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Informations générales

Événement : 84e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 300 - Lettres, arts et sciences humaines

Description :

L’alliance entre l’art, la culture et le mieux-être est un domaine émergent au Québec et il inclut un éventail très large de pratiques provenant de différentes disciplines artistiques. Ces pratiques intègrent une ou plusieurs visées, qu’elles soient artistiques, éducatives, thérapeutiques, préventives, inclusives ou émancipatrices. Elles s’adressent à des aînés, des enfants malades, des jeunes à risque et des personnes souffrant de problèmes de santé mentale, de troubles alimentaires, de toxicomanie, etc. Malgré l’intérêt grandissant pour ces pratiques qui agissent en complémentarité avec des interventions dans des milieux médical, psychosocial, scolaire et communautaire, force est de constater qu’elles se développent souvent suivant des liens très précaires avec les différents partenaires.

Le contenu du colloque prendra la forme de tables rondes s’articulant autour des trois axes de recherche de la chaire : 1) Art, citoyenneté et populations marginalisées; 2) Art et éducation auprès de jeunes à risque; 3) Art en milieu de soins et en contexte communautaire. Les conférenciers et conférencières de chacune des tables rondes aborderont ces aspects : en quoi leur pratique touche leur milieu d’intervention et en quoi elle enrichit le domaine des arts.

Ce colloque est organisé par la Chaire de recherche UQAM pour le développement de pratiques innovantes en art, culture et mieux-être et a pour but de regrouper des artistes, artistes pédagogues et thérapeutes par les arts autour de questions relatives à l’art et à la culture comme levier de transformation sociale et comme catalyseur de mieux-être individuel et collectif. Ce colloque est une occasion unique qui permettra aux participants et aux conférenciers et conférencières provenant de différentes institutions de partager leur expertise et leurs questionnements dans le domaine « art, culture et mieux-être ».

Date :
Responsables :

Programme

Communications orales

Mot de bienvenue : Mona Trudel et Sylvie Fortin


Communications orales

Conférence d'ouverture

  • Un fossé à combler : les enjeux et possibilités de l'art pour le changement social
    Judith Marcuse (International Centre of Art for Social Change, Simon Fraser University)

    Alors que les communautés humaines font face à des problèmes locaux ou mondiaux souvent graves et très complexes, il apparaît urgent de trouver des méthodes de résolution de problèmes originales et créatives appelant aux sens et mobilisant la tête, les mains et le cœur. Au Canada et partout dans le monde, des projets artistiques spécialisés de toutes disciplines s'avèrent des méthodes efficaces et innovatrices en matière de recherche et d'action sociales, car elles tiennent compte et veulent répondre aux préoccupations de la communauté. Ces pratiques artistiques à vocation sociale portent diverses appellations — art pour le changement social (ASC), arts communautaires, médiation culturelle ou arts participatifs — et offrent chacune leur propre objectifs et procédés. Rares sont les occasions d'échanges de connaissances entre les divers organismes et individus, souvent isolés, qui œuvrent au changement social, environnemental et politique par le biais de pratiques artistiques spécialisées, que ce soit dans le secteur du développement communautaire, des initiatives interculturelles, de la santé, des règlements de conflits ou de l'entreprise sociale. Au cours de cette conférence, nous offrirons un aperçu de ce secteur en expansion à travers le monde, présenterons un bilan des conclusions préliminaires d'une étude de cinq ans menée par l'ASC au Canada (maintenant à mi-parcours) et inviterons chacun à explorer les questions, avenues, développements et possibilités dans ce domaine.

