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Prédiction de la dépense énergétique totale quotidienne chez des femmes ménopausées, obèses et sédentaires en fonction du coût métabolique sur vélo stationnaire
Ahmed Ghachem (UdeS - Université de Sherbrooke), Isabelle DIONNE (UdeS - Université de Sherbrooke), Rémi RABASA-LHORET (UdeM - Université de Montréal), David PRUD'HOMME (Université d’Ottawa), Martin BROCHU (UdeS - Université de Sherbrooke)
Objectif: La mesure de la dépense énergétique totale quotidienne (DETQ) joue un rôle important dans la prévention et le traitement de l'obésité. Cependant, la mesure de l'estimation de cette dernière est difficile. L'objectif de cette étude était de déterminer si la DETQ pouvait être estimée à partir du coût métabolique sur vélo stationnaire.
Méthodes: 137 femmes ménopausées, obèses, et sédentaires (âge moyen 58 ± 4.9 ans) ont été étudiées. Les mesures suivantes ont été effectuées: composition corporelle (DXA), DETQ (eau doublement marquée), métabolisme de repos (MR; calorimétrie indirecte), dépense énergétique liée à l'activité physique (DEAP = [DETQ*0,9]-MR), coût métabolique sur vélo stationnaire (à 25, 50, 75, et 100W), et VO2 de réserve (VO2 max – VO2 de repos)
Résultats: Le poids corporel corrélait positivement à la DETQ (r=0,54, p≤0.01), au MR (r=0.71,p ≤ 0.01) ainsi qu'à la DEAP (r= 0.21, p ≤ 0.05). L'âge était négativement corrélée à la DETQ (r= -0.19, p ≤ 0.05) et à la DEAP (r=-0.18,p ≤ 0.05) Aucune correlation entre le coût métabolique aux différentes intensités n'a été observe avec la DEAP. Par contre, le VO2 max de réserve expliquaient 39,5% de la variance observée de la DETQ (p ≤ 0.01).
Conclusion: Contrairement à notre hypothèse de départ, le coût métabolique sous-maximal sur vélo stationnaire n'était pas associé à la DETQ. Le poids, l'âge, ainsi que le VO2 de réserve sont les meilleurs prédicteurs de DETQ, avec 39,5% de la variance expliquée dans notre population.
Résumé
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Niveaux et patrons d'activité physique chez les patients atteints de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)
Zohra Parwanta (Université Concordia), Emilie CHAN-THIM (Université Concordia), Marie DUMONT (UdeM - Université de Montréal), Grégory MOULLEC (Université Concordia), Véronique PÉPIN (Université Concordia)
Objectif: Une réduction du niveau d'activité physique (AP) a été documentée chez les patients atteints de MPOC comparé aux sujets sains du même âge. Le but de notre étude était de caractériser les patrons d'AP au cours de la journée (entre 8h et 20h), en comparant les niveaux d'AP moyens du matin (8h-12h), de l'après-midi (12h-16h) et du soir (16h-20h).
Méthodes: 14 patients (71±7ans; 9hommes) atteints de MPOC modérée à sévère (ratio volume expiratoire maximal à la 1ère seconde (VEMS)/capacité vitale forcée (CVF): 57±13% de la valeur normale prédite) ont participé à l'étude. L'AP quotidienne était mesurée à l'aide d'un acétimètre (Actiwatch-2, Mini-Mitter/Respironics, Bend, É.-UA) 24 heures/jour pour 7 jours consécutifs. Les données ont été analysées de 8h à 20h, grâce à la moyenne du comptage d'activité par minute (cpm). Ces moyennes ont été comparées entre matin, après-midi et soir avec une analyse de variance.
Résultats: Les patients ont eu un niveau moyen d'AP quotidien de 270±68cpm. Une différence significative du niveau d'AP a été trouvée entre les périodes de la journée (p=0,005). Les comparaisons en paires ont révélé une différence significative entre les niveaux d'AP du matin (301±92cpm) et du soir (238±58cpm) (p=0,03).
Conclusion: Les niveaux d'AP semblent diminuer chez les patients MPOC au cours de la journée (du matin au soir). Ceci pourrait avoir des implications pour la mesure d'AP, mais également pour les interventions visant à augmenter les niveaux d'AP dans la MPOC.
