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Informations générales

Événement : 86e Congrès de l'Acfas

Type : Colloque

Section : Section 300 - Lettres, arts et sciences humaines

Description :

Comment qualifier un territoire d’habitable? Comment définir l’habitabilité territoriale et comment les organisations territoriales agissent, maintiennent, soutiennent ou freinent les processus de construction d’habitabilité? Ces questions se posent-elles différemment dans les marges et périphéries, et dans les centres, que ceux-ci soient en développement ou en récession? Quel rôle joue l’inventivité habitante dans ces processus? La question de l’habitabilité des territoires contemporains est épineuse. Face à la crise de l’habitat et du logement, à celle des migrations et des valeurs mobilisées dans les processus d’identification, « aménager l’espace pour l’habiter » paraît parfois comme un problème insoluble. Ce qui fait problème est le décalage croissant entre l’aspiration des humains à habiter partout — avec tout mais pas avec tous — et l’organisation de l’action publique, collective et individuelle pour « rendre habitable ».

La proposition de ce colloque est de traiter de cette question en confrontant des chercheurs travaillant sur ce sujet et des acteurs proches de la recherche. Il est donc attendu deux types de soumissions : l’une en provenance de chercheurs à partir de résultats de recherche obtenus récemment et l’autre en provenance d’acteurs à partir de leur expérience acquise dans une collectivité territoriale, une communauté, une association, un groupement professionnel, un bureau d’étude, etc. Ce croisement s’est avéré nécessaire à la suite d’un programme de recherche intitulé TerrHab dont les organisateurs avaient la responsabilité et correspond à l’un des engagements scientifiques prévus.

Ce colloque assume l’ambition de permettre une mise en débat comparatiste entre des contextes territoriaux, d’action publique et de culture différents (Europe/Amériques, France/Québec…) y compris à partir d’exposés rendant compte de recherches conduites sur des cas particuliers à des échelles nationales, régionales ou même très locales.

Remerciements :

Nous remercions l'ANRT France (Agence Nationale de la Recherche et de la Technologie) , le bureau d'études INDDIGO, le bureau d'études en aménagement L'Atelier du territoire, l'Université Grenoble-Alpes, le laboratoire AE&CC de l'ENSAG, le Labex ITEM (Innovation en Territoires de montagne), qui ont contribué au développement de la réflexion proposée dans ce colloque et à sa mise en oeuvre.

Date :
Responsables :

Programme

Communications orales

Introduction

Salle : P1-4170 — Bâtiment : UQAC
Discutant·e·s : Adrien Balocco (L'atelier du territoire), Marie-Christine Fourny (Université Grenoble-Alpes), Romain Lajarge (Université Grenoble Alpes - ENSAG)

Communications orales

Habitabilité au prisme de l’inventivité habitante

Salle : P1-4170 — Bâtiment : UQAC
Discutant·e·s : Adrien Balocco (L'atelier du territoire), Marie-Christine Fourny (Université Grenoble-Alpes), Romain Lajarge (Université Grenoble Alpes - ENSAG)
  • Communication orale
    Les trappeurs québécois : vécu territorial, enjeux politiques et revendications socioculturelles dans les espaces périphériques du Québec
    Thomas Lecomte (UdeM - Université de Montréal)

    Depuis les années 70 la pratique du piégeage a périclité suite aux critiques des militants de la cause animale. Ces attaques ont modifié durablement la « rhétorique habitante » des trappeurs (De Certeau, 1990).

    C’est à partir d’une enquête de quatre mois auprès des trappeurs euro-descendants en activité au Québec que nous exposerons et analyserons la singularité de leur vécu territorial. En effet, l’équilibre précaire se créant autour des « terres de la couronne » et entremêlant les intérêts des trappeurs avec ceux des institutions gouvernementales, des habitants de la région et des visiteurs de passage, met en lien des « dynamiques d’habitabilité territoriale » très différentes.