  • Période de questions
  • Pause

Communications orales

Table ronde 1 : art, citoyenneté et populations marginalisées

  • L'expérience d'un grand chantier de création avec les résidents d'un HLM : dialogue entre une artiste et un travailleur communautaire
    David Régnier (Mouvement international ATD Quart Monde), Joëlle Tremblay (Université Laval)

    En 2015, David Régnier, permanent du Mouvement international ATD Quart Monde et Joëlle Tremblay, artiste et professeure en arts visuels à l'Université Laval, ont invité les résident.e.s des HLM Hochelaga à réaliser une œuvre collective. Il s'agit d'une installation de peintures conçue pour une cage d'escalier. Le travailleur communautaire et l'artiste s'interrogent quant à la contribution de leur projet au sein de la société : permet-il une évolution du regard sur la citoyenneté et l'exclusion sociale? Va-t-il au-delà de la construction du mieux-être? Ils ont choisi d'aborder ces questions à partir d'une réflexion sur leur collaboration. Faire équipe pose des défis à la fois au niveau des engagements professionnels respectifs, des façons de faire et d'être. Quels accords fondamentaux sont nécessaires pour prendre le risque de s'engager ensemble dans un grand chantier de création? Qu'est-ce que cette expérience interroge et révèle de leurs pratiques et compétences? Comment s'assurer que les transformations de l'œuvre, des personnes et de la communauté soient considérées à importance égale? L'art et la lutte contre l'exclusion risquant de s'instrumentaliser, à quelles conditions ces deux pratiques peuvent-elles se rejoindre pour se donner plus de sens et d'envergure ?

  • Penser la prison par les arts : danse, littérature et création littéraire
    Sylvie Frigon (Université d’Ottawa)

    Dans cette conférence, je vais tenter d'explorer en quoi la danse, la littérature et la création littéraire affectent le milieu carcéral, et en quoi ces médiums artistiques enrichissent le domaine des arts. En tant que chercheure et professeure, je travaille maintenant depuis plus d'une décennie à créer des passerelles entre le dedans et le dehors avec des artistes afin d'intervenir avec les femmes en milieu carcéral. Les arts sont un magnifique levier de transformation sociale nous permettant de proposer des façons de faire différentes et peut-être plus humaines et profondes. Ainsi, je me pose la question : comment les arts peuvent offrir, bien que modestement, un espace d'expression et de reconquête de soi pour les personnes incarcérées.

  • Culture inclusive : un laboratoire vivant au cœur des institutions culturelles
    Nadia Duguay (Exeko)

    Exeko développe un nouveau laboratoire d'innovation sociale dédiée à l'exclusion culturelle et intellectuelle par le biais d'un programme combinant 3 types de recherches (partenariale, inclusive et créative) au sein même et en collaboration avec des institutions culturelles. L'idée? Augmenter l'accessibilité et la participation à la culture via la possibilité d'accéder tant aux grandes institutions culturelles qu'aux espaces de création artistique. Depuis 2006, Exeko propose des projets qui posent l'éducation, la prévention, la culture et la participation citoyenne au cœur de la santé et du mieux-être dans le but de bâtir une société plus inclusive, créative et réflexive et ce, auprès de personnes à risque, en situation ou à expérience vécu d'exclusion (déficience intellectuelle, pauvreté, itinérance, santé mentale, toxicomanie, décrochage scolaire, milieu carcéral). Déployés en complémentarité avec 250 collaborateurs, 300 projets ont été complétés auprès de 10 000 participants dans 4 provinces canadiennes, en milieu urbain comme en communautés autochtones. Ce sont autant d'initiatives à impact direct qui nous ont permis au fil des années de valider la singularité et le potentiel de notre approche de médiation intellectuelle: positionner la créativité (art et philosophie) au cœur de la transformation sociale, et reconnaître le potentiel, et non uniquement les problématiques, des plus marginalisés.

  • La cocréation comme vecteur de citoyenneté culturelle : enjeux et défis
    Eve Lamoureux (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    Dans cette communication, nous allons analyser comment certaines pratiques artistiques cocréatives, qui jumellent des artistes professionnel.le.s et des participant.e.s, contribuent ou non à renforcer la citoyenneté culturelle. En quoi l'art permet-il de mener des processus créatifs collectifs qui renforcent la participation culturelle, sociale et politique ? À quelles conditions ? Quels sont les enjeux et les défis ? Au cœur de notre réflexion sera aussi analysé le rôle que peut jouer les chercheur.e.s. Pourquoi et comment sont-ils.elles de plus en plus sollicité.e.s ? En fonction de quels critères peut-on évaluer des projets artistiques ? Comment mener des recherches partenariales avec les artistes, les participant.e.s et les partenaires institutionnels ?

