Isabelle Fortin-Delisle
Les gains spontanés lors d’une psychothérapie cognitivo-comportementale centrée sur les expériences comportementales pour le trouble d’anxiété généralisée
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- Votre profil en bref...
Étudiante au doctorat en psychologie clinique (cheminement professionnel), je conclus ma dernière année dans ce programme sous la supervision du professeur Michel Dugas à l’Université du Québec en Outaouais. La recherche dans le domaine du traitement des troubles psychologiques tels que l’anxiété généralisée est un champ d’intérêt toujours grandissant chez moi. Plus spécifiquement, je me spécialise dans la compréhension des éléments permettant de mieux saisir comment la psychothérapie fonctionne. Ce domaine de recherche m’aide également à parfaire les compétences cliniques nécessaires pour devenir une bonne psychologue.
- Avez-vous déjà tenté de vulgariser votre thèse à votre famille? Qu’est-ce qui a constitué le plus gros défi? Ce processus a-t-il suscité des réactions cocasses?
Lorsque j’ai tenté de vulgariser ma thèse pour la première fois devant ma famille, je pouvais voir les questionnements sur les visages – surtout lorsqu’il était question de la notion d’intolérance à l’incertitude. Il est vrai que les gens s’attardent rarement à comprendre un mécanisme psychologique si peu concret. Disons que l’intolérance au gluten est plus facile à imaginer! Ce parallèle m’a beaucoup aidé à communiquer mon idée.
- Pour vous, que représente votre recherche : un rêve d’enfance devenu réalité, un choix de carrière réfléchi, etc.?
Cette recherche est d’abord une exigence partielle de mon doctorat. Toutefois, pour moi, elle m’a confirmé mon désir de poursuivre la recherche même après mes études. Je serai une psychologue clinicienne-chercheuse.
- Au quotidien, à quoi ressemble votre vie d’étudiant·e chercheur·euse? Quelle est l’expérience la plus enrichissante que vous avez vécue en tant que chercheur·euse?
En plus d’être formée comme chercheuse, je suis également (surtout) formée afin de devenir psychologue clinicienne. L’ajout d’une recherche dans mon programme me donne un regard critique et essentiel pour devenir une bonne clinicienne.
- Pourquoi avez-vous décidé de participer au concours Ma thèse en 180 secondes?
Ma participation à ce concours me permet de rendre hommage à mes quatre années d’études!