    C’est en définissant une esthétique nouvelle, en programmant la gestion technocratique de l’environnement, en revitalisant un vieil imaginaire collectif, ou en s’appuyant sur l’ancrage territorial et l’ancienneté de leur pratique pour se présenter comme des éducateurs locaux, que les trappeurs ont su développer leur « art de la résistance » (De Certeau 1990).

    Ici, nous soutenons l’idée que l’émulation autour de la trappe témoigne d’une esthétique nouvelle produisant et diffusant du politique lorsqu’elle se saisit d’enjeux patrimoniaux pour esquisser une spécificité identitaire et rurale québécoise : cette même spécificité qui donne voix aux trappeurs lorsqu’ils doivent défendre leur mode d’habitation dans les rapports de forces qui s’expriment dans l’espace périphérique des « terres de la couronne ».

  • Communication orale
    Habiter le « Nord » lorsque l’on provient du « Sud » : parcours migratoires des nouveaux résidents qui se sont établis en Minganie de l’Est
    Laurie GUIMOND (UQAM), Katherine Jusseaume Dumont (UQAM - Université du Québec à Montréal)

    Cette communication se penchera sur les parcours migratoires des individus qui ont choisi de s’établir de manière «permanente», dans le Québec du Nord, en l’occurrence en Minganie de l’Est (Côte-Nord). Avec son vaste territoire, son éloignement des grands centres urbains, sa périphérie, la petitesse de ses communautés allochtones et autochtones, ainsi que ses caractéristiques biophysiques et climatiques, elle est un terrain pertinent pour étudier l’expérience de l’habiter nordique de ses nouveaux résidents. Nous nous intéressons particulièrement à leurs parcours migratoires antérieurs et postérieurs à leur installation. En effet, les nouvelles populations du Québec du Nord connaissent une importante mobilité. Celle-ci façonne l’espace social et module les politiques institutionnelles, notamment en raison d’un fort roulement de personnel. Afin de bien cerner les facteurs d’attraction, de rétention et de répulsion, nous avions rencontré en 2012 des nouveaux résidents qui ont élu domicile en Minganie de l’Est. Nous les avons retracés 6 ans plus tard afin de les questionner sur leurs choix résidentiels, leurs rapports au territoire passé et actuel et leurs liens avec les populations côtoyées. Avec cette recherche longitudinale, nous souhaitons ainsi pallier le manque de connaissances sur les migrants qui ont quitté les milieux qu’ils ont habités. Nous en présenterons les résultats préliminaires et les défis méthodologiques rencontrés lors de notre collecte de données.

  • Communication orale
    Les laboratoires récréatifs, une ressource territoriale pour repenser l’action publique
    Jean Corneloup (UMR PACTE Grenoble), Ludovic Falaix (Université Clermont-Fd)

    Suite à différents travaux de recherche réalisés depuis plusieurs années sur le développement des territoires ruraux, la notion de laboratoire récréatif se présente comme un cadre d’analyse référent. Elle envisage de comprendre comment émerge une dynamique collective dans un territoire rural modifiant la trajectoire linéaire de celui-ci. La résilience des territoires repose sur la capabilité, au sens de Sen (2008) de pouvoir repenser la déclinaison de l’action publique pour agir sur l’espace local existant. L’émergence de laboratoires récréatifs permet de redéfinir les liens entre gouvernance, projet de territoire et pratiques collectives existantes en accordant de la valeur à la fabrique d’une forme culturelle partagée entre les habitants et les acteurs locaux. Dans la continuité des travaux de recherche évoquant la nécessité de développer un cadre territorial commun (SPL, milieu innovateur, cluster, intelligence collective…), la référence aux laboratoires récréatifs est une opportunité pour faire le lien entre culture, économie et politique. L’enjeu consiste à situer la culture au cœur de la fabrique de la valeur territoriale. Celle-ci aura des effets sur la production de biens marchands, mais aussi sur le sentiment d’appartenance à un projet commun ou à un identité collective partagée.