  • Plénière

Assemblée générale

Dîner


Communications orales

Table ronde 2 : art et éducation auprès de jeunes à risque

  • Au cœur du Cirque du Soleil : « Les arts et la créativité pour le développement social », le programme Cirque du Monde, des leçons de cirque aux leçons de vie!
    Emmanuel Bochud (Cirque du Soleil)

    Au Cirque du Soleil, nous croyons qu'il est encore possible de construire un monde meilleur, et d'être un cirque responsable, un cirque citoyen. Le Cirque Soleil a pour mission d'invoquer l'imaginaire, de provoquer les sens, et d'évoquer l'émotion des gens autour du monde. Dans la poursuite de ses rêves et dans la pratique de ses affaires, le Cirque du Soleil aspire à se positionner dans la communauté en tant qu'acteur responsable de changement. Le Cirque du Soleil croit au pourvoir des arts et la créativité pour le mieux-être. Plusieurs programmes utilisant les arts et la créativité pour le développement social ont donc été mis sur pieds. L'exemple de cirque du monde, l'une des grandes fiertés du Cirque du Soleil. Depuis sa création, le programme Cirque du Monde est maintenant implanté dans plusieurs pays à travers le monde en partenariat avec de nombreux organismes communautaires locaux, reconnus dans leur milieu pour la qualité de leur travail auprès des jeunes. L'utilisation des arts du cirque pour le développement d'habiletés sociales, la médiation culturelle et l'éducation. Des leçons de cirque aux leçons de vie!

  • Théâtre et persévérance scolaire : un état des lieux
    Maud Gendron-Langevin (UdeM - Université de Montréal)

    Au Québec, en 2012-2013, 17,8% des jeunes du réseau public du secondaire décrochent avant d'obtenir leur diplôme d'études secondaires (MELS, 2015). Sur le plan scolaire, pour toutes sortes de raisons, qu'elles soient familiales, sociales, émotionnelles ou académiques, ces adolescents éprouvent des difficultés à fonctionner en classe, à transiger avec leurs pairs, les enseignants et la direction et à demeurer engagés dans leur cheminement. L'École serait un facteur de protection et un espace de vie ayant le potentiel de permettre le développement positif des élèves qui s'y engagent, particulièrement ceux qui sont à risque de décrochage scolaire. En effet, l'engagement à l'intérieur de l'école, soit dans les sports, les clubs, la classe et le conseil scolaire, augmenterait la présence à l'école, favoriserait la graduation et, par le fait-même, protègerait contre le décrochage scolaire (Skinner et Pitzer, 2012, p.23). Qu'en est-il de l'enseignement du théâtre à l'école? L'utilité et l'apport spécifique de l'art dramatique, en tant que matière scolaire du Programme de formation de l'école québécoise, comme ayant un potentiel motivationnel pour les élèves, a très peu fait l'objet d'évaluation. Il est temps de faire un état des lieux sur la question.

  • Espace Transition au Musée
    Marilyn Lajeunesse (Musée des beaux-arts de Montréal)

    De mars à juin 2015, dans le cadre du projet Espace Transition au Musée, une quinzaine de jeunes âgés entre 14 et 25 ans ont participé à une douzaine d'ateliers offerts par le Musée des beaux-arts de Montréal. Espace Transition est une initiative novatrice du Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine. Menés par la Dre Patricia Garel, les programmes d'Espace Transition intègrent le théâtre, le cirque, la musique et les arts plastiques afin d'encourager la réinsertion sociale et la dé stigmatisation des personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale. Dans la foulée des nombreuses publications internationales traitant des bienfaits de l'art sur la santé mentale et la santé en général, Espace Transition au Musée a été conçu conjointement par des chercheurs, des cliniciens et des professionnels de l'éducation en musée. Le succès du projet fera en sorte qu'il sera offert à nouveau en 2016. C'est grâce à des projets de collaboration comme celui-ci que le Musée des beaux-arts de Montréal manifeste son engagement envers le public et contribue au rôle important joué par les institutions culturelles dans le bien-être social et sanitaire de la population du Grand Montréal.

