et sur l’importance de la concordance linguistique entre patients et professionnels et les résultats de l’analyse d’entretiens menés avec des employés du CSCHN sur les pratiques d’offre active au sein de l’établissement.

  • Communication orale
    Le projet CONNECT et ses enseignements pour la recherche collaborative sur l'autisme adulte
    Patricia George Zwicker (Patiente partenaire), Caroline Jose (Unité de soutien SRAP des Maritimes, Université de Moncton), Marc Robichaud (Unité de soutien SRAP des Maritimes)

    Lancé en 2017, le projet CONNECT (CoNtinuité des soiNs et des sErviCes pour les adultes auTistiques) a été la première initiative de recherche codirigée par une autiste et réunissant dans son équipe d’autres adultes autistes, des aidants naturels des personnes atteintes d'autisme, des chercheurs, des prestataires de services et des décideurs politiques des trois provinces des Maritimes. L'objectif du projet était de recueillir et de diffuser des données jusque-là absentes sur la santé, le statut socio-économique et les besoins de services de la communauté adulte autiste des Maritimes. L'équipe de CONNECT a décidé de prendre du recul et de réfléchir de façon critique sur le cycle de vie de l'étude et sur les enseignements tirés de l’approche participative. Un questionnaire de rétroaction a permis d’explorer des aspects tels que les méthodes de recrutement, la dynamique de groupe, la nature et la portée de l’engagement des adultes autistes ainsi que l'impact que leur engagement a eu sur le projet et sur leur propre développement personnel. Le projet CONNECT peut être utilisé comme un prisme par lequel on peut voir plus clairement la myriade d'avantages et de défis de l'adoption d'une approche de recherche collaborative sur les adultes autistes. Cette présentation montrera également de nombreux résultats imprévus du projet, résultats qui suggèrent que le plein potentiel et la valeur transformatrice de ces entreprises collaboratives n'ont pas encore été complètement compris.


Panel / Atelier

Organiser la production et la mobilisation des connaissances : priorités pour les cinq prochaines années

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
Participant·e·s : Eric Chevaucherie (Association des collèges et universités de la francophonie canadienne), Jennifer Johnson (CHSSN - Réseau communautaire de santé et de services sociaux), Michel Tremblay (Société santé en francais), Nathalie Valdés (Santé Canada)

Panel / Atelier

Synthèse de la journée

Salle : 2.209 — Bâtiment : Cégep G.-Roy
Participant·e·s : Louise Bouchard (Université d’Ottawa), Cécile Paquette (Fédération des ainés et des retraités francophones de l’Ontario, région Ottawa), Sébastien Savard (Université d’Ottawa), Solange Van Kemenade (Université d’Ottawa)