  • Communication orale
    La culture de la ville et la persévérance du jardinier, les figures de l’engagement révélées par les pratiques d’agriculture urbaine dans deux quartiers du nord-est parisien
    Marilou Demongeot (AgroParisTech)

    Le développement de l’agriculture urbaine est un des axes fréquemment évoqués pour construire ce que devrait être une ville durable. Or, l’expression "agriculture urbaine" désigne des formes de pratiques très diverses. Cette diversité construit probablement, à son tour, à des formes de villes différentes dont la durabilité peut être à chaque fois questionnée. A Paris, l’agriculture urbaine prend souvent la forme d’un jardinage d’interstices. Nous nous proposons d’interroger les conséquences du développement de ces pratiques de jardinage pour la réappropriation de la ville par ses habitants. Ces formes de réappropriation seront analysées à partir des figures de l’engagement habitant que ces pratiques révèlent. Dans quelle mesure ces communs observés sur le terrain fondent de nouveaux rapports à la ville ? Entraînent-ils un renouveau de la participation citoyenne, illustrent-ils une réappropriation de la ville par ses habitants ? Qui est intégré aux communautés qui en résultent ? Quels modèles de ville s’y dessinent ? La dimension participative de l’agriculture urbaine peut être questionnée, notamment à travers les dynamiques d’inclusion et d’exclusion à l’œuvre et l’importance de la dimension temporelle de l’engagement habitant. Ces aspects éclairent les rapports à autrui, les formes de reconquête des territoires urbains et le déploiement du droit à la ville proposé par Henri Lefebvre (1968). La persévérance du jardinier apparait ainsi comme un engagement infrapolitique.

  • Communication orale
    Habiter et vieillir en quartier péricentral dans un îlot intergénérationnel
    Sylvie Coupleux (Université d'Artois), Corinne Luxembourg (ENSA Paris La Villette)

    La proposition s’appuie sur des travaux en cours, elle repose sur une analyse de l’habiter, du vivre ensemble à partir d’une expérience d’insertion d’un îlot intergénérationnel de logements sociaux en péricentre urbain de la ville d’Arras (Hauts-de-France).

    Le contexte particulier de l’habitat social est également celui du vieillissement des locataires et de la prise en compte de leur capacité à redéployer mobilités et réseaux pour redessiner leur espace de vie, c’est aussi, dans un autre registre et en termes d’aménagement cette fois, la question du traitement d’une friche imposante marquant le paysage et la vie du quartier, celle d’une ancienne clinique. Lorsque le bailleur social s’inscrit dans la démarche de mixité, c’est pour limiter l’isolement et la réclusion des personnes vieillissantes.

    L’approche proposée est avant tout qualitative, elle repose notamment sur des entretiens et cartes mentales réalisés auprès et par des locataires. Elle tend à faire émerger la façon dont se construisent les proximités, les discontinuités ; la façon dont les habitants s’approprient ou non les outils mis en place par le bailleur.

    A travers l’observation des pratiques spatiales, sociales et des représentations, nous observons la capacité des habitants à redéfinir au cours du cycle de vie leur espace du quotidien pour le rendre plus habitable. Il s’agit notamment de montrer la façon dont peuvent se construire et évoluer les territorialités habitantes.


Dîner

Dîner

Salle : Dîner libre — Bâtiment : UQAC

Communications orales

Ingénierie, action publique et collective pour l’habitabilité territoriale

Salle : P1-4170 — Bâtiment : UQAC
Présidence : Marie-Christine Fourny (Université Grenoble-Alpes)
Discutant·e·s : Adrien Balocco (L'atelier du territoire), Marie-Christine Fourny (Université Grenoble-Alpes), Romain Lajarge (Université Grenoble Alpes - ENSAG)
  • Communication orale
    Habitabilité des territoires : des utopies aux néotopies
    Anne Coste (école nationale supérieure d'architecture de Grenoble), Stéphane SADOUX (ENSAG, UGA, AE&CC)

    La notion d’habitabilité est associée à celle de bien être et à celle d’aménagement. Au moment où l’habitabilité de la planète est jugée par certains spécialistes comme sérieusement altérée (GIEC 2014), voire compromise (Barnoski et al., 2012), il nous apparaît que s’interroger sur l’habitabilité des territoires, c’est s’interroger sur la notion de besoins. Ce qui fait problème à nos yeux, c’est le décalage entre l’ampleur des changements nécessaires pour préserver l’habitabilité du monde et la nature des débats sur les aspirations des habitants et/ou des aménageurs.