Résumé
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Comparaisons et relations entre le VO2 pic, le débit cardiaque maximal et la fonction cognitive lors d'une épreuve à l'effort maximal chez des sujets sains et des patients obèses
Gabriel Lapierre (UdeM - Université de Montréal), Anil NIGAM (Institut de cardiologie de Montréal), Louis BHERER (Université Concordia), Martin JUNEAU (UdeM - Université de Montréal), Olivier DUPUY (Université de Poitiers), Véronique LABELLE (CRIUGM - Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal), Vincent GREMEAUX (INSERM - Institut national de la santé et de la recherche médicale), Joffrey DRIGNY (Institut de cardiologie de Montréal), Mathieu GAYDA (UdeM - Université de Montréal)
Objectif: 1) Comparer le VO2 pic, le débit cardiaque et la fonction cognitive chez les patients obèses (OB) vs. des sujets sains appariés par l'âge (SS) pendant un exercice maximal. 2) Étudier les relations entre VO2 pic, le débit cardiaque, la fonction cognitive chez les OB et les SS.
Méthodes: Un total de 21 SS et 33 OB ont été recrutés. Le VO2 pic (échanges gazeux) et l'hémodynamique cardiaque ont été mesurés lors d'un test maximal incrémenté. La fonction cognitive a été évaluée avec: la mémoire de travail à court et long terme, la mémoire verbale à long terme, la vitesse de traitement, les capacités perceptives, d'inhibition et de flexibilité.
Résultats: Comparativement aux SS, les OB avaient un V02 pic (ml/min/LBM), une fraction d'éjection diminuée et un volume télé diastolique supérieur (P < 0,05). Comparativement aux SS, les OB avaient un FC de repos plus élevé (P < 0,05). La fonction cognitive était similaire entre les 2 groupes pour tous les éléments (P > 0,05) chez tous les sujets. Le VO2 pic était corrélé à la fonction cognitive (mémoire court terme et de travail, vitesse de traitement, inhibition et flexibilité : R = -0,32 à 0,43, P< 0,05).
Conclusion: Nos résultats suggèrent qu'un V02 pic réduit chez les OB pourrait provenir d'une fonction cardiaque réduite. Cependant, nos sujets OB avaient une fonction cognitive préservée. Chez tous les sujets, la cognition était corrélée avec une la capacité maximale aérobie.
Résumé
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Comparaison des réponses hémodynamiques et métaboliques lors d'un exercice intermittent de haute intensité et d'un exercice continu d'intensité modérée chez des sujets sains
Jean-François Larouche (Université Concordia), Mathieu GAYDA (UdeM - Université de Montréal), Martin JUNEAU (UdeM - Université de Montréal), Anil NIGAM (Institut de cardiologie de Montréal)
Objectif: Les réponses hémodynamiques et l'utilisation des substrats énergétiques lors d'un exercice intermittent de haute intensité (EIHI) comparativement à celles d'un exercice continu d'intensité modérée (ECIM) sont peu documentées chez le sujet sain. L'objectif était de comparer les réponses hémodynamiques (prélèvement d'oxygène : VO2, débit cardiaque, volume d'éjection systolique, différence artério-veineuse) et l'utilisation des substrats énergétiques lors d'une session d'EIHI et ECIM.
Méthodes: Quarante sujets sains, 20 jeunes (28±5 ans, 64±10 kg et 172±9 cm) et 20 âgés (61±7 ans, 68±11 kg et 169±9 cm) ont réalisé une épreuve d'effort cardio-pulmonaire maximale avec analyses des échanges gazeux et mesure hémodynamiques. Ils ont ensuite réalisé, dans un ordre aléatoire, une session d'EIHI et d'ECIM avec la mesure des échanges gazeux et de l'hémodynamie.
Résultats: Les valeurs hémodynamiques ne différaient pas lors des 2 blocs d'EIHI et d'ECIM. De plus, la dépense énergétique était similaires lors des 2 sessions (DE (kcal/min) : P=0,61). L'oxydation du glucose et des lipides n'étaient pas différentes lors des 2 exercices. En comparant les groupes, jeûnes et âgés, nous n'avons observé aucune interaction significative dans l'utilisation des substrats énergétiques et la réponse hémodynamique.
Conclusion: Les réponses hémodynamiques et l'oxydation des substrats se montrent donc similaires lors de l'EIHI et l'ECIM malgré les différentes intensités de travail (100% vs. 60% de la PAM).
