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Penser le changement localement, globalement

Comment change-t-on d’idée, de comportement, de politique, de structure, de méthode, de relations avec les autres vivants, de direction technologique, etc.? Le présent forum invite à penser le changement à partir de l’approche méthodique propre à la recherche; cette approche qui vise à comprendre, non pas à juger. Cette manière d’analyser avec rigueur est l’un des outils pouvant nous aider à produire des changements adéquats. Dans les 6 ateliers, selon les disciplines, des morceaux de réalité sont examinés, mais tous sont interreliés dans un formidable jeu de relations.

De nouveau, le Forum international Sciences Société aura eu le bonheur de réunir 18 chercheurs et chercheuses avec 250 collégiennes et collégiens autour d’enjeux de sciences et société. Cette rencontre a aussi été l'occasion d'aiguiser son esprit critique et d'affiner son raisonnement scientifique.

L’Acfas tiens l'événement en collaboration avec le Consulat général de France à Québec et le Cégep de Trois-Rivières, hôte du 24e Forum.

  • Lieu : Cégep de Trois-Rivières
  • Dates : 3, 4 et 5 novembre 2023

Album photographique

Vendredi 3 novembre 2023
  • 17 h 30 : Accueil des chercheur·ses
  • 18 h 30 : Accueil des étudiant·es
  • 19 h 30 : Activité d'ouverture : Comment changer les choses?
Samedi 4 novembre 2023
  • 08 h 00 : Petit déjeuner
  • 09 h 00 : Ateliers 
Humains : vivre mieux avec tout ce qui vit
Idées : philosopher et créer
Progrès nouveau : se développer autrement
Écoanxiété : du chagrin `a l'action
Intelligence artificielle : coconstruire avec les machines
Paysages comestibles : vers l'agroécologie
  • 11 h 30 : Repas
  • 13 h 00 : Reprise des six ateliers
  • 14 h 45 : Pause
  • 15 h 15 : Reprise des six ateliers
  • 17 h 00 : Pause détente
  • 18 h 00 : Repas festif et défi « neurone »
  • 20 h 30 : Place à la musique avec le groupe indie pop-rock Balcon sans princesse et ses compositions originales
Dimanche 5 novembre 2023
  • 08 h 30 : Petit déjeuner
  • 09 h 30 : Séance plénière autour du parcours des chercheur·se·s et mot de clôture des deux personnes à la coprésidence
  • 12 h 00 : Repas et fin des activités

ATELIERS 2023

Carre

Humains : vivre mieux avec tout ce qui vit

Depuis quelque temps circule le concept de « vivants » qui inclue absolument tout ce qui vit. C’est un peu comme une grande famille interdépendante que nous formons, nous les Sapiens, avec les vivants à feuilles, à plumes ou à poils. Rappelons que nous avons coévolué avec les virus et qu’on ne peut pas vivre sans les milliards de bactéries qui nous habitent. Des protozoaires aux humains, des lichens aux séquoias, on partage les mêmes 4 lettres (ACGT), ces 4 molécules complexes (adénine, cytosine, guanine et thymine) qui stockent le matériel génétique. Et tous les vivants dépendent des écosystèmes. Les bassins versants en sont un bel exemple : ces territoires semi-autonomes, traversés par un cours d’eau majeur et ses ramifications, forment des systèmes interconnectés de sols, de végétaux, d’animaux et d’humains.

  • Comment harmoniser le monde humain avec celui des animaux, des végétaux, des micro-organismes?
  • Comment mieux harmoniser les relations entre groupes d’humains?
  • Comment gouverner les bassins versants pour favoriser toute vie?

Panélistes

Éric Harvey, Université du Québec à Trois-Rivières
  • Éric Harvey est professeur au département des sciences de l’environnement de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Écologiste de formation, il s’intéresse par ses recherches à la notion d’interactions ; entre les espèces, les communautés et les écosystèmes. Il cherche à comprendre comment les perturbations humaines influencent la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes. Pour ce faire il utilise une perspective à l’échelle du paysage de manière à réfléchir l’organisation spatiale des activités humaines, et ainsi à éventuellement mieux intégrer l’humain dans la nature.

