Dans la maison du futur, le solarium pourra chauffer jusqu’à 60 % d’une maison. Pour optimiser cette serre/solarium à haute performance énergétique, il s’agira de l’annexer à la résidence et de la coupler à des technologies efficaces de contrôle de température et d’humidité. Cette grande pièce vitrée permettra même de joindre l’utile à l’agréable en servant de lieu de jardinage. Se chauffer et se nourrir grâce à sa maison, bientôt une réalité.
Une serre est composée de nombreuses fenêtres qui captent l’énergie du soleil et la retiennent à l’intérieur. Ainsi, pour cumuler puis conserver cette chaleur, Diane Bastien optimisera le design du solarium et comparera des stratégies de contrôle afin d’en maximiser la performance. Avant de concevoir un produit aussi performant, Diane Bastien doit se plonger dans ses calculs. Un modèle mathématique mis au point pendant sa maîtrise servira de base à sa méthodologie, puis à son modèle de simulation numérique.
Adapté à la vie d’aujourd’hui, ce modèle détaillé permettra de prédire les conditions de température et d’humidité à l’intérieur du solarium pour ensuite déterminer les meilleures stratégies de maximisation de la performance énergétique. Parmi ces stratégies, on compte l’utilisation de vitrages doubles ou triples, de rideaux thermiques, d’un dessiccateur solaire ou de compostage pour la production de chaleur et de CO2. Finalement, elle validera le tout dans une serre expérimentale construite dans le nouveau laboratoire solaire de l’Université Concordia.
Le projet de Diane Bastien est prometteur et déjà connu des membres du milieu. La chercheuse a en effet présenté des résultats intéressants à l’International Symposium on High Technology for Greenhouse System, en 2009. Elle y a d’ailleurs reçu un prix pour la meilleure présentation d’affiches. Co-auteure du rapport publié en septembre 2011 sur Le potentiel des énergies solaires au Québec, elle travail activement afin d’introduire de nouvelles politiques favorisant l’intégration de l’énergie solaire dans nos bâtiments.
Une serre est composée de nombreuses fenêtres qui captent l’énergie du soleil et la retiennent à l’intérieur. Ainsi, pour cumuler puis conserver cette chaleur, Diane Bastien optimisera le design du solarium et comparera des stratégies de contrôle afin d’en maximiser la performance. Avant de concevoir un produit aussi performant, Diane Bastien doit se plonger dans ses calculs. Un modèle mathématique mis au point pendant sa maîtrise servira de base à sa méthodologie, puis à son modèle de simulation numérique.
Adapté à la vie d’aujourd’hui, ce modèle détaillé permettra de prédire les conditions de température et d’humidité à l’intérieur du solarium pour ensuite déterminer les meilleures stratégies de maximisation de la performance énergétique. Parmi ces stratégies, on compte l’utilisation de vitrages doubles ou triples, de rideaux thermiques, d’un dessiccateur solaire ou de compostage pour la production de chaleur et de CO2. Finalement, elle validera le tout dans une serre expérimentale construite dans le nouveau laboratoire solaire de l’Université Concordia.
Le projet de Diane Bastien est prometteur et déjà connu des membres du milieu. La chercheuse a en effet présenté des résultats intéressants à l’International Symposium on High Technology for Greenhouse System, en 2009. Elle y a d’ailleurs reçu un prix pour la meilleure présentation d’affiches. Co-auteure du rapport publié en septembre 2011 sur Le potentiel des énergies solaires au Québec, elle travail activement afin d’introduire de nouvelles politiques favorisant l’intégration de l’énergie solaire dans nos bâtiments.