Résumé
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Effet d'un programme de promotion de la vitalité cognitive sur le niveau de pratique d'activité physique des aînés
Charles-Émile Desgagnés-Cyr (CSSS - Centre de santé et des services sociaux Cavendish), Sophie LAFOREST (UdeM - Université de Montréal), Nathalie BIER (CRIUGM - Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal), Kareen NOUR (CSSS - Centre de santé et des services sociaux Cavendish), Dave ELLEMBERG (UdeM - Université de Montréal), Michel FOURNIER (Direction de santé publique de Montréal), Danielle GUAY (CSSS - Centre de santé et des services sociaux Cavendish), Manon PARISIEN (CSSS - Centre de santé et des services sociaux Cavendish)
Objectif: Explorer 1)Le lien entre l'activité physique (AP)et différentes dimensions de la vitalité cognitive avant de débuter un programme promotionnel de la vitalité cognitive 2)L'effet du programme sur l'AP 3) l'effet modérateur et médiateur de l'AP sur les impacts du programme.
Méthodes: Recrutement de 294 personnes agées de 60 ans et plus, intéressées à participer à un programme de vitalité cognitive. Les participants ont été évalués avec des tests cognitifs (MoCA, MIA, CVLT, RBMT, MMQ, Attention, Stroop) et des instruments sur l'AP (CHAMPS, test de marche de 2 minutes). Des corrélations ont été faites à l'entrée des participants dans l'étude. Des régressions multivariées ont été réalisées pour mesurer l'impact du programme et celle de l'AP.
Résultats: Trois corrélations significatives (p< 0,05) étaient présentes au début de l'étude entre les performances aux tests cognitifs et l'AP. La participation au programme amène une augmentation significative de l'AP. Les analyses n'indiquent pas d'effet significatif modérateur ou médiateur de l'AP avec les impacts du programme sur la cognition.
Conclusion: Les résultats confirment l'importance de l'AP pour la vitalité cognitive des aînés. Ils démontrent qu'un programme multifactoriel, incluant la promotion de l'AP, peut modifier l'engagement des aînés dans des AP de façon significative. Des études futures devront toutefois démontrer si la pratique d'AP, avant de débuter un programme, peut avoir un effet médiateur sur la vitalité cognitive.
Résumé
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Bienfaits potentiels de la marche avec bâtons pour les personnes âgées : état des connaissances
Baptiste Fournier (UdeM - Université de Montréal), Manon PARISIEN (CSSS - Centre de santé et des services sociaux Cavendish), Marie-Ève DELICHY (CSSS - Centre de santé et des services sociaux Cavendish), Marie-Ève MATHIEU (UdeM - Université de Montréal), Sophie LAFOREST (UdeM - Université de Montréal)
Introduction :
Depuis quelques années, un engouement envers la marche nordique, qui consiste à marcher avec des bâtons, est observé. L'objectif est de présenter une recension des écrits qui explore spécifiquement les bénéfices potentiels de cette activité sur la santé des personnes âgées. De plus, nous dévoilerons le programme Marche avec bâtons développé par le CSSS Cavendish-CAU.
Méthodes :
Nous avons effectué une recension des écrits avec les mots clés : « pole walking », « nordic walking », « exerstriding », « older adults » et « elderly » dans les bases de données PubMed, SPORTDiscuss, Web of Sciences et CINAHL.
Résultats :
Une dizaine d'articles portent sur les bénéfices de la marche avec bâtons chez les personnes âgées. Ces articles rapportent principalement des effets positifs de la marche avec bâtons sur la condition physique et la santé cardiovasculaire des participants. Certains effets demeurent controversés quand d'autres sont encore inexplorés. Le programme Marche avec bâtons vise à améliorer le bien-être général des participants; et 2) augmenter leur pratique d'activités physiques et de loisirs.
Conclusion :
Encore peu d'études ont porté sur la marche avec bâtons auprès des personnes âgées. Cependant, plusieurs impacts positifs de la marche avec bâtons semblent émerger communément de la littérature. Le programme Marche avec bâtons est une stratégie innovante du fait de son application par les milieux communautaires et de ses effets qu'il vise à atteindre.
Résumé
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L'effet combiné de l'exercice physique et de l'entraînement cognitif sur les performances en double-tâche
Philippe Brouillard (CRIUGM - Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal), Maxime LUSSIER (UdeM - Université de Montréal), Laurence DESJARDINS-CRÉPEAU (UQAM - Université du Québec à Montréal), Sarah FRASER (Université McGill), Thien Tuong MIHN VU (CRIUGM - Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal), Laurent BOSQUET (Université de Poitiers), Louis BHERER (Université Concordia)
Objectif: L'entrainement cognitif informatisé et l'exercice physique aérobique mènent à une amélioration de la performance à diverses mesures cognitives. Cependant, peu d'études ont examiné l'effet combiné de ces deux types d'intervention.