Jonathan Hope, Université du Québec à Montréal
  • Jonathan Hope est professeur au département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. Ses domaines de spécialisation sont les lettres et les humanités environnementales. Ce qui l’anime, ce sont les arrangements des vivants, leurs manières de se partager le monde. Ce qui l’intéresse, ce sont les configurations de signes, de faits, d’arguments, de textes, de métaphores, de récits, et leurs inscriptions dans le réel. Son projet de recherche principal à l’heure actuelle est Réécrire la forêt boréale.

Patricia Nourry, Cégep de Trois-Rivières
  • Patricia Nourry est professeure de philosophie au Cégep de Trois-Rivières et participe à des projets de recherche et d’adaptation pédagogique en autochtonisation et en écologisation. Ses publications dans différents médias portent principalement, d’une part, sur les liens unissant la crise de la culture et la crise climatique, et d’autre part sur la nécessité de penser des alternatives susceptibles de transformer nos relations aux "autres qu'humains", de même que nos manières de nous organiser collectivement.

Animatrice

Élisabeth Lefebvre, Cégep de Trois-Rivières
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Idées : philosopher et créer

Notre espèce parle, écrit, lit. Nous nous distinguons des autres animaux par ce « nuage » d’idées, de représentations, de croyances, de discours qui structurent notre vie collective; vie collective qui à son tour surdétermine nos vies individuelles.  Notre cerveau est trois fois plus volumineux que celui du chimpanzé, et tout ce « surplus » est dédié aux fonctions cognitives : langage, raisonnement, mise en relation, conscience de soi, prise de décision, etc. Dès notre naissance ça raconte autour de nous, et cela construit nos catégories et nos valeurs. Peu à peu se constitue dans notre tête un réservoir d'expériences, de savoirs, de manières de penser. Notre compréhension des choses évolue sans cesse, se stabilise sur certains points, se fige sur d’autres. Notre cerveau est un organe créatif qui fait émerger de nouvelles idées à partir des celles présentes dans son « réservoir ». Aussi, la production d’idées est une activité hautement collective.

  • Quelle est la part des émotions dans notre raisonnement?
  • La fiction peut-elle nous aider à raisonner? 
  • Comment les idées sont-elles produites par notre cerveau? 

Panélistes

Cassie Bérard, Université du Québec à Montréal

Cassie Bérard est professeure à l’Université du Québec à Montréal, où elle enseigne les théories de la fiction, les théories de la narrativité, et la création littéraire. Elle est également écrivaine; elle a dirigé 3 recueils collectifs de fiction parus aux éditions L’instant même, dont le plus récent s’intitule Le Cas. Quel domaine judiciaire pour la littérature? (2021), et publié 4 romans, dont les deux derniers, La valeur de l’inconnue et L’Équilibre, sont parus aux éditions La Mèche, en 2019 et 2021. Membre de Figura, le Centre de recherche sur le texte et l’imaginaire, elle mène actuellement un projet de recherche-création subventionné par le FRQSC intitulé : La condition policière. Exercices de pouvoir et modes de surveillance en littérature narrative.

Christian Bouchard, philosophie, littérature et communication

Formé en philosophie, Christian Bouchard a été professeur de philosophie et de littérature au collégial pendant de longues années. Il s'est alors concentré, selon ses mots, sur la mise en scène du savoir. Reconnu pour sa compréhension fine des enjeux d'éducation et ses talents de communicateur, il est aujourd'hui régulièrement invité par les cégeps et collèges, la Fédération des cégeps ou encore le ministère de l'Enseignement supérieur, pour ses services d'animateur, de conférencier, de formateur ou de consultant.