    Nous proposons de traiter de la première des questions soulevées par l’appel à communication en l’abordant sous un angle historique. Nous porterons notre attention sur une néotopie - à savoir de « nouveaux projets d’habiter des lieux déjà occupés ou encore des nouvelles pratiques de territoires » (Coste, Sadoux, Mazel) - théorisée à la fin du 19e siècle et concrétisée au début du 20e, celle des garden cities anglaises. A l’heure où la théorie de « L’autre loi de la jungle » (Pablo Servigne et Gauthier Chapelle, 2017), en partie inspirée de Kropotkine, également inspirateur des utopistes de son époque, revient sur le devant de la scène, nous proposons de revisiter les utopies concrètes du 19e siècle, pour montrer en quoi :

    - de nombreux critères d’habitabilité étaient déjà présents il y a 120 ans et méritent d’être réinterrogés,

    - l’habitabilité est plus que la somme de ces critères.

  • Communication orale
    Vers une évolution ou une révolution de l’enseignement du « projet » architectural pour saisir la question de l’habitabilité du monde ?
    Nicolas Dubus (ENSAG - École nationale d'architecture de Grenoble)

    De l’objet architectural à l’habitabilité du territoire : l’exemple de l’évolution de l’enseignement de la thématique de Master Architecture, Environnement et Cultures Constructives de l’Ecole Nationale d’Architecture de Grenoble.

    L’urgence et l’importance des enjeux environnementaux interrogent non seulement l’habitabilité actuelle des territoires, l’habitabilité future du monde mais aussi la responsabilité des acteurs de cette habitabilité. Les architectes, en tant qu’acteurs centraux du processus de construction ne doivent plus simplement rester que de bons maîtres d’œuvre, dissociés des réflexions en amont et en aval de leurs interventions mais devenir, au sein du jeu d’acteurs du développement territorial, les détecteurs de l’habitabilité des territoires sur lesquels ils interviennent, les garants de son bon usage et les gardiens de la préservation de leur habitabilité future. Ce postulat interroge bien entendu l’évolution du rôle et des pratiques de l’architecte et par là même celle de son enseignement. Cette communication s’appuiera sur une thèse en cours interrogeant l’évolution de l’enseignement du projet au regard de la prise en compte des enjeux environnementaux. Nous nous concentrerons plus particulièrement sur l’analyse de l’évolution de l’enseignement de la thématique du Master AECC à travers l’intégration progressive de la question de l’habitabilité territoriale comme composante du développement de l’échelle architecturale des projets de fin d’étude.

  • Communication orale
    Les critères de compatibilité entre les activités d’extraction et les activités urbaines : un point de vue citoyen
    Ariane Lafortune (Cégep Édouard-Montpetit)

    Cette communication portera sur une recherche-action basée sur l’expérience d’une consultation citoyenne suite à la réforme de la Loi sur les mines qui a accordé aux Municipalités régionales de comté (MRC) la responsabilité d’identifier certains territoires, notamment urbains, incompatibles avec l’activité minière. La consultation par consensus informé (CCI) est un type de consultation qui convie un groupe de 8 à 12 citoyens à un processus d’autoformation, puis de questionnement à différentes parties prenantes sur les enjeux associés. À la fin du processus, le comité de citoyens a remis un rapport avec des recommandations à la MRC. Cette consultation a eu lieu sur plusieurs mois à l’automne 2017 dans la MRC de La Vallée-de-l’Or en Abitibi, une région dont le secteur minier est au cœur du développement économique. Cette MRC comprend entre autres la ville de Malartic, dont un quartier résidentiel a été déplacé pour faire place à une mine à ciel ouvert à la fin des années 2000. Dans ce contexte, la question de l’habitabilité d’un espace se pose avec une grande acuité. Nous aurons aussi des résultats préliminaires d’une consultation en cours à Asbestos.

