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yann baussan
Finaliste

Yann Baussan

Université de Moncton

Identification du rôle de la Src sur le comportement et la physiologie mitochondriale médiés par Slp2 et/ou ATP5b

  • Votre profil en bref...

Je possède un baccalauréat en sciences de la vie de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (France). J’y ai également obtenu une maîtrise en biologie du vieillissement. Mon stage consistait à déterminer les effets d’une drogue sur les fonctions mitochondriales de cellules provenant de patients atteints de maladies mitochondriales. C’est en partie ce stage et les cours durant mon cursus qui ont fait naître ma passion pour la mitochondrie. Cette passion, alliée à un désir de repousser mes limites, a motivé ma candidature auprès de l’Université de Moncton pour un doctorat portant sur la mitochondrie.  

  • Avez-vous déjà tenté de vulgariser votre thèse à votre famille ? Qu’est-ce qui a constitué le plus gros défi ? Ce processus a-t-il suscité des réactions cocasses ?

J’ai déjà eu l’opportunité de vulgariser ma thèse auprès de ma famille et de mes amis. Le plus gros défi a été d’imager l’environnement scientifique de mon sujet et mes expériences avec des objets ou événements du quotidien.  

  • Pour vous, que représente votre recherche : un rêve d’enfance devenu réalité, un choix de carrière réfléchi, etc. ?  

Ma présence dans le domaine de la recherche est le résultat à la fois de circonstances et d’un choix réfléchi. Ma première vocation était de devenir médecin afin d’acquérir une connaissance en santé qui saurait me satisfaire tout en m’offrant la possibilité d’apporter mon aide. Néanmoins, à la suite de mon échec au concours de médecine en France, j’ai dû réfléchir à ce qui pourrait me conduire à ces deux objectifs, ces deux centres d’intérêt qui ont motivé mon choix de carrière : la passion pour les connaissances issues de mon enfance et cette expérience en médecine que je ne regrette plus depuis longtemps.  

  • Au quotidien, à quoi ressemble votre vie d’étudiant·e chercheur·euse ? Quelle est l’expérience la plus enrichissante que vous avez vécue en tant que chercheur·euse ?

Ma vie se compose au quotidien d’une bonne dose de travail, d’une pincée de résultats, d’un soupçon de lecture d’articles scientifiques et d’un zeste d’humour. Accompagner une étudiante au baccalauréat au cours de son stage a été mon expérience la plus enrichissante. Cela m’a permis de transmettre mes connaissances et ma passion pour la recherche, et plus précisément pour l’étude des mitochondries.

  • Pourquoi avez-vous décidé de participer au concours Ma thèse en 180 secondes ?

Cela représente un défi lié tant au besoin d’aller à l’essentiel tout en rendant la matière compréhensible, qu’à celui d’y arriver en un minimum de temps. Or, ce sont deux compétences que je dois encore travailler dans le cadre de la communication scientifique.