Samah Karaki, Social Brain Institute - COPRÉSIDENTE FRANÇAISE DU FORUM

Samah Karaki est une neuroscientifique franco-libanaise. Elle est titulaire d’un doctorat en neurosciences, d’un master en neurobiologie et d’une maîtrise en biodiversité et écologie. Elle est la fondatrice et directrice du Social Brain Institute qui s'appuie sur les sciences cognitives et sociales pour appréhender les enjeux sociaux et environnementaux. Elle est l'auteur des ouvrages Le travail en équipe (éditions Dunod, 2021), et Le talent est une fiction, (éditions JC Lattès, 2023).

Animatrice

Isabelle Bouchard, Cégep de Trois-Rivières
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Progrès nouveau : se développer autrement

Le grand défi collectif de notre temps est, assurément, de réussir à maintenir une planète habitable pour tous les êtres vivants. Ce n'est pas une mince affaire, car la puissance de notre génie collectif, alimenté par une énergie fossile accessible et peu chère, a gonflé de manière spectaculaire notre capacité d’action. En 150 ans, nous sommes allés très vite, et trop loin. Heureusement, une panoplie de stratégies durables se discutent déjà et prennent place : société basée sur les communs (partage des ressources), économie circulaire, économie de la ressource, décroissance, réduction et réutilisation, etc. Ces approches nous poussent à remettre en question toute notre vie matérielle. À quels coûts sont produits les métaux de nos cellulaires, le plastique de nos lunettes et le coton de nos t-shirts? De fait, chaque objet peuplant nos vies est fait de travail humain, de matière et d’énergie. Ce constat rend précieux tout ce qui nous entoure, et devrait orienter notre énergie créative vers des pratiques, parfois simples, parfois originales, visant un gaspillage près du zéro. Rien de ce qui se crée ne devrait désormais se perdre.

  • Quel rôle peut jouer l’économie sociale?
  • Doit-on vraiment envisager la décroissance?
  • Comment prendre part à ce défi collectif, individuellement et collectivement?

Panélistes

Ha-Loan Phan, HEC Montréal
  • Ha-Loan Phan est doctorante en management à HEC Montréal. Titulaire d’une maîtrise en sciences biologiques (Université de Montréal), d’une certification en gouvernance (Collège des administrateurs de sociétés) et d’un DESS en management (HEC Montréal), elle s’intéresse aujourd’hui aux questions qui entourent la décroissance. Que devrait-on apprendre à "l’école" dans un monde décroissant?

Marion Studer, Université de Lille
  • Marion Studer est doctoresse en économie et chercheuse associée au Centre Lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) de l'Université de Lille. Elle s'intéresse à l'économie sociale et solidaire et la manière de rendre compte de sa valeur. Ses travaux s'articulent en cela autour de l'évaluation d'impact social des acteurs poursuivant une finalité sociale, qu'ils soient associatifs, coopératifs ou sous statut d'entreprise. Elle communique régulièrement sur le contenu de ses travaux dans des conférences et articles à portée nationale et internationale. Elle vient notamment de publier avec des chercheuses de l'Université d'Aix-Marseille un ouvrage sur l'évaluation des associations.

Patrick Turmel, Université Laval - COPRÉSIDENT QUÉBÉCOIS DU FORUM
  • Patrick Turmel est professeur de philosophie et cotitulaire de la Chaire de recherche et d’enseignement La philosophie dans le monde actuel à la Faculté de philosophie de l’Université Laval. Il est aussi associé de la Chaire Éthique et finance du Collège d’études mondiales de la Fondation Maison des sciences de l’homme, à Paris, et fut professeur invité à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Il siège également sur le comité éditorial de la revue Nouveau Projet. Parmi ses nombreuses publications, notons La juste part. Repenser la richesse, les inégalités et la fabrication des grille-pains et Prendre part. Considérations sur la démocratie et ses fins, deux ouvrages co-écrits avec David Robichaud.