  • Réflexion esthétique et habilitation citoyenne des jeunes à risque
    Martin LALONDE (Université Concordia), David Pariser (Université Concordia)

    Nous présentons ici les résultats d'un projet pilote dans lequel un programme d'enseignement des arts médiatisé par les technologies mobiles a été implanté auprès d'un groupe d'étudiants à risque dans le but d'améliorer leur niveau d'engagement scolaire et citoyen. Cette recherche a été réalisée dans un centre d'éducation aux adultes accueillant des jeunes raccrocheurs de 16 à 18 ans désirant terminer leurs études secondaires. Les participants étaient invités à produire et partager des images qui exploraient des facettes de leur quartier, ainsi que des thèmes de création provenant de l'instructeur et des préoccupations issus des échanges du groupe. Nous avons recueilli et analysé les images, les commentaires qui les accompagnaient, les discussions textuelles sur l'application et les propos recueillis lors d'entrevues individuelles semi-ouvertes des participants. Nous présentons ici quelques conclusions d'intérêt pour la recherche en éducation dont l'interaction positive qui existe entre engagement citoyen et l'intérêt des participants envers les dimensions esthétiques et formelles des images produites sur leur quartier. Plusieurs participants ont reconnu que si une image est bien faite, elle sera d'autant plus efficace pour communiquer un message appelant à la participation citoyenne. Dans cette communication, nous allons examiner ce principe prometteur où existe un rapport entre encouragement de l'engagement civique et l'enseignement des arts visuels.

  • Plénière
  • Pause

Communications orales

Table ronde 3 : art en milieu de soins et en contexte communautaire

  • Accompagner par l'art en milieu de soins : incarner un savoir du corps
    Florence Vinit (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    La formation artistique, notamment dans le domaine théâtral, donne une place centrale au corps comme vecteur d'une certaine qualité de présence et d'expressivité. Le corps de l'artiste n'est pas un instrument extérieur au sujet mais l'incarnation vivante d'un style d'existence, manifesté dans une façon de se mouvoir, d'habiter l'espace et de rencontrer l'autre, couplé à l'intention particulière de son projet artistique. La connaissance de soi développée par l'artiste intègre donc une capacité à sentir et reconnaitre sa propre dimension sensible en dialogue vécu avec l'environnement. La présentation visera à mieux comprendre les résultats d'une recherche portant sur les compétences auto-perçues par des artistes clowns ayant plusieurs années d'expériences en milieu de soin. Nous tenterons d'expliciter la capacité d'ajustement qu'ils disent avoir développée, entre l'expérience de leur propre corps vécu et l'intervention artistique agie avec le patient vulnérable. Le savoir corporel de l'artiste, comme un sens d'accordage avec l'autre dans l'action, est susceptible de résonner en retour avec la propre corporéité du patient, mais aussi de transformer de l'intérieur la qualité de relation à soi et à l'autre dans les institutions.