Méthodes: Quatre-vingt-un participants ont complété 75 % de leurs programmes d'entrainement physique et cognitif respectifs (aérobie / double-tâche : n = 27, aérobie / stimulation placebo : n = 21, étirements / double-tâche : n = 22, étirements / stimulation placebo : n = 17). L'efficacité des programmes a été comparée sur la base de l'amélioration à une double-tâche de transfert, c'est-à-dire une tâchequi n'a pas été entrainée.
Résultats: Bien que tous les programmes induisent des avantages similaires sur les essais simple purs et simple mixtes, les participants ayant reçu l'entrainement en double-tâche ont montré une plus grande amélioration aux essais double mixtes, F (1, 85) = 11.50, p < .001, η = .119 . Le type d'entrainement physique (aérobie ou étirement) n'a eu aucun effet significatif sur cette amélioration.
Conclusion: Malgré le fait que l'étirement et l'entrainement physique aérobique ont eu un impact similaire sur une mesure de l'attention divisée, l'entrainement en double-tâche s'est avéré beaucoup plus efficace que la stimulation placebo.
Résumé
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Le fonctionnement physique est associé à la vitesse de traitement et aux fonctions exécutives chez des personnes âgées vivant dans la communauté
Laurence Desjardins (UQAM - Université du Québec à Montréal), Nicolas BERRYMAN (UdeM - Université de Montréal), Thien Tuong MIHN VU (CRIUGM - Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal), Juan MANUEL VILLALPANDO (CRIUGM - Centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal), Marie-Jeanne KERGOAT (UdeM - Université de Montréal), Karen Z. LI (Université Concordia), Laurent BOSQUET (Université de Poitiers), Louis BHERER (Université Concordia)
Objectif : L'objectif de cette étude était d'examiner l'association entre le fonctionnement physique et le fardeau cardiovasculaire sur les performances cognitives de personnes âgées vivant dans la communauté.
Méthodes: Quatre-vingt-treize adultes âgés de 60 ans et plus ont complété une évaluation médicale avec un gériatre, une évaluation neuropsychologique, ainsi que des tests de performance physique. Trois scores composites cognitifs (mémoire, vitesse de traitement et fonctions exécutives) et un score composite de fonctionnement physique ont été créés en calculant la moyenne les scores z standardisés des tests sélectionnés. Un score de fardeau cardiovasculaire a aussi été calculé en additionnant le nombre de facteurs de risque et de maladies cardiovasculaires chez chaque participant.
Résultats: Les analyses par régressions multiples hiérarchiques ont révélé que le fonctionnement physique explique une portion significative de la variance du score de vitesse de traitement et du score de fonctions exécutives, mais n'est pas associé au score de mémoire. Par ailleurs, le fardeau cardiovasculaire ne permettait pas d'expliquer de variance supplémentaire dans les scores cognitifs.
Conclusion: Ces résultats suggèrent que le fonctionnement cognitif peut être prédit par des tests simples de performance physique et soulignent l'importance des études d'intervention qui visent à améliorer le fonctionnement physique et cognitif des aînés.
Résumé
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Adhésion à un programme d'exercice et santé métabolique : entraînement en plein air ou en salle?
Objectif: Les femmes ménopausées présentent un risque cardiovasculaire accru et un faible niveau d'activité physique. L'exercice en plein air améliore les réponses affectives et encourage le choix d'une intensité supérieure comparativement à la même activité intérieure. L'objectif était de comparer les effets d'un entraînement extérieur et intérieur sur la santé métabolique et l'adhésion à un programme d'activité physique chez les femmes ménopausées.
Méthodes: Vingt-trois femmes ménopausées, sédentaires et en surpoids(IMC de 22 à 28kg/m2) ont été réparties aléatoirement dans l'un des deux groupes d'entraînement mixte(12 semaines) suivants:1)Extérieur 2)Intérieur. L'intensité d'exercice, les réponses affectives et l'adhésion au programme ont été mesurées à chaque semaine de l'intervention et les paramètres métaboliques avant et après l'entraînement.
Résultats: L'intensité maximale choisie par les participantes à l'intérieur a été supérieure au groupe extérieur, la capacité aérobie s'est donc améliorée et la circonférence de taille et l'IMC ont diminué significativement à l'intérieur. À l'extérieur, la pression artérielle de repos et les réponses affectives ont été significativement améliorées. L'adhésion au programme était significativement supérieure pour les participantes extérieures.
Conclusion: L'entraînement en plein air améliore les réponses affectives et l'adhésion à l'exercice; l'entraînement en salle encourage l'intensité supérieure et ses bienfaits métaboliques.
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