Animateur
Marc-Olivier D'astous, Collège Montmorency
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Écoanxiété : du chagrin à l'action

L’écoanxiété n’est pas considérée comme un « trouble anxieux » selon la documentation scientifique la plus récente. Il y aurait des formes d’écoanxiété qui seraient, dans l’ensemble, plutôt modérées. Les enjeux climatiques et environnementaux n’en sont pas moins des sources d'inquiétudes bien objectives, et le mal-être ressenti tient d'un enjeu social. On peut alors percevoir le ressenti comme un signal. Des travaux en psychologie font ressortir que le fait de miser sur l’action et la résolution de problèmes permet d’agir face à la peur, même si cela se double d'une nécessaire acceptation : nous n’avons pas les solutions à tous les problèmes. L’espérance, dit la philosophe Corinne Pelluchon, suppose une prise de conscience de la gravité et une capacité à percevoir les signes avant-coureurs d’un progrès. Et pour paraphraser une réplique du Seigneur des anneaux : nous ne décidons pas de notre temps, mais de ce que l’on fait du temps qui nous est imparti.

  • Comment tirer des forces de notre sentiment d’écoanxiété?
  • Quelles sont les formes possibles de l’écoaction?
  • Que se passe-t-il dans nos corps quand nous sommes anxieux?

Panélistes

Raphaël Baril, Université Laval
  • Raphaël Baril poursuit une maîtrise interdisciplinaire dans le cadre du Chantier d’avenir en action climatique à l'Université Laval, où il développe un projet de recherche-action centré sur un instrument stratégique d'aide à la décision pour les acteurs écolucides. Son objectif est d'optimiser l'efficacité des initiatives en fonction du niveau d’influence sur leurs sphères d'action dans l’optique d'optimiser l'impact collectif sur la transition socioécologique. Titulaire d'une maîtrise (M.Sc.) en intervention et changement organisationnel, il a également apporté son expertise en tant que consultant en transformations des organisations.

Isabelle Goupil-Sormany, Université Laval
  • Isabelle Goupil-Sormany est médecin spécialiste en santé publique et médecine préventive et en médecine familiale. Experte des inégalités socio-environnementales, elle est professeure adjointe à la Faculté de médecine de l’Université Laval où elle s’intéresse aux différents facteurs de vulnérabilités et aux impacts des changements climatiques sur la santé mentale, autant dans son enseignement que dans ses projets de recherche.

Frédéric Langlois, Université du Québec à Trois-Rivières
  • Frédéric Langlois (Ph.D.) est un clinicien-chercheur qui travaille au département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières depuis 2005 et où il est professeur titulaire. Ses points d’intérêts visent globalement les troubles anxieux et ses multiples manifestations, dont le perfectionnisme, l’anxiété de performance, l’anxiété généralisée, l’anxiété face à la santé et l’obsession-compulsion. Il a supervisé de nombreux psychologues cliniciens et offre aussi de la formation continue pour les professionnels de la santé mentale.

Animatrice

Sophie Morriset, Cégep Lionel-Groulx
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Intelligence artificielle : coconstruire avec les machines

Nous formons un immense réseau d’humains hyperactifs, couplé à des machines qui prolongent notre cerveau de manière… pas toujours prévisible. Et depuis peu, une machine algorithmique dite générative (GPT), usant du langage naturel, et capable d’évolution, s’est largement répandue. Pour ses réponses et ses productions, elle établit des probabilités à partir des masses de données produites par nous tous : savoirs scientifiques, langages de programmation, articles d’encyclopédies, etc. Inspirée des réseaux de neurones du cerveau humain, cette machine est notre construction collective, qui à son tour nous transforme. Elle n’est pas neutre, mais parce qu'elle a une formidable capacité à générer des réponses, il est facile de croire qu'elle dit vrai. Elle n’est pas un nuage, car elle nécessite une infrastructure énergivore de supercalculateurs et l’extraction coûteuse de métaux.

  • Quels sont les derniers développements en intelligence artificielle générative (GPT)?
  • Devrait-on parler de sobriété numérique?
  • Comment agir sachant que chaque outil est un pharmakon, à la fois remède et poison?