    Les résultats portent notamment sur les critères de compatibilité et d’habitabilité. Parmi les facteurs abordés, il y a le risque de fracture sociale et les impacts d’une relocalisation. Ces réflexions amènent à souligner l’importance d’une concertation et d’une consultation en amont pour diminuer les risques sociaux et de santé.

  • Communication orale
    Questionnement du concept d’habiter en Corse sous le prisme des permanences et mutations des hameaux en Corse
    Santiana Diaz (UMR LISA)

    Cette conférence questionnera le concept de l’habiter en Corse par le biais d'une forme urbaine bien spécifique au territoire corse, le hameau. Sous l’effet des mutations qui caractérisent la Corse contemporaine, la morphologie et les fonctions des hameaux ont largement évolué ces dernières années. L'île est attractive mais pas de façon égale sur l'ensemble de son territoire. Les densités se resserrent autour des pôles urbains d’Ajaccio et Bastia, puis le long du littoral et pour quelques exceptions dans les terres. Ces inégalités spatiales du couple densité/attractivité se reflètent dans les hameaux. Le hameau historique, correspondant à un groupement de peu d’habitations à l’écart et isolé, va être fortement transformé en fonction de sa situation par rapport à ces pôles d’attractivité. Il peut être réaménagé et proposer aux résidents une large gamme de services. Il devient plus attractif et génère de nouvelles centralités urbaines. Cela interroge les mutations du mode d’habiter et le rapport que les résidents corses entretiennent avec leur territoire. A l’aune de l’établissement d’un nouvel outil d’aménagement du territoire, le Plan d’Aménagement et de Développement Durable Corse (PADDUC), qu'elles sont les possibilités opérationnelles d’élaborer et d’appliquer des projets fonciers relatifs au développement local des hameaux dans le contexte spécifique du territoire corse?

  • Communication orale
    L’habitabilité territoriale par une approche prospective.
    Jean Robert Patrick Goornaden (Université de La Réunion), Stéphane MANIN (Université de la Réunion), Ali SMIDA (Université Paris 13)

    La littérature contemporaine s’intéresse à des segments de l’habitabilité territoriale comme en témoignent les études. Cet intérêt a pour objet d’améliorer ou de résoudre prioritairement certaines contraintes. Cependant, convaincus que toute étude ne peut se réduire à un objectif unique et à des indicateurs limités, celle de l’habitabilité territoriale ne peut prétendre à cette économie.

    Cette communication a pour ambition de présenter des analyseurs ou variables liés à l’étude de l’habitabilité territoriale en mettant en lumière des prérequis, comme des éléments propédeutiques à une analyse prospective issue de propositions de différents scenarii.

    Le traitement des données empiriques selon la « Théorie Enracinée ou Ancrée » a permis l’extraction d’une dizaine de variables. Ensuite une modélisation des grandeurs structurantes et impactantes selon le Modèle COSCEVO nous a permis de dégager des scénarii.

    En résulte de ces processus, que dans l’habitabilité territoriale par une approche prospective, une utilité multifonctionnelle peut se manifester, à savoir : un outil au service de politiques sociales et économiques, un moyen d'élaborer un projet tant collectif que communautaire, non sans débats des acteurs locaux.


Communications orales

Débat conclusif

Salle : P1-4170 — Bâtiment : UQAC
Discutant·e·s : Adrien Balocco (L'atelier du territoire), Marie-Christine Fourny (Université Grenoble-Alpes), Romain Lajarge (Université Grenoble Alpes - ENSAG)