  • Danse et neuroréadaptation post-AVC
    Lucie Beaudry (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    La danse constitue une intervention où l'activité physique implique diverses fonctions cognitives et motrices, en plus d'offrir une expérience multisensorielle par l'ajout de la dimension musicale et de l'interaction sociale. Les recherches faites à ce jour suggèrent que la combinaison des dimensions physique, musicale et relationnelle proposée à travers la danse peut générer des bénéfices additionnels en neuroréadaptation, ce qui en fait une modalité intéressante à investiguer auprès de personnes cérébrolésées. La conférence réfère à deux projets qui furent menés en réadaptation précoce d'AVC – l'un en phase subaiguë et l'autre en phase aiguë –, des projets qui visaient entre autres à stimuler le potentiel de récupération des patients. La sévérité des déficits neurologiques et leur hétérogénéité chez la population visée ont posé de nombreux défis, tant pour le développement de l'intervention que pour l'évaluation de ses effets. Les réalités paradigmatiques et méthodologiques qui prévalent dans le milieu hospitalier ont aussi soulevé d'importants questionnements, en plus de nourrir une réflexion en matière d'explicitation des contenus à des fins pérennes. L'apport de la danse chez la population ciblée sera finalement abordé, ainsi que l'intérêt que présente l'interdisciplinarité dans le développement de l'intervention dansée.

  • Quelles mesures pour l'art à l'hôpital?
    Tamar Tembeck (Université McGill)

    Selon un recensement publié par Raw et al en 2012, les recherches existantes sur l'art à l'hôpital ont tendance à englober la gamme entière des pratiques artistiques destinées aux milieux de soins, qu'elles aient des visées thérapeutiques ou non (pp. 97-99). Étant donnée la croissance continue de la recherche en art et santé, nous considérons que l'heure est venue de fournir une meilleure différentiation des formes, des types et des visées des pratiques d'art qui peuplent actuellement les milieux hospitaliers. Ainsi, nous nous attarderons pour cette communication sur une forme précise d'art en milieu de soins : l'art public intégré à l'architecture. Nous prendrons pour étude de cas les œuvres d'art public choisies pour les deux nouveaux sites des « méga-hôpitaux » montréalais : la Phase II du CHUM et le site Glen du CUSM. En plus d'identifier les formes et les visées distinctes des œuvres commandées pour ces lieux, nous aborderons la question de la mesure de l'impact – si prisée dans les recherches actuelles sur l'art et la santé – afin de proposer une méthodologie qui, à notre avis, est mieux adaptée pour l'étude d'un art hospitalier n'ayant pas de visées proprement thérapeutiques. Ce faisant, nous discuterons des suppositions qui sous-tendent la recherche sur l'art en milieux de soins, notamment en ce qui a trait aux bienfaits de l'art.

  • La pratique de la musicothérapie en milieu de soins : une diversité de visées, approches, modes d'intervention et bienfaits
    Debbie Carroll (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    Dans cette présentation, la pratique de la musicothérapie - le qui, le quoi, le comment et le pourquoi - sera discutée à la lumière du domaine, en pleine expansion, des arts en milieu de soins de santé. Quelques vignettes cliniques illustreront le rôle diversifié de cette discipline professionnelle qui a vu le jour au lendemain des deux guerres mondiales. Les hôpitaux étant remplis d'anciens combattants traumatisés par les guerres, il a souvent été observé que seule la musique pouvait les aider à exprimer leurs émotions. En conséquence, le besoin de former les musiciens ayant des compétences cliniques est devenu prioritaire. Le premier programme de formation en musicothérapie a été crée en 1944 à Michigan State University. Ayant son propre code de déontologie et des normes de pratiques basées sur les données probantes, le musicothérapeute est un musicien accompli qui est diplômé d'un programme de musicothérapie reconnu et accrédité (MTA) par une association de musicothérapie. Tel que défini par l'Association du musicothérapie du Canada, « la musicothérapie est l'utilisation judicieuse de la musique et de ses éléments par un musicothérapeute accrédité afin d'améliorer, de maintenir, ou de rétablir la santé mentale, physique, émotionnelle et spirituelle d'une personne.» Les possibilités de collaboration dans l'ensemble du continuum des pratiques des artistes, artistes pédagogues et thérapeutes par les arts seront également abordées.

  • Plénière

Communications orales

Synthèse et mot de la fin : Mona Trudel et Sylvie Fortin