Panélistes

Jonathan Martineau, Université Concordia
  • Formé en sciences politiques, Jonathan Martineau est professeur adjoint au Liberal Arts College de l’Université Concordia. Il est l’auteur de nombreux articles et traductions sur l’histoire des idées et sur le temps social. Il a notamment publié L’ère du temps. Modernité capitaliste et aliénation temporelle (Lux, 2017), et coécrit en collaboration avec Jonathan Durand Folco, Le capital algorithmique (éditions Écosociété, 2023).

Jonathan Roberge, INRS - Centre urbanisation, culture, société
  • Jonathan Roberge est professeur titulaire au Centre urbanisation, culture, société de l’Institut national de la recherche scientifique (Québec). Spécialiste de la sociologie des sciences et des nouvelles technologies, il est un des principaux promoteurs de ce qu’il est convenu de nommer l’École de Montréal en Critical AI Studies. Ses plus récentes publications inclus Algorithmic Culture (Routledge, 2016) et The Cultural Life of Machine Learning (Palgrave, 2020).

Laure Soulier, Sorbonne Université
  • Laure Soulier est maîtresse de conférences à Sorbonne Université au sein de l’équipe « Machine Learning and Information Access » de l’Institut des Systèmes Intelligents et de Robotique. Elle s’intéresse aux techniques d’apprentissage profond pour le traitement automatique du langage et la recherche d’information. Sa recherche s’articule autour de deux thématiques : la génération de résumés à partir de données structurées (e.g., tableaux, graphes, ...) et les moteurs de recherche conversationnels (projet financé par ANR JCJC dont elle est coordinatrice). Elle a publié ses travaux dans des conférences et journaux internationaux renommées (SIGIR, EMNLP, ICLR, DMKD, ACM TOIS, ...).

Animateur

Nicolas Faucher, Cégep Limoilou
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Paysages comestibles : vers l'agroécologie

Comment bien se nourrir collectivement aujourd’hui? Comment y arriver avec un minimum de gaspillage? L’eau et les sols sont les ressources à la base de toute nourriture. Des ressources précieuses. Il faut en faire un usage optimal et en prendre grand soin. Une prise de conscience de la provenance de nos aliments et des modes de production est fondamentale pour en venir à concevoir une agriculture équitable, favorable à la biodiversité, viable pour les agriculteur·trices. Depuis de nombreuses années, nos pratiques agricoles ont pris une direction vers la monoculture, l'usage intensifs de pesticides, et un recours de plus en plus poussé aux technologies sophistiquées. Il y a aussi peut-être une trop large circulation des aliments à l'échelle mondiale. Or, il semble y avoir un consensus que l'ensemble de ces pratiques doivent être revues pour opérer une transition vers un mode durable qui tient compte tant des enjeux climatiques que de la "santé" des végétaux, des animaux et des humains. C'est une question complexe, et les solutions seront tant politiques, technologiques qu'environnementales.

  • Qu'est-ce que l'agroécologie?
  • Doit-on viser à faire pousser le plus localement possible dans un monde globalisé?
  • Quels sont les avantages de l’agriculture urbaine et périurbaine, et les difficultés pour l’établir?
  • Comment l’agriculture met-elle en symbiose le végétal et les communautés animales?

Panélistes

Vincent Galarneau, Vivre en ville
Kevin Morel, Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement
  • Kevin Morel est chargé de recherche en agronomie à INRAE Il est passionné par l’analyse, la conception et l’évaluation de systèmes agricoles alternatifs (permaculture, microfermes, agroforesterie, agriculture biologique, agriculture urbaine). Ses recherches en agroécologie s’ancrent dans des approches transdisciplinaires et de recherche-action participative. Lien vers ses travaux : https://cv.hal.science/kevin-morel.

Patrick Mundler, Université Laval
  • Patrick Mundler est professeur en développement rural au département d’agroéconomie et des sciences de la consommation de la faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval. Ses recherches portent sur les liens entre l’agriculture et le développement des territoires. Il est membre fondateur du groupe de recherche agriculture, territoires et développement. https://agriculture-et-territoires.fsaa.ulaval.ca/

Animatrice

Audrey Julien, Cégep Garneau